Le Québec va accueillir davantage d’immigrants

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Le Québec va bientôt accueillir davantage d’immigrants. C’est qu’a annoncé dimanche le premier ministre Philippe Couillard, en point de presse, en marge du 32e congrès des membres du Parti libéral du Québec (PLQ).

Pour combler ses besoins de main-d’oeuvre, le Québec devra ouvrir ses portes aux étrangers, particulièrement à ceux inscrits dans la catégorie économique, a-t-il dit, sans préciser dans quelle mesure les seuils actuels seraient rehaussés.

Le premier ministre a indiqué qu’une telle mesure lui «paraît nécessaire», en tenant compte du faible taux de naissance enregistré au Québec et de la diminution croissante de la population active, une «réalité implacable». La hausse du nombre d’immigrants devra être accompagnée par une bonne stratégie d’intégration à l’emploi, a-t-il ajouté.

Bon an, mal an, le Québec accueille environ 50 000 immigrants chaque année.

Une commission parlementaire doit revoir les seuils actuels cet automne.
lapresse.ca

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  1. LES AXES DE L’AGRESSION CULTURELLE
    Une mission de la campagne sur le planning familiale avait convié les habitants (hommes et femmes) d’un de nos villages à une matinée de sensibilisation. Au cours de la séance, un membre de la mission, venu de la ville, mais certes originaire de la contrée, laissa entendre que si les villageois ne se pliaient pas aux directives de plannification, il y a risque que la maternité du village leur soit retirée. C’est l’occasion que recherchait un vieux cubballo (lébou, pêcheur) pour laisser éclater sa colère. Il lança : « Si vous reprenez la maternité, nous continuerons de faire comme nous avions fait pour vous donner naissance ». Une phrase lourde de sens. Elle devait permettre à ce fils donneur de leçon, de comprendre que sa démarche n’est rien d’autre celle d’un fils qui vient dire à son père : « Papa, ma naissance n’est pas normal. Parce que l’espace entre mon frère (ou sœur) et moi n’est pas suffisant ». Mais aussi cette réponse du vieux pêcheur dit au fils, venu avec ses nouvelles connaissances pour prêcher la bonne parole : « Ton existance même est la preuve que tu mens dans ton prêche ».
    Les enjeux de la population.
    Il est connu que la politique chinoise de combat contre les minorités rebelles a toujours consisté à favoriser l’installation de chinois en leur sein, dans les régions qu’ils occupent, jusqu’à la domination totale. Ce qui entraîne l’étouffement de la population autoctone rebelle de la région. C’est cette politique qui est menée contre les minorités musulmanes et contre les habitants du Tibet. Une politique du nombre.
    Les populations francophone du Canada, en ayant observé l’envahissement puis la domination des anglophones, avaient initié une politique appelé « la revanche du berceau ». En affet les autorités francophones menèrent des campagnes de sensibilisation auprès des populations françaises, jusque dans les écoles, pour qu’il y ait plus de naissances pour éviter la disparition de la langue française. Et cette politique inter-francophone a perduré jusqu’à la veille des années 2000. Encore une politique du nombre. Mais malgré ces efforts, qui se poursuivent aujourd’hui, beaucoup prédisent la disparition prochaine de la langue française au Canada. Mais ce n’est pas la seule solution des francophones (nous y reviendrons).
    L’état d’Israël pour assurer un surnombre de juifs avait lancé une vaste politique d’immigration des juifs du monde (de la diaspora ?) vers le nouvel état. Cette politique avait nécessité aussi bien des moyens financiers pour convoyer tous les volontaires, mais aussi pour payer tous les démarcheurs envoyés dans différents coins du monde pour convaincre les réticents et payer toute la campagne médiatique nécessaire. Mais une fois les juifs nouveaux venus et installés, Israël se confronta à un nouveau phénomène : le taux de fécondité élevé des juifs noirs. De petits calculs et quelques projections ont permis de comprendre qu’à long terme Israël serait noir, pour une majorité de juifs falachas. Pour contrôler la hausse de cette population noire par rapport aux autres juifs, Israël eut recours à une vaste campagne de stérilisation des juives noires.
