par Cheikh NDONG | SUD QUOTIDIEN
De l’Espagne, il a été élevé au titre de Commandeur dans l’ordre d’Elizabeth-la-catholique. Mamadou Diagna Ndiaye, invité d’honneur du gala de presse, a fait cap sur l’hôtel Les Almadies (ex-club Med) juste après l’atterrissage de son avion sur le tarmac de l’aéroport Léopold Sédar Senghor.
|
Prenant la parole, l’Administrateur du groupe Mimran, par ailleurs président du Comité national olympique et sportif sénégalais, cite Albert Camus selon qui, “quand la presse est libre, elle peut être bonne ou mauvaise ; mais quand elle n’est pas libre, elle est forcément mauvaise ?“.
Ce qui lui fait dire que la “liberté du journaliste serait un garant du label de la qualité de la presse“. Toutefois s’empresse-t-il de préciser : “de quelles libertés s’agit-il ?“.
Au premier rang, il a cité la liberté d’accès aux sources de l’information tant il est vrai souligne Diagna Ndiaye, “c’est une lapalissade, que l’on ne peut informer que de ce dont on est informé soi-même“.
Ensuite, il relève l’analyse du fait dans ses dimensions spatiales : espace géographique mais aussi historique, social, économique ou politique, l’information n’ayant de sens que dans un contexte donné.