Déjà en 2005, j’avais averti à qui voulait l’entendre, à travers une contribution dans Walfadjri n°4042, en anticipant en ces termes: « (…) Le Sénégal qui figure dans le cercle des pays les plus pauvres au monde, se glorifie de vouloir construire dans un délai d’un an, la plus grande statue au monde, « Le Monument de la renaissance africaine ».(…)
Le citoyen que je suis, anticipe sur la sensibilité connue des questions religieuses. Les guides religieux, quant à eux, ne devraient pas attendre l’inauguration pour opposer leur veto et évoquer les mêmes raisons qui avaient poussé le Mollah Mohammed Omar, commandeur des croyants d’Afghanistan, à détruire la plus grandes statue Bouddha, haute elle aussi d’une cinquantaine de mètres. A ce moment là l’encre coulera à flots. A bon entendeur… »
Ces phrases datent donc d