« A quoi ça sert de souffrir, de se battre, si les gens ne comprennent pas, si ça ne les intéresse pas ? » Cette interrogation d’Oriana Fallaci dans son célèbre ouvrage intitulé un Homme, des sénégalais lui ont trouvé une réponse éloquente. Ils comprennent, depuis des décennies déjà, et s’intéressent au combat de leurs concitoyens qui se rebiffent contre l’arbitraire, la corruption, l’injustice et la tyrannie de ses dirigeants.
Des compatriotes, très engagés, comprennent et le manifestent. C’est pourquoi, ceux qui croient que la politique d’intimidation peut encore prospérer dans ce pays sont à plaindre.
Notre peuple a muri et ceux qui passent tout leur temps à lui raconter des balivernes ont intérêt à le savoir. Il veut tourner la page des marchands d’illusion qui n’hésitent pas à s’attaquer aux verrous de nos cultures : le respect de la parole donnée, entre autres.
Un président qui a passé tout son temps à promettre à son peuple toutes les merveilles du monde en matière de consolidation des libertés individuelles et collectives, en matière de transparence dans l’exécution des règles démocratiques inscrites dans la constitution de son pays, un président qui criait sur tous les toits un slogan pompeux et populiste, à savoir « La patrie avant le parti » et qui, dans ses actions de tous les jours, semble promouvoir le contraire, lui et sa famille biologique, doit nous pousser à nous poser des questions.
Quelle leçon de morale, d’éthique et de responsabilité donne-t-il à sa jeunesse ? Nous comprenons et partageons parfaitement le courroux de Barthélémy Diass et de tant d’autres sénégalais à l’instar du juge qui dit démissionné « d’une Justice qui a démissionné». Nous en avons assez de tous ces gens qui mentent à leur peuple en s’érigeant en marionnette du prince.
C’est avec la technique du « mensonge à cheveux blancs », porté par des adultes parasites et, du « mensonge sérieux et grave », porté par des fonctionnaires véreux, que certains pensent pouvoir diriger leur peuple. Ils se trompent lourdement. Cette hérésie nous énerve.
Il est temps que cela cesse. Ce que notre culture attend des « Cheveux blancs et agents de l’Etat », c’est de la sagesse, de la droiture, de la vérité. Il faut que cela cesse ; la tromperie ne peut plus prospérer dans notre pays.
Libérez Barthélémy Diass ; même si nous ne sommes pas d’accord avec lui sur certains aspects de son discours, reconnaissons, tout de même, qu’il n’a fait que remplir sa fonction politique dans une interview politique face à une situation politico-judiciaire atypique.
Ce n’est pas par des convocations à la police ou à la gendarmerie que l’on réussira à briser son refus de l’arbitraire qui s’inscrit, présentement, de plus en plus, dans une conscience populaire du refus ; surtout au niveau de notre jeunesse. Cela saute aux yeux ; le méconnaitre risque d’offrir au prince un réveil brutal.
Nous demandons aux forces vives de ce pays, aux leaders d’opinion et aux régulateurs sociaux, de faire entendre leur voix pour arrêter cette machine à embastiller de l’opposant.
Les forces vives de la nation doivent créer, très rapidement, un comité de veille et de dénonciation, au plan national et international, pour barrer la route à toute sorte d’interpellation qui friserait le ridicule. Le régime passé en usait et en abusait ; le résultat lui a été fatal. Malgré plusieurs morts et arrestations, il a fini par être dégagé en 2012.
Si c’est pour détourner les partisans du refus de l’arbitraire de leur combat actuel, à savoir le respect des principes démocratiques établis en vue de l’organisation d’élections démocratiques et transparentes, c’est peine perdue. Aucun forcing ne passera ; ni la mascarade électorale du dernier référendum ni le holdup électoral déguisé des récentes législatives, législatives décriées, du reste par des voix autorisées comme celle du médiateur.
Dieu aime la vérité. Dieu aime les véridiques. Et Martin Luther King disait : « Défends la vérité, défends la justice ! Dieu sera toujours à tes côtés. » Nous demandons la libération de Barthélémy Diass, il n’a fait que dire tout haut, en tant que leader d’opinion, ce que certains sénégalais avertis pensent tout bas : « une justice à deux vitesses selon qu’on est avec ou contre le prince ».
Il n’a fait qu’emboiter le pas, pour l’essentiel, à des membres de la famille judicaire qui reconnaissent et critiquent l’influence du pouvoir exécutif, très inquiétante, sur le pouvoir judiciaire.
La sagesse aurait recommandé de voir comment remédier à ces impairs; la politique de « la carotte ou le bâton » ne peut plus prospérer dans ce pays. De grâce, prenez de la hauteur, ayez un esprit de dépassement ! Libérez Barthélémy Diass.
