XALIMANEWS- Le constat est toujours le même, ces élections législatives sont parties pour marquer l’histoire politique du Sénégal. Jamais une élection n’a suscité autant de polémiques.
Certains responsables ont déploré la situation qu’ils qualifient de sabotage. A Bambey, Aida Mbodj a dénoncé le retard du démarrage ajoutant que beaucoup d’électeurs sont désemparés et désorientés. Des manquements qu’elle juge anormal compte tenu du budget faramineux 50 milliards dégagé pour ces élections
Au centre liberté 6 B, le vote n’a pas encore commencé faute d’indisponibilité des bulletins de vote.
A Matam, le gouverneur Mamadou Baldé en tournée dans plusieurs centres de vote est revenu sur le taux de participation 30 % qui selon lui est satisfaisant ajoutant qu’aucun matériel ne manque et la quasi-totalité des coalitions est représenté.
Aux parcelles assainies, Moussa Sy a déjà accompli son devoir citoyen avant de s’adresser à la presse.
Le ministre conseiller Youssou Ndour a aussi voté dans son centre à l’école Nafissatou Niang, Il a avoué avoir pris toutes les 47 listes pour donner le bon exemple.
A l’école Fadilou Mbacké Abdoulaye est attendu dans son centre de vote.
Mamadou Baal, directeur de la police urbaine a également fait une déclaration
Certains observateurs exigent par ailleurs le départ du ministre de l’intérieur Abdoulaye Daouda Diallo qu’ils estiment ne plus être dans les dispositions de gérer le processus électoral.
Dans l’international, au Maroc, le scrutin a démarré depuis 8 heures
En Côte d’Ivoire, à Adjamé, les électeurs sont présents depuis 6 heures du matin dans leur lieu de vote mais ne parviennent toujours pas à effectuer leur devoir citoyen faute de récépissés
Tout à fait le contraire au Cameroun notamment à Yaoundé ou le vote se passe normalement.
Le point à 13 heures
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