XALIMANEWS : Le bilan des sénégalais décédés dans le naufrage du bateau de migrants, dans la nuit du mercredi à jeudi, s’est alourdit. Il passe de 13 à 15 morts parmi les deux cent (200) victimes qui avaient embarqué à Barra en Gambie, quatre-vingt-trois (83) candidats avaient réussi à nager jusqu’à la côte mauritanienne.
Dans un communiqué repris par Emedia, l’Association des Journalistes en migration et Sécurité (AJMS) appelle les autorités sénégalaises à réagir afin de mettre fin à ce fléau. « On ne dira jamais assez : le lit de l’émigration irrégulière est la pauvreté et le chômage. Deux problématiques que l’Etat du Sénégal à l’obligation de résoudre s’il veut mettre un terme au phénomène « Barça ou Barsaq » qui a décimé tant de foyers depuis 2006. Les autorités doivent revoir leurs politiques de jeunesse afin qu’elles répondent efficacement aux préoccupations des bénéficiaires », note le document.
Migrants sénégalais décédés en mer : Le bilan s’alourdit
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Ceux qui disent aux jeunes de rester ici au pays pour se réaliser comme les trois millions de Guinéens qui gagnent leur vie ont une vue très étriquée ! On ne peut comparer un Guinéens qui envoie cette mois dans son pays l’équivalent de 40.000 FCFA et un Sénégalais qui vit comme un Sénégalais dans son pays. Ce qu’envoient les jeunes Guinéens dans leur pays est beaucoup, en monnaie Guinéenne, et cela permet de nourir pendant un mois une femme, deux enfants et même papa et maman. C’est comme si on comparait un Sénégalais et un Jeunes Français qui gagnent chacun 1300 euros/net par mois. Le Français qui vit comme un Français, peut avoir sa voiture neuve tous les 5 ans s’il veut changer de voiture périodiquement tout vivant assez bien dans son studio confortablement. Le jeune Sénégalais pourrait en faire autant, et ne rien économiser sinon des miettes, ou alors vivre comme un Sénégalais à Dakar tout en payant un appartement à 300 euros ( en région) et économiser des dizaines de millions en moins de dix ans pour son retour à un moment donné après sa retraite. En général aucun d’eux ne quitte ce beau pays même après avoir été naturalisé parce que les enfants préfèrent vivre là-bas, eux aussi. C’est le choix de chacun, dans ce village planétaire qu’est devenu le monde ! Ceux qui sont partis des Îles du Saloum et qui ont un métier solide, reviennent au moins une fois par an avec bonheur, et à vus d’oeil tout le monde remarque qu’ils sont mieux en Espagne qu’à Dionewar, à Niodior, à Djirnda ou ailleurs.
Boulengnou sonale teuyeulenn senn ndiaboteyi ta bayi état c’est vrai il n’y pas de sot métier regardez les Guinéens qui sont au Sénégal voilà aye goor youye ligueye gnoune nakk nane ataya rekk thi tatou garabe yi akk wakh lousenn yonn nekoule matin et soir thimmmmmmmm beugueu Lou yombe.