Xalima news – Vous faites partie des cadres maintenant. Mais culturellement, la France que vous connaissez le mieux, est différente du Sénégal. A quel niveau situerez vous la différence ?
La seule différence, c’est que je ne parle pas encore bien le wolof (éclats de rires). Dans la sélection, ils ne font que parler wolof. Pour le reste, tout est nickel ! C’est pratiquement la même chose. Les gens aiment se retrouver ensemble. Mieux, ce que j’aime le plus en équipe nationale du Sénégal, c’est que je peux aller parler à n’importe qui. [xalima] Mon interlocuteur va m’accueillir les bras ouverts. Il va me sourire. Il va rigoler avec moi. J’adore ça. Ne pas oublier non plus que les nouveaux sont obligés de chanter et de danser pour une meilleure intégration.
Qu’est qu’on vous apprend en wolof ?
Comme partout ailleurs quand tu ne comprends pas la langue. Que des insultes (éclats de rires). L’équipe nationale du Sénégal n’échappe pas à la règle, mais ça reste gentil.
Extrait entretien avec Sud Qutodien. Partie choisie par xalima
La langue woloff est incontournable au senegal si tu es serrére diola sarakhole n’importe quel ethnie il faut l’accompagner du woloff si tu veux avancer au senegal