Pour Seydou Diagne, avocat du fils de l’ex-président Abdoulaye Wade, Karim Wade n’a pas le droit de s’exprimer. Il vit au Qatar dans un pays où la communauté sénégalaise est réduite. «C’est un exil forcé qui doit prendre quelques mois. Nous sommes dans ce délai, mais nous pensons que ce sera terminé lorsqu’on estimera que le nombre de mois qui lui est astreint a été atteint », explique-t-il.
Interrogé sur la date du retour de Karim Wade, son avocat n’a pas voulu réagir. On ne sait donc pas si le candidat désigné du Parti démocratique sénégalais (PDS) pour la présidentielle de 2019 participera aux législatives de l’an prochain.
RFI
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