XALIMANEWS-Le Mouvement pour la Défense de la Démocratie (M2D) s’oppose au projet de loi modifiant le Code pénal et soumis à l’Assemblée nationale ce vendredi 25 juin. A travers un communiqué, le M2D demande le retrait du projet ainsi que la libération de ses membres arrêtés.
Le M2D dénonce l’arrestation de plusieurs de ses membres ainsi que ceux d’autres organisations et mouvements dont Nit Doff, Kilifeu, Simon Kouka, Guy Marius Sagna, Aliou Sané, Docteur Babacar Diop, Bentaleb Sow, Mamadou Gadio, Tiger, Mbaxan Kandj, Cledor Sène. Ces derniers manifestait contre le vote du projet de loi modifiant le Code pénal. Le M2D parle de kidnapping et exige leur libération immédiate.
Dans cette dynamique, le M2D “note que Macky Sall persiste dans sa volonté d’instaurer un terrorisme d’Etat au Sénégal, comme c’est le cas dans les dictatures les plus cruelles”. Il réaffirme “son opposition farouche à ce projet de loi, exige son retrait inconditionnel et maintient son appel à la résistance.”
Tchipiri ! Ces connards du M2D n’ont pas honte de se ridiculiser ainsi devant tous les sénégalais ! Même dans la rue à Dakar les gens rigolent de vos enfantillages et de vos conneries !! Après le FIASCO de votre manifestation du 23 juin, 2e FIASCO aujourd’hui car le peuple entier a soutenu nos forces de l’ordre pour mettre fin à vos provocations ! Les sénégalais ont marre que vous perturbez chaque jour leur travail et leur tranquillité !! Vous êtes de piiir nafèkhes et de gros paresseux ! Vous soutenez un Yolom Guénio violeur violent et malade qui ne parle que de violence matin midi soir !! Même à l’Assemblée le étale sa violence ! Dans son langage il ne parle que de sang, d’attaque, de mort, de bataille, de « mortal combat », de cadavre… Il est non seulement le premier nervis du pays, mais il est aussi le premier terroriste du pays. Son insurrection de mars avec des groupes armés salafistes et rebelles ont tué des gens et tiré sur des institutions en est une preuve. Donc cette loi antiterroriste VIENT À SON HEURE et donne les coudées franches à notre justice et à nos forces de l’ordre pour agir désormais. Et surtout agir à temps.