Nous avons eu un second quinquennat éprouvant alors que nous pensions être à l’abri de toutes ces secousses qui ont, profondément et durablement, balafré notre Nation.
Sans doute avons-nous manqué de vigilance face aux signes annonciateurs de ces sombres et, parfois, funestes lendemains.
Nous comprenons, à présent et après toutes ces épreuves, qu’il ne nous faut jamais relâcher notre attention. Cette vigilance des derniers mois doit être constante.
Jamais en un peu plus d’un demi-siècle d’existence, le Sénégal n’a été aussi menacé dans ses fondements.
Mais que d’énergie perdue à essayer d’éviter toutes ces chausse-trappes. Mais il fallait tenir et faire face, pour ce pays, ce peuple, cette jeunesse et au nom de cette conviction que nous partageons : il est possible de mobiliser nos ressources et nos compétences pour développer le Sénégal. Nous le pouvons !
C’est cette conviction que nous avons essayé de partager avec nos concitoyens.
Il n’est question que de paix, de tolérance, d’enracinement et d’ouverture, les socles sur lesquels nos sociétés sont construites et interagissent.
Le Sénégal dont nous rêvons est un pays de brassage de cultures, d’idées et de populations, de cohabitation des communautés, d’interculturalité et de métissages de toutes sortes, un modèle de cohabitation apaisée entre les religions, les ethnies, les confréries, les partis politiques, les groupements syndicaux et les classes sociales.
Ce Sénégal, quelle que soit notre légitimité, nous ne pouvons pas le construire ou le reconstruire seuls. Nous n’allons pas l’ériger sur les cendres d’un pays en ruine.
Notre choix est de mettre en place une société forte, apte à nous prémunir contre les risques sociaux et à nous permettre de partager les fruits de la croissance dans le cadre de solidarités qui ne dissuadent pas les initiatives individuelles.
C’est notre manière de trouver des consensus forts entre des perceptions, à priori, inconciliables de la gestion des affaires publiques de façon à impulser des changements dans le cours des choses, de faire de l’humain la juste mesure de l’efficacité, donc de l’équilibre entre les lois des hommes et celles du marché, les lois de la physique et celles de la société, les lois de Dieu et celles des hommes.
Ces quelques jours de campagne électorale ne permettront pas de faire un choix éclairé entre les offres des différents candidats. Mais il y a une certitude qui n’est contestée par personne : les sénégalais ont envie de changement, de profonds changements, d’éthique et de morale dans la gestion publique, de transparence, de reddition de compte et de justice.
Quoi de plus normal que d’exiger de ceux qui nous dirigent qu’ils soient à jour par rapport à ces obligations ?
La reconstruction de notre pays et le rétablissement de la confiance passent par le rappel de ces valeurs que nous portons et dont nous reconnaissons ne pas être les seuls dépositaires.
Ils sont nombreux, dans ce pays, à être animés des mêmes intentions.
Nous allons les convier à prendre part à la réalisation du PROJET.
On les trouve dans tous les secteurs d’activités, dans toutes les régions. Ils sont dans les bureaux, les champs, les chantiers, les ateliers et les marchés. Ils sont dans les écoles, les daaras et les Universités.
Ce sont des femmes et des hommes, d’honnêtes gens qui ne demandent qu’à vivre en paix, dans le respect de leurs croyances et avec juste des revenus dont on ne soupçonne pas la modicité.
Tous ceux qui sont porteurs de ce projet de société sont des sénégalais, des patriotes engagés, enracinés dans leurs cultures, ouverts sur l’extérieur, vouant un profond respect à toutes nos autorités religieuses et coutumières et concevant, parfaitement, les spécificités d’une gestion publique dans notre environnement.
Nous nous devons de mobiliser toutes nos énergies pour la réalisation d’activités significatives améliorant le vécu des sénégalais et éviter d’engager des combats de rupture dont la plus-value sur la réalisation de nos attentes est marginale.
C’est le message que nous avons essayé de partager.
