XALIMANEWS- Le premier ministre le reconnaît. Face à l’opinion, sur la situation du pays, les faits tels qu’exposés peuvent avoir de lourdes conséquences sur l’image du pays.
« Nous en sommes conscients. Cette situation peut susciter une certaine peur de la part des bailleurs. Mais nous en avons discuté avec le Fmi et la Banque mondiale. Ils ont été surpris, même s’ils sont conscients que c’est un exercice indispensable. C’était un exercice nécessaire pour reposer le pays sur des rails très solides », a-t-il expliqué.
De toutes facons tout le monde savait que depuis 2012, tous les chiffres et statistiques qu´ils nous balancaient a la figure etaient falsifies et fabriques de toute piece, meme le recent recensement de la population semble avoir etait fomente.