    Pour transformer une région rebelle en une à dominante chinoise, la Chine la peuple de chinois en surnombre. Pour judaïser les terres de Palestine, Israël expulse les palestiniens par les armes et installe des colonnies de juifs. Il y a deux clefs pour lire notre monde actuel. Tout groupement humain racial, éthnique, religieux, territoriale, composé d’un grand nombre d’individus, n’aura pas besoin de violence pour dominer, ou pour refuser la domination. Parce que la domination, dans le monde, par les grands nombres est un processus naturel qui n’a pas besoin d’armes. Pour cette raison, et pour d’autres économiques et sociales, les groupes humains ont besoin de se développer en nombre.
    Les limites naturelles.
    L’âge de ferilité maximale pour les femmes se situe autour de 21 ans. Avant et après cet âge, le potentiel de procréation est moindre. L’âge de la ménopause (la quarantaine) est une autre limite puisqu’étant la fin de la procréation naturelle. Avec le vécu du monde moderne qui fait que pour des besoins d’études, et d’emplois, la vie de couple des femmes est repoussée à l’approche de la trentaine, on se retrouve face à un autre facteur limitant de la procréation. Or pour qu’une population se maintienne il y a un nombreminimal d’enfants que chaque femme de cette population doit enfanter. On l’a appelé le taux de renouvellement de génération. Il doit être de 2,1 enfants par femme pour une population dont la longévité est élevée, et plus de 2,1 lorsque la longévité est basse. Toute population dont le taux de fécondité est inférieur à 2,1 enfants est une population en baisse. Et toute population dont le taux de fécondité est plus bas que 1,3 enfant par femme est une population qui est entrée dans une phase irréversible de disparition. C’est-à-dire que s’il s’agit d’une population linguistique, cette langue va irreversiblement disparaître.
    Les pays occidentaux en général et européens en particulier sont très conscients de ces réalités. Si l’on obseve les pays européens, on constatera que sur 27 états, un seul (l’Irlande) a un taux de fécondité qui permet un renouvellement de générations. Tous les autres pays d’Europe ne peuvent plus renouveller leurs générations depuis une vingtaine d’années. Ce sont, ou des pays qui maintiennent leurs populations, ou des pays en baisse de population (originelle). Au vu de la nécessité d’avoir une population nombreuse, et jeune, les pays occidentaux ont institué un certain nombre de mesures sociales. La première politique pour comprenser le vieillissement de leur population et l’absence d’une fécondité à même de remplacer les pertes par vieillissement consiste en l’absorption et la digestion de d’autres peuples. Cela porte le nom d’intégration, mot plus soft qu’assimilation. L’exemple le plus illustratif est le cas du Québec. Dans la politique général du Canada, le Québec a eut la faveur de s’ouvrir à l’immigration francophone. C’est ce qui explique le boom des officines spécialisées dans les démarches pour émigrer au Canada que nous rencontrons partout dans nos contrées. Si, aux yeux de nos candidats à l’émigration, le but est économique (ou d’études), pour le Canada il s’agit d’un appel à une population (jeune) pour compenser et le vieillissement et la baisse de fécondité chez eux. Le particlarisme du Quebec dans le Canada, à l’origine de cette ouverture à l’immigration francophone pour ne pas voir disparaitre cette francophonie est une dimension prise en charge par la Chine dans sa politique de l’enfant unique. Lors de la politique de l’enfant unique (politique actuellement assouplie), la Chine a fait exception à la mesure pour les minorités. Ainsi la population musulmane de Chine n’était pas assujettie à l’enfant unique. Des politiques identiques au cas du Quebec existent aussi en Europe et aux USA (Green Card lotery). Cela permet de comprendre, au niveau de la France, l’agressivité par rapport aux émigrés réticents à l’intégration. C’est parce que l’ouverture à l’émigration ne l’a pas été pour la naissance d’une communeauté différente, mais pour une compensation, et par conséquent, les arrivants doivent se « colorer local ». Certains trouveront incompréhensibles les difficultés opposées aux émigrés par la France, par exemple. Mais quels émigrés ? Lorsque le sénégalais anciennement colonisé par la France et parlant français a besoin de visas pour entrer dans ce pays, tel n’est pas le cas pour l’urugayen, le paraguayen, le chilien, le panaméen, le salvadorien, etc, qui ne parle pas français. La vraie raison se trouve dans la plus grande facilité à intégrer l’un que l’autre. L’apport en populations pour les pays moteurs de l’UE vient surtout des anciens pays de l’est dont l’intégration est sans obstacles majeurs. Mais cet apport se fait au détriment de ces pays qui se retrouvent avec des baisses du nombre d’habitants. Ces pays d’Europe ont des taux de croissance de population (nombre de naissance – nombre de décès) négatifs. C’est le cas des pays comme la Létonie, la Lituanie et Bosnie. C’est le résultat de la conjugaison de la baisse de natalité et de l’émigration.
