LUTTE CONTRE LA MENDICITE, LES INONDATIONS ET LES DELESTAGES : LA POSITION DU MOUVEMENT BEUG SENEGAL

LUTTE CONTRE LA MENDICITE, les inondations et les DÉLESTAGES : Le MOUVEMENT BEUG SENEGAL (BS-BESSAL) PROPOSE  LE PROGRAMME « une famille, un talibé ! » et demande à l’Etat de solliciter le savoir faire brésilien pour régler définitivement le problème des délestages et créer, en même temps, des emplois.

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sur LE PROGRAMME « une famille, un talibé ! »

Chaque année, depuis 2007, avant même qu’ils n’investissent le champ de la démocratie totale, les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) ont octroyé 400 bourses sociales. Ce sont, au total, 1600 bourses qui ont été destinées à des apprenants de toutes catégories confondues et ce, dans une dynamique citoyenne et à travers plusieurs initiatives portant sur l’éducation, la santé, l’environnement entre autres.

Ces initiatives citoyennes ont pour noms « Van de savoirs » et « Plumes de savoirs ».

« Van de savoirs » a mobilisé pour sa première année plus de 5000 participants aux épreuves de dictée, relayées par la plupart des organes de presse du pays.

« Plumes de savoirs », en 2008, a vu la participation de 2000 jeunes diplômés dont 500 spécialistes de la communication et du marketing qui ont bénéficié d’un emploi grâce aux efforts conjugués de partenaires sociaux et des tenants du Mouvement Beug Sénégal.

Aujourd’hui, ces tenants du Mouvement militent dans la démocratie sociale active et viennent compléter les partis politiques dans leur mission de veille, d’animation et d’action au sein de l’espace public sénégalais.

Forts de tous ces acquis, les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) s’impliquent à nouveau et proposent le programme « Une famille, un talibé !» dans le cadre de la lutte contre la traite des enfants.

En effet, le programme « Une famille, un talibé !» se veut une mesure d’accompagnement et une action concrète à intégrer par les populations, consistant à amener les familles qui en ont la possibilité à parrainer un talibé.

Chaque semaine, l’enfant vient passer le Week-end dans sa famille d’accueil et reçoit de celle-ci, à la fin de la visite hebdomadaire, un soutien financier ou matériel destiné à son école coranique et qui permettra à l’établissement de bien veiller à son bien-être.

Parallèlement, le Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) invite l’Etat à réfléchir sur la mise en place d’un fonds d’assistance destiné aux daraas qui s’illustrent dans leur mission de sauvegarde du bien-être des talibés ainsi que sur la mise en place d’un « Observatoire social pour l’éducation », composé des associations de parents d’élèves, des oeuvres sociales et/ou caritatives; lesquelles auront pour missions de veiller au respect du bien-être des talibés au sein des daraas et de leur trouver des familles d’accueil si besoin en est.

Dans sa phase pilote, cet Observatoire aura des démembrements dans les communes d’arrondissement de Dakar, Pikine et Rufisque.

L’Observatoire devra être étendu aux autres régions au bout de deux ans d’expérience et mis sous la responsabilité des collectivités locales avec le soutien de l’Etat et/ou des bailleurs de fonds.

pour regler DÉFINITIVEMENT le probleme des inondations et des

DÉLESTAGES

Les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) demandent à l’Etat de multiplier ses efforts dans la banlieue dakaroise afin de soulager les populations, victimes des inondations.

Aussi, voudraient-ils que les autorités en fassent autant pour aider les populations des autres localités dont Matam, Kaolack, Mbour, Podor, Saint-Louis et Rufisque à sortir de leur malaise environnemental.

Par ailleurs, les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) invitent l’Etat à prendre toutes les dispositions nécessaires pour la matérialisation d’un accord de coopération entre le Brésil et le Sénégal afin que le problème des délestages trouve enfin une solution définitive.

Cette invite des tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) est motivée par d’une part, le fait que le Brésil, à la lecture des résultats enregistrés dans le cadre de son partenariat avec le Kenya,  arrive à aider notre pays à construire une filière de production de biocarburants et à acquérir un début de souveraineté énergétique ; et d’autre part, par le fait que le Brésil reste un modèle dans le domaine des biocarburants en ce qu’il détient 52 % de la production mondiale de bioéthanol et, au-delà de son intention de capitaliser « cette richesse », noue d’excellentes relations avec les pays d’Afrique dont le Sénégal.

Des emplois et des entreprises a

CRÉER

Sachant que le bioéthanol est produit au Sénégal par une entreprise connue et reconnue dans la culture de canne à sucre, les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL) demandent à l’Etat d’aider à la création d’espaces de production et de transformation dans les zones où la culture de canne à sucre est favorable;  comme c’est le cas dans la vallée du fleuve Sénégal où l’eau est abondante et permanente.

Les tenants du Mouvement Beug Sénégal (BS-BESSAL), dans le cadre de leur vision sociale et économique pour un « Sénégal éclairé », estiment que la mise en œuvre d’une telle entreprise pourrait être une réponse aux demandes sociale et économique en ce que cela pourrait fructifier le nombre des entreprises au Sénégal et aussi, créer des milliers d’emplois pour la jeunesse et la lutte contre la précarité. En même temps, ceci pourrait stimuler le retour à la terre et le développement des villes à l’intérieur du pays ainsi qu’il pourrait freiner l’exode rural.

— Issa Thioro GUEYE MOUVEMENT BEUG SENEGAL (BS-BESSAL)00 221 77 250 05 81[email protected]