La session ordinaire unique 2016-2017 pour le vote du budget des différents ministères vient de s’ouvrir, avec le passage du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan Amadou Bâ. Mais l’ouverture de la session budgétaire ne s’est pas du tout faite dans le calme et la sérénité. En effet, le démarrage des travaux a été marqué par de vives altercations entre le camp présidentiel et l’opposition. Pour la répartition du temps de parole, l’opposition estime que trois minutes ne suffisent pas. Et que du fait l’importance des questions à débattre, les députés devraient au moins avoir cinq minutes.
Cette revendication de l’opposition a mis Abdou Mbow hors de lui. Ainsi, il a pris la parole pour souligner la volte-face de ses collègues, qui en commission étaient d’accord sur les trois minutes. Donc ils ne devraient pas attendre de venir en séance plénière pour créer des problèmes.
Au moment où l’on pensait cette parenthèse fermée avec l’intervention ferme du président de l’Assemblée nationale, Aida Mbodji se lève subitement et à la surprise générale, demande à Moustapha Niasse de parler à Moustapha Cissé Lô qui était assis juste à côté d’elle. Aïda Mbodji a souligné à Moustapha Niasse et à ses collègues députés, que Cissé lô, de là où il est assis, est en train de l’insulter.
Mais comme le président du Parlement de la CEDEAO n’a pas sa langue dans sa poche, il s’est aussitôt levé pour s’attaquer à sa collègue. Il a pris la parole pour affirmer d’emblée qu’Aïda Mbodji raconte des histoires et qu’il ne l’a jamais insultée. Il affirme avoir juste dit qu’on ne devait pas leur imposer n’importe quoi. Et que le consensus entre deux présidents de groupe n’est pas au-dessus de la loi. En effet, pour Cissé Lô, c’est Aïda Mbodji et Moustapha Diakhaté qui ont imposé les trois minutes de temps de parole, alors que le règlement leur en donne plus.
Et comme Aida Mbodji continuait à lui apporter la réplique, Moustapha Cissé Lô est passé à des attaques personnelles contre sa collègue. « Aida Mbodji, on se connait. C’est ici que tu oses me parler sur ce ton. En dehors d’ici, tu n’y penserais même pas. Si tu as à menacer quelqu’un ou à faire peur, ce n’est pas à moi. Si tu m’affrontes, tu ne le referas plus jamais de ta vie. Peut-être que les autres ne te connaissent pas mais moi je te connais. Je te connais et je connais ton passé ».
Vu que les choses commençaient à dégénérer, Imam Mbaye Niang se lève de sa chaise pour aller lui parler, mais Cissé Lô refuse d’entendre raison. Pour lui, pour que cette parenthèse soit fermée, il faut qu’Aida Mbodji, arrête de prononcer son nom. Qu’elle n’ait pas à le mentionner quand elle parle. Imam Mbaye Niang revient à la charge en lui demandant de changer de place, Cissé Lô reste de marbre. Il est resté sur place, continuant à dire ce qu’il veut, jusqu’à l’ouverture des débats, avec 47 inscrits.
Madou MBODI (Jotay.net)
Ce dernier est foux.avev ça vous voulez que le pays soit en securite tout commence dans ce tassemblee la volence a commence là-bas
LES PREMIERS PRECURSEURS DE LA VIOLENCE AU SENEGAL SONT LOGES DANS NOTRE ASSEMBLEE NATIONALE QUI A EVIDEMMENT PERDU TOUTE SA CREDIBILITE DE ABDOULAYE WADE A MACKY SALL.
C’est quel Cissé Lo.Le Président du Parlement de la CDEAO?
L’adage dit que tout peuple n’a que les dirigeants qu’il mérite.
Lorsque la perversité est le quotidien d’un peuple, ce ne sont pas des
saints qui seront aux commandes.Le Coran le dit dans une tournure plus directe.
mais c un fou cissé lo