    Politique d’encouragement des naissances.
    Si nous admettons que les pays de l’Occident sont des états libres et souverains, nous devons en tirer que ces pays ne financent que ce qu’ils veulent réussir. Jusqu’en 2010, l’Espagne offrait à la femme espagnole une prime à la naissance de 1,6 millions CFA (2500 Euros). La France accorde une prime équivalente à 600 000 CFA par femme et par enfant. Si la femme a des jumeaux, tripplets ou plus, les 600 000 sont à multiplier par le nombre de bébés. Et cette prime française à la naissance a été réhaussée chaque année, en Avril. La hausse systématique n’a été bloquée qu’en 2014. Après la naissance, l’état français alloue une allocation mensuelle de 75 000 CFA pour les deux premiers enfants, 175 000 pour le troisième enfant et 98 000 CFA par enfant, à partir du quatrième et sans lilmites de nombre. Ces mesures s’accompagnent d’allegement fiscale pour les parents au prorata du nombre d’enfants, de faveurs sur les prix dans des magasins. L’état paie aussi des congés parentaux, des allocations de logement, de rentrée scolaire. L’état paie des allocations journalières de présence parentale qui est un paiement pour la mère qui aurait renoncé à ses activités extérieures pour se consacrer au service de son enfant (une façon d’inciter à la femme au foyer sans le crier sur les toits).
    A noter que dans les critères édictées pour bénéficier de ces pestations de l’état, il n’est inclue aucune clause qui tient compte du rapprochement des naissances. Vous avez 600 000 par enfant pour prime de naissance, si vous pouvez faire un enfant tous les quatre mois, vous aurez vos 600 000 tous les quatre mois. Cela est aussi valable pour les allocations. Vous ne serez privé de rien parce que vos grssesses sont rapprochées. Et cette somme, vous pouvez la réclamer à partir du 7e mois de grossesse, ce qui fait une mesure à décourager les avortements. Et ce qui se passe en France est identique de ce qu’il y a dans toute l’Europe. 600 000 CFA par enfant à la naissance en Italie, Suisse, Belgique. Et au Japon, c’est 1,4 millions CFA par enfant, à la naissance. C’est parce que le taux de fécondité des japonaises a atteint le taux de catastrophe : 1,3 enfants par femme. Et à 1,3, c’est presque 1 par femme, ce qui donne la même chose que la politique de l’enfant unique de Chine. Or en Chine c’était une obligation. Au Japon c’est une obligation imposée par la vie même dite moderne. C’est dire que la modernité, en elle-même, est un paramètre de limitation de naissances. Si les européens avaient fait campagne sur l’espacement des naissances, peut être qu’ils seraient écoutés par le petit peuple. Pour leurs élites, cela ne semble pas. Il est facile de vérifier que dans les familles royales les grosses rapprochées sont la règle. Seulement les médias empêchent d’y prêter attention.
    Dans ces pays modernes, l’état dit aux femmes : « Faites des enfants, je m’occupe du reste. Leur nourriture, c’est mon affaire. La santé de la mère et de l’enfant, c’est mon affaire ». Dans ces pays l’état finance ce qui l’empêche de disparaître : la hausse de la natalité. L’état finance la pérennité de son existance. Chez nous, en Afrique, l’état semble dire : « Ne faites pas trop d’enfants parce que vous ne pourrez pas les nourrir, parce que vous ne pourrez pas payer la santé de la mère et de l’enfant ». Mais c’est l’ancien président français qui nous dit quela majeur partie de l’argent qui se trouve dans la poche du français vient de l’exploitation de l’Afrique. C’est cet argent qui finance la politique de la hausse de la natalité chez eux, mais aussi, c’est une partie de cet argent, par le biais d’ONG, qui finance le bridage de la natalité chez nous. C’est notre voleur qui nous donne un conseil. Il dit : « J’ai pris votre argent. Je vous en ai laissé un petit peu. Pour pouvoir vivre en bonne santé avec ce que je vous ai laissé, je vous conseille de réduire votre famille. » Et c’est la victime du vol qui s’écrit : « Ah ! Qu’est ce qu’il est gentil. Il m’aime. Je vais appliquer ses conseils ».
    Nos dirigeants nous font comprendre que notre pauvreté doit justifier la nécessité de la pose de jalons pour la disparition prochaine de notre espèce.
    Xeme.

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