La liberté d’expression est fondamentale pour une démocratie ouverte, apaisée et dynamique.
En effet, Il est important pour les citoyens de pouvoir critiquer ouvertement les dirigeants politiques, d’émettre des avis sur la conduite des affaires de l’Etat et sur les personnes qui les gouvernent.
C’est pourquoi, l’institution de l’offense au chef de l’État représente, à mon sens, une menace pour la liberté d’expression en raison de son effet dissuasif sur les voix dissidentes.
Or, il est essentiel que les citoyens aient le droit de s’exprimer librement, de critiquer les politiques et les actions de leurs gouvernements sans craindre de représailles judiciaires d’un ministère public souvent à l’affût.
Dans une démocratie véritable,les différentes voix de la société, les bonnes comme les moins bonnes, doivent être entendues, et cela inclut les voix qui expriment des critiques fortes, par endroit désobligeantes voire maladroites envers les autorités politiques.
Sous cette perspective, Il est crucial que les lois concernant l’offense au chef de l’État, par une curieuse et récente interprétation au premier ministre (qui a des attributs propres distincts de ceux du président de la République) soient revues objectivement à l’aune de notre démocratie majeure et mises en conformité avec notre Constitution et les normes internationales en matière de liberté d’expression.
Protéger la liberté d’expression c’est protéger la démocratie et la maintenir vivace dans une société, où le débat, la critique et la diversité d’opinions doivent être encouragés et respectés.
Je soutiens, sans réserve, l’initiative de dépénaliser le délit d’offense qui est une infraction rétrograde, périmée, inadaptée à l’air du temps, à notre démocratie.
Il est este évident que l’abrogation du délit d’offense ne doit pas être une licence à l’injure, a l’incitation à la haine et à la diffamation.
Comme toute liberté celle de l’expression aussi essentielle qu’elle soit doit être exercée avec responsabilité. En cas de dérapage fautif, le droit applicable entre citoyens devrait tout bonnement s’exercer, librement et dans le respect de la légalité (l’égalité des armes).
Une telle abrogation libérerait pour beaucoup Notre Justice des soubresauts politiques souvent préjudiciables à son image de dernier rempart de l’ordre public.
Quel gros Nafeck !!! Quel gros manipulateur !!! Quel gros menteur ce Omar youm. Vous étiez au pouvoir pendant 12 ans et jusqu’à il y a juste deux mois et vous avez utilisez ce chef d’inculpation d’offense au chef de l’etat pour emprisonner des centaines de Sénégalais et tu applaudisssait de tes deux mains avec haine et sans vergogne. C’est aujourd’hui que tu viens nous sortir ces idioties. As-tu réussit en moins de deux mois à te faire un lavage de cerveau voire même de jeter ton cerveau dans l’océan pour aller en chercher un autre au ciel? Non tu n’as aucune chance de devenir si vite vierge aux yeux des sénégalais. Je demande encore formellement et en urgence à Diomaye Faye de commencer vite la convocation devant la justice de tous ces laqués voleurs de l’Apr et pieurs de nos ressources financières pour répondre de leurs actes et prononcer les sanctions les plus sévères possible à ces malpropres pour qu’ils aillent moisir en prison. Des audits doivent aussi être diligentés sur tous les ministères pour fouiller les vols et détournements commis par ces salauds de l’Apr ces douze derniers années et mettre tous ceux qui seront coupable de malversations. Il est temps que ces gens payent pour leurs forfaitures.
Ce Oumar Youm dormait ces 12 dernieres annees ou quoi????