Ce que nous envisageons de faire est extrêmement réaliste, parfaitement étudié, techniquement opérationnel et moralement acceptable et est fondé sur une philosophie et des principes dont la défense est indispensable à l’existence du Sénégal où chaque communauté sera considérée comme partie intégrante d’un système homogène.
Nous avons choisi de réformer, pour vous, parce que vous êtes l’Avenir de ce pays et pour ce pays parce qu’il est notre Avenir commun.
Dimanche,Diomaye rek !
Saint Louis, vendredi 22 mars 2024
Prof Mary Teuw Niane
Khalifa Sall: avant de devenir maire de Dakar.
Une maison à Amiens (France) acquise en 1992, une villa dans le Var (France) en co-propriété avec sa femme avec qui il est marié depuis 12 ans sous le régime de la communauté des biens. Ce n’est pas tout, il a une maison familiale à Grand Yoff héritée de son père, une maison à Sacré Coeur 2 (8635 D) acquise en 1993, une maison aux Parcelles Assainies Unité 20, acquise en 1985, une maison au Point E, et une autre à Mermoz en co-propriété avec son épouse, un verger à Niague (Communauté rurale de Sangalcam, Rufisque) d’une superficie d’un hectare, obtenu en 1984, un terrain de 600m² à Yoff Ranrhar (1987), pas encore construit du fait d’un litige foncier, un terrain de 300m² dans le même secteur et un autre terrain à la Zac Mbao par le biais de la coopérative de l’Assemblée nationale au cours de son mandat de député.
En plus, le Maire de Dakar a déclaré avoir trois terrains à Ndeni Guedj, toujours dans la communauté rurale de Sangalcam, acquis en 2008. Il est également présent dans le secteur des banques. Khalifa Sall possède des actions (199) au sein de la BICIS à raison de 35.000 francs CFA l’unité, une assurance à BNP Paribas, ’’fortement secouée par la campagne électorale’’ avec juste 45 000 euros (29,250 millions de FCFA) dans le compte et un compte d’ épargne au Crédit Lyonnais, Rue du Havre, Agence Hausman, avec 5000 euros (3,250 millions de FCFA).
Khalifa après être devenu maire de Dakar, vole l’argent de la ville et la distribue aux nécessiteux(politiciens nécessiteux tels que Macky Sall, chanteurs nécessiteux tels que Youhou ou Coumba, sirigne nécessiteux etc…)
Votez pour Khalifa si vous approuvez cela.
Boubacar Camara: ancien de la génération du concret de Karim Wade. Fut proche de Karim. Récemment directeur général adjoint des douanes au Bénin. En général ces postes dans ce genre de pays sont obtenus par des frères d’obédiences. Il n’y a point de certitude mais c’est suspect.
Votez pour Camara si vous approuvez ça.
Malick Gackou: d’où lui vient son argent qu’il distribue aux lutteurs? Pourquoi est-il toujours cite comme étant proche de certains lobbies? Je ne l accuse de rien, je ne sais pas mais je me mefie.
Boun Dione:
L’ âme damnée de Macky Sall. A défendu et contresigné les pires décisions de son maitre.
Que Dieu venge le Senegal de ces personnes.
Anta Ngom:
Elle est la fille de son père. Son père est en conflit avec de pauvres paysans pour quelques hectares qu’il cherche à ajouter à la centaine qui lui a déjà ete accordée. A minima c’est un manque de discernement. Tel père telle fille?
Aly N. Ndiaye:
Une autre âme damnée de Macky Sall. A défendu et contresigné les pires décisions de son maitre: Petrotim, raccolage de transhumants entre autres hauts faits.
Idi:
A admis qu’il est devenu très riche du fait de son passage au gouvernement de wade.
Dethie:
A passé trop de temps avec Idi, trop de temps pour être honnête.
Mame B. Diao:
Âme damnée de Macky Sall. A fait plein de sales boulots pour lui. Finance des danseuses et lutteurs. Ses enfants conduisent des voitures de millardaires.
Ousmane Sonko:
C est Amadou Ba, alors directeur général des impots et domaines, qui est allé demander a Abdoulaye Wade de donner son autorisation pour que Sonko et compagnie puisse former leur syndicat(ils n avaient pas le droit avant cela).
