Le décret 2012-1314 fait scandale. Dans ce décret, le gouvernement classe les agences et les structures assimilées en quatre catégories. « Il reste entendu que les sociétés nationales, les offices et les projets sont compris dans les structures assimilées », constate un document du PDS, publié par La Tribune. La catégorisation dépend uniquement du budget, du positionnement stratégique et de l’effectif des structures avec une pondération respective de 50 %, 45 % et 5 %, apprend-on également.« Autant dire que l’effectif ne compte pas et les agences, en fonction de l’évolution de leur budget, vont toutes glisser à la première catégorie », fait savoir la cellule de communication du PDS. Pire, dénoncent les libéraux, « Des primes de rendement annuel sont octroyées aux DG et personnels des agences à hauteur de 35 % du salaire de base annuel pour les DG (soit 4,2 fois leur salaire de base mensuel) et de 7 % du salaire de base annuel pour les autres membres du personnel (soit 0,82 fois leur salaire de base mensuel) ». C’est ainsi que le salaire du DG de l’Agence pour la régulation des télécommunications (Artp) est de 5 000 000 francs CFA. En plus d’une prime annuelle de rendement de 21 000 000 francs CFA. Les DG de l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie du Sénégal (Ansd), de l’Agence des travaux et de gestion des routes (Ageroute), de l’Agence des aéroports du Sénégal (Ads), de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) et de l’Agence de gestion du patrimoine bâti de l’Etat (Agpbe), sont concernés par ce traitement.La deuxième catégorie de directeurs percevrait, à en croire le même communiqué, 4.000.000 francs CFA et 16.000.800 francs CFA de prime annuelle. Il s’agit notamment de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée, l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp), la Haute autorité sécurité maritime (Hassmar), l’Agence nationale de l’aménagement du territoire (Anat), l’Agence sénégalaise pour la propriété intellectuelle et l’innovation technologique (Aspiit) et l’Agence de développement et d’encadrement des Pme (Adpme), l’Agence de construction des bâtiments et édifices publics (Acbep) et l’Agence nationale des affaires maritimes (Anam). Il y a aussi la troisième catégorie de directeurs dont le salaire est de trois millions (3.000.000) francs CFA et la prime annuelle de 12.600.000 francs CFA. Et la quatrième catégorie de directeurs qui a un salaire mensuel de 2. 000.000 francs CFA et une prime annuelle de 8.400.000 francs CFA. Toutes ces révélations sont de la cellule de communication du comité directeur du PDS.
les grands gaules de journalistes en bonne gouvernance il y a que deux choses sont biens motivés 0 vols
non motivés beaucoup de détournement faite a différence entre régime de wade et le régime actuel.
je vous le jure les directeurs de wade était plus riches que Karim c est a vous de déterminer leur immense trésors.