XALIMA NEWS – Le sort du dictateur Yahya Jammeh, le président de l’Assemblée nationale du Sénégal, Moustapha Niasse souligne qu’il appartient à la communauté internationale de gérer ce dossier.
Accroché hier en marge de leur Comité stratégique action (CSA), bras technique du bureau politique de son parti, le secrétaire général de l’Alliance des forces du progrès (AFP) s’est prononcé avec prudence sur le sort de l’ancien président de la Gambie. Interpellé sur cette question, Moustapha Niasse a rétorqué : « je serai bien imprudent de vouloir donner une idée sur le sort qui attend Yahya Jammeh. D’abord, cela dépend de Dieu (…). Et il faut suivre l’évolution des relations qui vont être tissées avec l’ancien président et son pays en tant que citoyen gambien.(…) Laissez à la communauté internationale le soin, selon ses procédures et conventions en vigueur, les pratiques diplomatiques…, de gérer ce dossier. »
Selon le président de l’Assemblée nationale, « le Sénégal est automatiquement impliqué dans cette crise, en tant que pays membre de la communauté économique des Etats des l’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Il s’est engagé dans cette affaire avec discrétion, fermeté, savoir-faire, on n’a pas entendu le président Macky Sall parler durant tout le processus. Pourtant, il a agi au dernier moment, lorsqu’il fallait prendre les dernières décisions ».
Pour Niasse, dans le cadre de la gestion de cette crise politique gambienne, tout a été fait dans la légalité institutionnelle, y compris dans le respect des lois et la pratique internationale en matière de gestion de crise. Toujours dans le même sillage, le président de l’Assemblée nationale du Sénégal, d’ajouter que : « et finalement, la raison, la sérénité, la logique et la rationalité l’ont remporté sur le refus catégorique de Jammeh de quitter le pouvoir. Il est parti à Malabo après de longues négociations. »
Par Abdourahmane Daillo (Stagiaire)
VOUS N´AVEZ PAS HONTE A VOTRE AGE ; UN VIEILLARD QUI RACONTE N´IMPORTE QUOI????? HONTE A VOUS…..