Quand Amadou Ba quitta la direction générale des impots et domaines pour devenir ministre des finances de Macky Sall, il fut remplacé par Seynabou Niang Thiam. Trés vite aprés le depart de Ba madame Thiam decouvrit un groupe de fonctionnaires de la dgid qui s’adonnait a des malversations sous Ba. Ndioutj Ndiatj(pour le compte de qui? Pour leur compte? Pour le compte de Amadou?). Elle les signala a la police et ils furent arretés. Sonko et le syndicat vinrent trouver la directrice et la menacérent: tu as denoncé nos collegues(voleurs), eh bien on va te faire partir de ce poste. D’un autre cote, elle recut la visite d’ investisseurs etrangers directeurs de sociétés(energie, mines,telecoms), qui voulaient qu’ elle reduise leurs impots(probablement des « clients » de son prédécesseur). Elle refusa. Ces etrangers allerent voir le ministre des finance A Ba, ex DG des impots pour lui dire que la dame a refusé de jouer le jeu (ndioutj ndiatj). A Ba appelle la dame pour lui dire de réduire pour ces messieurs, madame Thiam persiste dans son refus. Qu’ ils aillent payer.
Madame Thiam est donc entré en guerre avec Sonko et son syndicat, d’un coté, avec Amadou et ses investisseurs protégés, d autre part. Cela la poussa a demissionner.
Tahibou Ndiaye est un prédateur foncier, un grand voleur, qui du temps de Abdoulaye Wade a volé des terrains de particuliers a travers Dakar, pour les donner a des politiciens(wadistes ou karimistes). Quand il fut arrété par la CREI, Sonko mousellmi le defendit de toutes ses forces. « Mann ma teyy defendre Tahibou Ndiaye ».
Sonko est allé a « Sweet beaute », sans ses epouses, sans ses gardes du corps. Quelque chose s’y est passé. Peut etre a t il ete piegé par des politiciens , c est possible voire probable. Mais il a refusé de se preter a l analyse de l’adn. Ce qui le rend suspect pour le moins.
Sonko vient de negocier avec le domou haram Macky Sall. Vraisemblablement il accorde a Macky et sa menagerie une impunité en echange de sa rehabilitation et de celle de ses partisans. Cet accord est signé avec la guarantie de personnalites etrangeres(les imbeciles habituels qui detroussent le Senegal, on a parle du roitelet du maroc et de celui du qatar). Pourquoi Macky et ses imbeciles devraient ils s en tirer aussi facilement. Ils ont detruits nos vies pendant 12 ans et ils s en sortent comme ca.
Sonko n’a peut etre pas volé d argent du contribuable. Mais il n a ni le temperament, ni la maitrise, ni I integrité, ni la maturité requise pour diriger le Senegal, meme par procuration. Il est trop dangereux. Son poulain, inexperimenté et influencable est tout aussi dangereux.
Diomaye:
Très jeune, trop influencé par son maitre. Dans une interview avec Maimouna Ndoye Faye(chercher sur google) Diomaye défend comme une hyène le voleur Tahibou Ndiaye. MNF lui demande pourquoi défendez-vous Tahibou, grand prédateur foncier, il répond c’est notre syndicat qui nous a dit de le défendre.
Diomaye est probablement un bon gars, je ne veux pas dire du mal de lui, mais il n’a certainement pas les épaules pour être président du Sénégal.
Daouda Ndiaye. Trop proche de personnalités dangereuses(millardaires étrangers, membres d’ obédiences suspectes) qui ne nous souhaitent pas du bien.
A. Ba: Fonctionnaire milliardaire. Ce qu il y a de pire. Profondément corrompu. Dangereux. Il a detruit la DGID, et apres, peut etre meme toute l administration. On se demande parfois s il n est pas le diable incarné. Il est aussi pourri que Macky. Peut etre meme pire.
Thierno Alassane Sall:
Fut un temps proche de Macky Sall, mais est devenu un adversaire determiné du dictateur. Je crois qu il sort du lot.
Mamadou Lamine Diallo:
Il s’associe parfois a des politiciens peu recommandables.