XALIMANEWS-L’ancien ministre de la santé et de l’action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr est revenu sur son limogeage par Macky Sall à la tête dudit ministère. Selon le nouveau directeur du Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques (FONSIS), quand une situation se pose dans un pays et qu’il y a une clameur, il faut la gérer au plan stratégique. Pour l’ancien maire de de Yoff, il est important de prendre juste une mesure d’apaisement qui n’est pas une mesure pour indexer en termes de responsabilité.
“J’ai été limogé parce que la situation l’exigeait. Elle exigeait à ce qu’un message soit envoyé à la population de manière globale pour apaiser ce climat assez compliqué. Je pouvais démissionner à l’époque, mais comme je suis loyal au chef de l’État, je lui ai laissé l’occasion de décider des conséquences. Un camarade m’a demandé à l’époque dans l’affaire des bébés calcinés à Tivaouane de poser un acte pour entrer dans l’histoire en déposant ma lettre de démission, mais je ne voulais pas faire le buzz sur un drame. J’ai laissé au président décider des conséquences, comme je l’ai dit”, explique l’ex député lors de son passage à l’émission ”Jury du dimanche” de Iradio.
Ils s’expliqueront face au prochain tribunal de Nuremberg. C’est déjà criminel, c’est ne pas croire en Dieu, que de penser que les crimes de ces gens contre les humains vont rester impunis. La seule chose que nous endurons présentement, c’est qu’ils ont le pouvoir et leurs médias et qu’ils continuent de nous bassiner de leurs justifications, continuant de nous prendre pour des imbéciles.
Le Sénégal ne sera pas un pays particulier isolé du monde. Il ne sera pas un pays particulier avec sa propre science, sa propre vérité, qui seraient exactement contraires à celles du monde. Or, il se trouve qu’à la date d’aujourd’hui, les mensonges de la covid19 sont avoués même par ceux qui les pilotaient. Les vaccins covid19 comme poisons sont avoués même par ceux qui les ont fabriqués. Des pays qui ont vendu ou donné des vaccins à Macky Sall sont entrain de dédommager leurs citoyens victimes de ces vaccins. Face à toute cette réalité flagrante, qu’est-ce qu’on voit au Sénégal ? Un pouvoir coupable, en complicité avec une presse, qui espère nous divertir en multipliant des titres de presse pour éviter de parler de ses responsabilités, de ses crimes. Même quand la cour des comptes fournit un rapport d’enquête qui dit que 700 000 doses de vaccins périmées ont été injectées aux sénégalais, ils arrivent à détourner ce crimes vers celui de détournements de quelques millions de francs, le temps d’endormir le peuple pour laisser tomber cela aussi.
Oui, ça marchera tant que Firaouna Sall dirigera ce pays, parce qu’il est le premier coupable. Mais ils répondront de ces crimes. C’est nous insulter que de penser que cela passera aussi facilement.