Grise mine au ‘’Quotidien’’ SYNPICS signale un malaise général au sein du Groupe Avenir Communication (GAC)
La Section SYNPICS du Groupe Avenir Communication (GAC), éditrice du journal LE QUOTIDIEN déplore la situation, qui prévaut au sein de l’entreprise. Ces contraintes d’ordre matériel sont la toile de fond d’un malaise général au sein de l’entreprise, qui crispe la productivité, grippe l’engouement des reporters et bride leurs efforts.
La Section a toujours manifesté sa volonté de privilégier la discussion, en laissant à l’administration générale, une marge suffisante pour sortir l’entreprise de la crise dans laquelle elle s’est engluée. C’est ainsi que la Section, en phase avec l’Administration générale, avait décidé de surseoir à ses velléités contestataires pour permettre à l’Administrateur général d’opérer les réajustements nécessaires à la santé de la boîte. Cette bonne volonté s’est révélée dérisoire et improductive. Le Syndicat relève ces constats pour les déplorer :
Aujourd’hui le Groupe vient de renouer (encore) avec ses crises cycliques, toujours ponctuées par la menace de fermeture d’un démembrement de la boîte ou par des licenciements pour motif économique.
Le spectre des retards de salaire qu’on avait cru avoir exorcisé a, depuis quelques mois, refait surface, à la plus grande désolation des travailleurs du GAC.
Le parc automobile n’en finit pas d’enregistrer une baisse en nombre. Les seuls véhicules qui restent sont sujets à des pannes quasi journalières. Le parc informatique est réduit à sa simple expression et les reporters peinent à trouver des machines pour écrire leurs textes. A cela s’ajoute la suspension de la ligne téléphonique fixe, incontournable dans le travail journalistique. La performance et la productivité du journal en ont subi les contrecoups. Il y a quelques jours, plusieurs reportages sont annulés faute de moyen de transport.
Rien, dans le fonctionnement de la maison ne participe à installer un environnement de travail propice à l’émulation, à un épanouissement professionnel. L’entreprise ne présente aux travailleurs, ni de plan de carrière convenable et ne fait nourrir aucun AVENIR prometteur. La résurgence de ces soucis du côté matériel et organisationnel indispose fortement l’ensemble des membres du Syndicat.
Le chapelet de solutions brandies par l’Administration générale depuis la fermeture d’entités, la réduction du personnel, le licenciement pour motif économique de certains employés s’est révélé dérisoire. Le Groupe fait toujours face à des crises, dont la résurgence et la fréquence sape tout espoir sur un éventuel rétablissement de l’équilibre financier.
La Section SYNPICS du GAC déplore les solutions inefficaces, les colmatages improbables et se désole de la précarisation des emplois. Elle demande un plan de redressement crédible, une gestion professionnelle, en phase avec les standards des entreprises qui se respectent et des qui salaires qui tombent à temps. La Tabaski qui se profile à l’horizon alimente les craintes des travailleurs.
Aujourd’hui, les membres de la Section ont décidé d’agir conformément aux moyens conférés par la loi. D’abord, des journées de port de brassards rouges sont prévues de même qu’un Sit-in dans les prochains jours, pour manifester notre exaspération.
D’autres plans de lutte sont déjà définis, pour amener l’Administration Générale à améliorer les conditions de travail et respecter le Droit du travailleur à disposer de son salaire avant le 8 de chaque mois.
Le 08 Septembre 2014
Le Secrétaire Général
77 539 60 76
Les choses vont mal dans le journal de Madiambal Diagne
Date:
Hanna la CREI ne paie plus les services de Madiambal ? Ou c’est l’ambassade de France qui ne finance plus ?
… Ou alors Macky n’en veut plus comme intermédiaire pour les audiences de minuit ou midi.
… Ou alors Madiambal fait le radin
La traîtrise se paie cash. Madiambal et son organe de presse ont participé activement au complot qui a renversé Me Wade. Ils ont été au devant de la propagande mensongère en trompant le peuple pour des raisons occultes. Aujourd’hui ils paient leurs dettes.