XALIMANEWS- Deux (2) villages centres sur les six (6) considérés comme des localités phares tests du système alimentaires alternatifs durables ont reçu les autorités en présence de la presse ce mardi 12 févier 2020. C’est ainsi que Nimoré et Ndia gou rey (arrondissement de Mbédiène) ont démontré les efforts consentis après les campagnes agricoles bien réussis avec des productions records de Niébé, de gombo, pasteque entre autres.
Ce projet d’un montant de 22.925.000 francs CFA diligenté par Mbargane THIAM, premier adjoint au maire, chargé des affaires extérieurs de Conseil municipal de Niomré, a bénéficié de l’appui de partenaires comme ENDA GRAF SAHEL, PROSALUS, CEPAIM, Junta de Castilla Léon.
Au cours d’une cérémonie riche en couleurs organisée dans l’après-midi à Ndia gou rey, après les visites des périmètres des champs d’expérimentation de Niomré, plusieurs orateurs mandatés par les populations des deux localités ont mis longuement l’accent sur l’utilité des unités de productions, de la transformation des produits céréaliers locaux, la vente, la valeur nutritive des spéculations, le moyen de fixer sur place les bras valides et l’utilité du domaine national devenu un patrimoine commun.
Tous ces thèmes ont été développés par Fatou DIOP et Nara THIAM porte-parole des femmes des deux localités, du coordonnatrice de la SADA Fatou NDOYE, de Khady représentant de l’ONG ENDA GRAF SAHEL, du Maire Papa Ndiouga LO, de Mbargane Thiam et du sous-préfet de l’arrondissement de Mbédiène Mbaye SY.
L’occasion a été également saisie pour la remise officielle de semoirs, de machines de batteuses à mil de qualités pour la pérennisation du système alimentaires alternatifs durables. Les donateurs ont insisté sur l’entretien et l’utilisation rationnelle de ces cadeaux.
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Louga : vers la pérennisation du système alimentaire alternatif durable
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Je ne comprends toujours pas pourquoi le gouvernement du Sénégal n’encouragerait-il pas le pains fait avec 30 % de farine de sorgho ? Cela réduirait d’autant nos importations de blé des pays Européens, d’Egypte et des pays du Maghreb.On croirait que le Sénégal ne voudrai pas mécontenter ces pays dont les producteurs y perdrait. Il y a aussi une autre raison pour imposer ces 30% de mil ou de sorgho , il a été démontré scientiquement en Europe, que le Sorghjo contient 0% de glutenne , néfaste pour la santé. J’atoute que le blé dur comme tendre pousserait presque partout au Sénégal, or le gouvernement ne veut pas que nous en produisions assez pour notre consommation. Evident, on ne dépenserait plus des centaines de milliards de FCFA pour l’importation. Qui y perdrait ?