Tafsir Ndické DIEYE
Poète Romancier Chroniqueur
Parrain des Palabres poétiques d’Africa50lyon
Lauréat du Diplôme d’honneur de l’Édition 2017
Trophée offert par le COSIM Auvergne Rhône-Alpes
Savez vous qui est cette dame oriana fallaci que vous citez ?
Qu’elle horreur
On ne cite pas à tort et à travers
La justice senegal et mal depuit temp abdoulaye wade wade divise le pays il a divise les tarikas
Le Président Trump a été beaucoup plus violent. Car il a dit: pays de merde. Cela couvre président, pm, an, gouvernement, justice, ministres, députés, magistrats, institutions, peuple, juges, etc. Aucun singe de président des pays de merdes qui sont supposés être ses homologues, avec une puissance publique comme Trump, n’a osé lui répliquer.Le simple citoyen Barthélemy Dias, sans défense et sans aucun pouvoir public répète 1/12 ieme de ce qu’a dit Trump et les lâches se précipitent sur le faible, alors qu’ils ont eu une peur bleu de regarder Trump qui les a insulté de la façon la plus féroce et la plus dégradante. Dans leur posture de lâches, le maximum qu’ils ont fait c’est de réclamer indirectement en plus, des excuses publiques à Trump et ce dernier ne les a même pas regardé!! Cette affaire est oubliée et enterrée comme l’esclavage sans problème. Libérez Barthélemy Dias et tous les faibles sans défense que vous poursuivez comme Assane Diouf. Occupez-vous de vos homologues qui détiennent une puissance publique comme vous au lieu de vous défouler sur les citoyens. La Corée de nord, la Chine et la Russie sont des dictatures qui martyrisent leurs peuples, mais nul autre n’ose insulter leurs peuples. Il faut être conséquent! Être lion devant les citoyens et devenir chat dès que tu sors du pays, même en Mauritanie! Il faut être: Mbarodi ladde, mbaalou wourou. C’est ça le courage. Mais: Mbarodi wourou, mbaalou ladde, s’appelle ni plus ni moins LÂCHETÉ.
Toi Tafsir N Ndiaye tu n’as aucun respect pour la famille de Ndiaga Diouf. Avant de défendre cet assassin de Barthélémy Dias, pense à la mère de Ndiaga Diouf qui pleure toujours son fils et n’a pas encore fait son deuil car le meurtrier connu de tous la nargue toujours…
Lui pense que c’est le pouvoir qui influence la justice.
Il dédouane les juges et magistrats ,pense qu ils ont les mains liées .
En reAlite ,les pressions viennent des religieux que personne n ose mentionner.
Leurs talibes sont toujours relaxés ,je me rappelle encore de la sortie du marabout de Luc Nicolai à la télé TFM,qui disait à son talibe de ne rien craindre,qu il ne se passera rien.Il avait raison,Nicolai vient de boucler un nouveau combat .
Tahibou Ndiaye de Sonko lui a été condamné à une prison ferme ,il est chez lui et ça n offusqué pas les opposants .
Pour eux justice et condamnation c’est pour les sénégalais lambdas ,les religieux,politiciens,et autres célébrités sont des VIP qui échappent à la justice.
Lemzo yaw Mom imbécile sakh mola tane maky sall ngui taal rewmi ngay khalate ni tu sais très bien k barth rayoul Ndiaga Diouf mais bon kil repose en paix mouy yaw nak di mane euleuk Di nagn ko fekiii adouna Diaroul yene yi ressaisi toi mo guene si yaw
Quel con ce gars ! Il n’aura finalement rien obtenu après Macky 2012 !
Macky est plus qu’ un dictateur criminel con
Une démarche objective travestie à des fins de politique politicienne pour salir un Président éclairé et bâtisseur, au service exclusif de son peuple et de son pays, pour le progrès et la prospérité dans la discipline et l’ordre républicain.La justice, démarche objective, est un principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale, de la vertu ou autres sources normatives de comportements. Tout doit se dérouler dans le respect, la retenue et la mesure. On ne fait rien qu’à soi-même
Cliniquement parlant ce jeune a un complexe du MOI .
on n’a pas besoin de savoir ce qu’il a dit a sa femme .
S’il croit que ça veut dire aux tetes bien pensantent qu’il est un guerrier il se trompe.
Il est est just quelq’un de complexé qui pense qu’abec les gros mots il va etre applaudi.
ces magistrats qu’il critique ce sont ceux la meme qui l’ont libere alors que tout le monde l’a vu degainer et dire qu’il a touche quelqu’un .