(APS) – Le ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin et de la Microfinance, Ndèye Khady a indiqué jeudi à Mbour que l’excision, considérée dans certaines communautés comme une convention sociale, ‘’constitue réellement une violation’’ des droits humains et ‘’un non-respect’’ des conventions et des recommandations internationales.
’’La mise en œuvre du plan d’action national pour l’abandon de la pratique de l’excision a permis le développement des capacités nationales et celles des communautés à promouvoir l’abandon de l’excision à travers un vaste mouvement de transformation sociale basé sur la mobilisation’’, a dit Mme Diop.
Elle s’exprimait lors de la célébration de la 6-ème édition de la journée internationale ‘’Tolérance zéro’’ sur les mutilations génitales féminines.
En Afrique, les mutilations génitales féminines (MGF) sont pratiquées dans 28 pays. Et d’après l’Organisation mondiale de la santé, entre 100 et 140 millions de femmes et de jeunes filles ont subi une forme d’excision.
Sa prévalence est variable d’un pays à un autre et plus particulièrement d’une ethnie à une autre. ‘’Les relations de parenté et celles maritales entre les populations de ces pays jouent un rôle dans la propagation et la persistance de la pratique, malgré les dispositifs juridiques mis en place par les Etats pour la dissuader’’, a expliqué Ndèye Khady Diop.
Pour le ministre d’Etat, au Sénégal, grâce au plan d’action national, ce mouvement d’abandon se traduit par le développement de déclarations publiques d‘abandon de l’excision et des mariages précoces initiées par les communautés.
C’est ainsi que sur les 5.000 villages où se pratiquait l’excision en 1997, 4.121 ont aujourd’hui déclaré l’abandon de l’excision et les mariages précoces, soit un taux de 71%.
‘’Une évaluation d’impact à long terme du programme a montré que 60% des communautés qui ont déclaré publiquement l’abandon de l’excision ont réellement abandonné cette pratique’’, a renseigné Mme Diop.
’’Dans un souci de pérenniser les acquis et de promouvoir les droits de la femme, notre pays a élaboré le second plan d’action pour l’accélération de l’abandon de la pratique de l’excision d’ici 2015’’, a encore dit Mme Diop.
ADE/AD
SELON CE QUE LES BLANCS (definisseurs de situations…) VOUS ONT FAIRE ACCROIRE. QU’EST-CE QUI FAIT QUE NOUS ( negres) SOMMES PIRES QUE DES MOUTONS ? CERTAINES APPRECIATIONS DE LA CULTURE COMME CET ARTICLE RELEVENT DE LA PROSTITUTION QUI UNE VERITABLE ATTEINTE DES DROITS DE L’HOMME.
Pour ecraser la masse, les blancs (dominateurs) se sont toujours servis d’une petite minorite de corrompue mentale, spirituelle et materielle, qui mettent en valeur, par leurs applications, des concepts utopiques et denues de tout sens comme: ‘les droits de l’homme » qui n’existent encore nul part dans l’application.
Derriere les declarations, se cachent un complexe d’inferiorite du blanc et l’argent verse pour le changement des mentalites de la masse.C’est cet etat de la situation qui constitue une violation des droits s’il en existent. Arretons de suivre ceux qui nous menent en enfer. Negre ne devendra jamais blanc