Les choses n’ont pas traîné. Dès que Yaya JAMMEH a donné son quitus pour des négociations à Dakar, les évènements se sont accélérés. Ainsi, les pourparlers devant aboutir à la levée du blocus de la transgambienne ont débuté.
Les deux pays ayant dépêché des délégations qui se sont retrouvées ce matin dans un hôtel de la capitale sénégalaise.
Seulement, à la séance d’ouverture, ouverte aux journalistes, la composition des deux délégations a surpris plus d’un. En effet, celle du Sénégal, conduite par le ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, comptait également Abdoulaye Daouda Diallo (Intérieur), Sidiki Kaba (Justice), Mansour Elimane Kane (Transports terrestres), Abdoulaye Baldé (Environnement), Alioune Sarr (Commerce), Oumar Guèye (Pêche) et Birima Mangara (Budget). Et pour compléter le tableau, l’ambassadeur du Sénégal en Gambie, le Pr Saliou Ndiaye. En face, il y avait le ministre gambien des Affaires étrangères, Neneh Macdouall Gaye, et ses collègues, Ousmane Sonko (Intérieur), Mama Fatima Signateh (Justice) et Abdou Jobe (Commerce).
Une inégale composition des délégations qui a été diversement interprétée. Le Sénégal, qui a déjà remporté la première manche du bras de fer grâce à la décision de la CEDEAO qui a débouté Yaya JAMMEH, avait-il besoin d’envoyer autant de représentants ? Quid de la présence du ministre de l’Environnement Abdoulaye Baldé?
Les négociations, qui se déroulent à huis clos, vont porter, notamment, sur la décision des autorités gambiennes de faire passer le montant des droits de passage sur le fleuve Gambie de 4 000 FCFA à 400 000 FCFA
WALFNET
Vraiment le nombre de ministres Sénégalais par rapport à celui de la délégation Gambienne importe peu.
Prenez un peu de hauteur sur un sujet aussi important.
Sans les transporteurs rien ne sera regler. Sont les transporteurs qui ont boycotté la transgambie. Pas de bloquis. Il faut impliquer les transporteurs, c’est eux, qui, seul eux peuvent regler ce probleme.
Bassitou konate senegalais mais en gambie je parler avec le cedao pourquoi vous ne discuter pas en afrique tous les pays afriquecaine deuz mandat deuz mandat forcer en afrique oubinne prand nu louwa si le president avais plu 22 de pouvoir attaquer leur pays force africains