Tu avoues donc que l’université est un lieue de « guerre » et non plus un lieu de » transmission de savoir ».!
Ce sont des gens comme toi qui ont terni l’image de ce prestigieux lieu qu’est l’ UCAD!
Ce qui est dommage, c’est que tu n’en as pas pris conscience, et te sens fier de continuer de te réclamer » chef de guerre »!
Depuis quand l’UCAD à cessé de produire des diplômés d’enseignement supérieur, mais des » chefs de guerre »?
Des va t en guerre comme toi devraient être condamnés par tous ceux qui ont à cœur la restauration du lustre d’en temps de nos Universités . . Ces » guerriers de pacotille « et leurs ouailles n’ont pas leur place dans nos temples du savoir! C’est pourquoi la réaction du Directeur Général du CROUD à la demande de fermeture du campus social est non seulement scandaleuse, mais elle est inadmissible.
Le Directeur Général du COUD ne devrait pas se cacher derrière son petit doigt , en déclarant qu’il n’est pas compétent pour décider de la fermeture du » campus social »!
La décision a été prise par le Conseil restreint de l’Université qui en a la compétence et lui a demandé de l’exécuter. Voilà quelqu’un qui, à travers un dilatoire, cache son refus de mettre en oeuvre cette décision! Cette attitude est d’autant plus troublante, que recteur est en même temps le PCA du CROUD!
Son refus ne cache t il pas la protection qu’il est soupçonné d’offrir à NDef Leng? C’est l’implication de tels directeurs dans les affaires intérieures des étudiants dans le campus social, qui a créé le laxisme ayant permis que des étudiants continuaient à vivre dans le campus social sans droit ni titre, créant ainsi artificiellement une » pénurie de lits » et l’avènement de groupes mafieux dans leur distribution. Le maintien d’un tel Directeur dans ses fonctions, constitue un grave danger pour la restauration de la paix nécessaire pour l’apprentissage des étudiants.
Cette attitude inqualifiable du Directeur Général du CROUD devrait être fermement condamnée par tous ceux qui tiennent à cœur l’éradication de la violence et l’occupation illégale de lits dans le campus social. Après l’assainissement salutaire des logements des Professeurs, rien, ni personne ne devrait entraver la décision d’assainir le campus social.
Les autorités de l’Etat sont interpellées!