On en sait un peu plus sur l’affaire, qui secoue le Port autonome de Dakar (Pad) depuis quelques jours. Principal mis en cause dans cette affaire, Abdoulaye Wade Ndiaye, qui a reconnu les faits après avoir été pris pour des faux ordres de mission, a non seulement reconnu par écrit les faits, mais aussi cité le chef du Bureau de la Trésorerie comme étant son complice. C’est Bara Sady lui-même qui a porté l’affaire devant la Justice.
Comme nous le révélions dans notre dernière livraison, un scandale de faux secoue le Port autonome de Dakar (Pad). Après avoir découvert l’affaire, le Directeur général du Pad, Bara Sady, a agi avec célérité et pour cause. Lui-même est, en quelque sorte, victime des agissements du principal mis en cause, Abdoulaye Wade Ndiaye. Homonyme du président de la République, avec qui il n’a pourtant aucun lien de parenté, le bonhomme, qui est originaire de Kébémer, exerce au Port de Dakar depuis 2003. Son modus operandi ? Falsifier les signatures du directeur général et du secrétaire général du Port pour fabriquer de faux ordres de mission afin de permettre à des personnes extérieures à la boîte d’émigrer tranquillement sans se faire remarquer. En échange, bien sûr, d’espèces sonnantes et trébuchantes.
Pour le moment, les sommes encaissées, grâce à ces manœuvres frauduleuses, sont estimées à 11 millions de F Cfa. Après avoir découvert les magouilles de Abdoulaye Wade Ndiaye, son supérieur hiérarchique a servi à celui-ci une demande d’explication. Dans sa réponse, le mis en cause n’a pas cherché à nier les faits qu’il a reconnus dans leur totalité. Mieux, il a cité le chef du Bureau de la Trésorerie, comme étant son complice. Stratégie de défense ? Ce dernier, une dame, a été interpellé en même temps que le mis en cause principal, par la Brigade du Port saisie par la Direction générale par plainte. A la faveur d’un retour de parquet, c’est aujourd’hui qu’ils feront face au procureur de la République, déférés qu’ils sont depuis vendredi dernier.
C. M. G
Le receveur de l’agence de La Poste à Ponty prend la fuite avec 36 millions de Fcfa
Le Port autonome de Dakar n’est pas la seule société publique où un scandale a été mis à nu. Presque dans la même période, une affaire extraordinaire a éclaté à la Poste, précisément à l’agence de Ponty. Le receveur, Kalidou Mbodji s’est volatilisé avec la rondelette somme de 36 millions de Fcfa. C’est une mission d’inspection envoyée par la direction générale qui a découvert le trou. Quand il a su qu’il était pris, l’indélicat receveur, pourtant à deux ans seulement de la retraite, a pris la clé des champs. Il est activement recherché alors que l’inspection suit son cours.
C.M.G
lasquotidien.info
mes amis mes freres vous avez vu la methodes des wades dans tous les secteurs y’a magouilles detournement falcification vol de terres et personnes n’est inquietes jusqu’a maintenant .Tous devez declancher avec LARTP mais comme il y’a karim dedans ………………………..
Je pense que cet article n’appelle à aucun commentaire dans la mesure où l’essentiel a été fait par les autorités portuaires. Le président de la République ainsi que DG du port ont fait ce qu’ils devaient faire à savoir donner du travail au sieur Ndiaye et si ce dernier a agit en violation de la loi, ce serait tout simple subjectif d’imputer une telle faute à Maitre WADE ou au DG du port. Certains senegalais doivent avoir l’habitude de juger les faits de maniere objective et je suis vraiment désolé Monsieur Diagne mais j’ai l’impression que t’a meme pas fait les blanc.
Je pense que cet article n’appelle à aucun commentaire dans la mesure où l’essentiel a été fait par les autorités portuaires. Le président de la République ainsi que DG du port ont fait ce qu’ils devaient faire à savoir donner du travail au sieur Ndiaye et si ce dernier a agit en violation de la loi, ce serait tout simple subjectif d’imputer une telle faute à Maitre WADE ou au DG du port. Certains senegalais doivent avoir l’habitude de juger les faits de maniere objective et je suis vraiment désolé Monsieur Diagne mais j’ai l’impression que t’a meme pas fait les bancs.