Ousmane Sonko, président du Pastef, et ses inconditionnels avaientjurédepoursuivre leur «Nemmeekutour ».Ils continuent de «battre campagne » campagne et vont continuer de plus bel. « Le commencement est la moitié du tout », constatait un amoureux du Savoir. Une victoire d’étape contre le
pouvoir etla presse.
Si à l’entame de son « Nemmeeku tour », des éléments de la Gendarmerie de Joal, dans le département de Mbour, avaient tenté de disperser les foules qui le suivaient ou venaient à sa rencontre, Ousmane Sonko a quand même continué ses déplacements et contacts avec militants et électeurs potentiels.
Parmi ceux-ci, des dignitaires religieux (toutes confessions
confondues) et coutumiers ; autant que d’autres « leaders d’opinion ». Sa fermeté et le bloc compact autour ont permis cette victoire. Sonko remporte ainsi la première manche. Elle consistait à démarrer le tour du Sénégal, malgré les menaces et « intimidations et le « risque 0 Ndiaga Ndiaye » : ces cars d’antan, qui transportent des « militants » à l’occasion de meetings et autres manifestations politiques. Une victoire d’étape
au détriment du pouvoir, à travers les forces de l’ordre. La solution du dispersement par jets de grenades lacrymogènes n’ayant pas atteint l’effet escompté, les forces de l’ordre sont désormais obligées de laisser dérouler, tout en veillant au grain. Un rétropédalage du durcissement à l’encadrement, qui mobilise voitures de sécurité, carburant et frais liés à l’encadrement, non sollicité, du « Nemmeeku tour » de Sonko. Une opération qui coûte et coûtera C’est le contribuable sénégalais qui va encore casquer malgré lui. Du côté du régime au pouvoir, la résignation semble avoir fait place aux menaces d’organiser des « contremarches ». Les agitations et menaces autour du pouvoir visent le plus souvent des avantages financiers et des
stratégies de promotion qui ne disent pas leurs noms. Une « passivité » qui ne va pas faciliter l’écoulement des 1 500 000 cartes de membres que le parti présidentiel compte réussir
bien avant le tout prochain grand scrutin de 2024. Sonko marque du coup une avance sur ses potentiels adversaires à cette élection. Et, le leader du Pastef et de la coalition Yewwi Askan wi a su dérouler au détriment, également, de la « presse». Car même s’il ne ménage pas les journalistes et est allé jusqu’à faire ôter hors de sa vue un de leurs micros, sa tournée est, en dépit des misères qu’il leur fait, relayée ; surtout par la
presse en ligne. Ce qui viole le Code électoral, étant entendu que le Sénégal est encore loin de la campagne électorale pour la Présidentielle de 2024. Certainement qu’ajustements et reconsidérations ne manqueront pas au sujet du « Nemmeeku tour », de son initiateur et dirigeant
Poursuite du « Nemeeku Tour » Ousmane Sonko remporte la manche sur ses détracteurs
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« remporte la manche »…. MDR !!! kekh kekh kekh kekh…