XALIMANEWS: »Suite à la polémique après la nomination de Mme Aoua Bocar Ly-Tall au CNRA, le président du parti Pastef a réagi, dans le soirée de dimanche, pour apporter des précisions et dédouaner le chef de l’Etat de toute mauvaise appréciation », lit-on dans les colonnes du Soleil. Le journal ajoute que Ousmane Sonko »a également appelé les militants de sa formation politique à comprendre les enjeux autour de la gestion du pouvoir ».
« Sonko se dresse en bouclier du président Diomaye Faye. Il coupe le flux de critiques pastéfiennes vers le chef de l’Etat et recadre leurs auteurs », relève aussi Vox Populi. Si le leader de Pastef a admis « une erreur de casting, il a recadré les militants et les personnes qui ont tenu des propos démesurés sur cette affaire », indique le quotidien Enquête.
La sortie des PMA, »un cadeau empoisonné »
« On peut commettre des erreurs mais pas des fautes », assure Ousmane Sonko dans des propos rapportés par le quotidien Libération, qui reproduit à sa une une autre déclaration du leader du parti Pastef : « Il faut que les menaces cessent ». « On ne menace pas un président », insiste-t-il à la une du journal Le Quotidien.
Ousmane Sonko: « Il faut que les menaces cessent, on ne menace pas un Président »
Date:
Eupeuteulew
le fantôme de Samuel Doe s’est caché de honte!