[Video] Le Professeur Seydi affirme: « Il faut être fort psychologiquement pour traiter un malade atteint d’Ebola » et révèle que la presse a tout faux sur le vrai nom du jeune guinéen

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XALIMA-NEWS-

Ils ont soigné Ebola : Le service des maladies infectieuses du CHU Fann “ Homme de l’année” 2014 Xalima.com !

L’homme de l’année 2014 est décerné à l’équipe du professeur Seydi chef de service des maladies infectieuses de l’Hôpital de Fann.

Initié en 2008, L’Homme de l’année Xalima.com  entre dans sa 7eme édition. Aprés Amadou Mactar Mbow en 2008, Abdoul Latif Coulibaly 2009, Oustaz Alioune Sall en 2010, Y’en a marre en 2011,  Aminata Touré 2012 et Khalifa Sall en 2013, La rédaction de xalima a porté son choix sur le service des maladies infectieuses du Centre Hospitalier Universitaire Fann.

Ce prix, vous l’avez compris, célèbre cette année, le travail remarquable du Professeur Seydi  et de ses collaborateurs lorsque le Sénégal a fait face à la Maladie à virus Ebola.

En soignant le guinéen malade, seul cas au Sénégal, le Professeur  Seydi et son équipe ont épargné au pays de vivre une psychose qui s’annonçait et qui aurait pu avoir des conséquences désastreuses à tous les niveaux. Sous ce rapport, toutes ces personnes méritent la reconnaissance  de toute la nation.

Certains auraient à juste titre pensé au ministère de la santé, mais la rédaction de xalima a voulu honorer les hommes et les femmes de l’ombre. Ceux qui tous les jours dans leurs activités respectives agissent comme des héros.Tantôt anonymes, tantôt discrets mais toujours héros !

Naturellement, le Professeur Seydi et son équipe, ne se prennent pas pour des héros et  considèrent avoir tout simplement, fait leur travail.  Sous ce rapport, ils sont de valeureux professionnels, consciencieux et respectueux de leur déontologie dont l’aspect principal est d’abord  de servir.

Avec la rédaction de xalima, le Professeur Seydi est revenu sur la façon dont le patient guinéen a été traité. Il a parlé de l’angoisse et de la nervosité de leurs familles au moment où le porteur du virus Ebola etait entre leurs mains. Le Professeur a abordé bien évidemment cette recompense qu’il prend, son équipe et lui, comme une reconnaissance et un encouragement

14 Commentaires

  1. BRAVO !

    Permettez cette digression pour remettre au jour ceci :

    DEPUIS DIX ANS je fait cette proposition qui me semble très pertinente ! Le Gouvernement, et la Ville de Dakar et pourquoi pas les autres Communes du Sénégaldevraient collaborer pour profiter de cette semaine de MAGAL durant laquelle Dakar et toutes les grandes villes du Sénégal sont presque vides de leurs habitants pour nettoyer de fond en comble nos rues et Avenues ! Pour réussir cela, on pourrait faire travailler au moins 2000 jeunes dans Dakar, autant à Pikine et les autres Communes périphériques. Il y a des cerntaines de milliers de jeunes qui travailleraient 8 heures/jours pendant 7 jours si on leur accordait un revenu forfaitaire de 60.000 FCFA/ net ! Je demande à mon ami et frère, le vaillant ministre DIENE FARBA SARR de réfléchir à cette proposition à mettre en oeuvre lors du prochain GAMOU ! Les anciens de ROUEN/SEINE MARITIME sont très fiers de vous, et suivent avec intérêt votre volontarisme dans vos actions depuis votre nomination à ce poste Ô combien pour le développement d’une société ! On ne peut continuer à être l’un des peuples les plus désordonnés, souce de saleté dans nos Villes et villages

  2. Un peu trop de félicitations … Se battre contre la maladie ou pour la maladie ? Pour ce qu’elle est, d’où elle vient, qui est responsable d’elle … Il convient de rappeler :

    V = Voiler et camoufler les causes sociales, c’est-à-dire iatrocapitalistes de la maladie
    I = Isoler les gens
    R = Réprimer la protestation de la maladie
    U = User de violence pour réprimer la révolte
    S = Soumission à la norme médicale pour étouffer la solidarité entre les gens

    Voir aussi http://spkpfh.de/Sida_SRAS_maintenant_ebola.htm

  3. Ah quelle belle idée,nettoyer la ville durant le magal…:) tu penses la pensée de vos ou de nos administrés est la salubrité ?et même si on nettoyer tout Dakar ,après le retour de ses chauvages aller à touba ça sera comme avant après une journée…une ville ou une maison ça se nettoie chaue jour,organiser un système efficient de ramassage des ordures….cependant le plus important c’est le comportement de chaque citoyen…il faut commencer dans les écoles,dans nos foyer à enseigner aux enfants comment se comporter envers ce fléau qui est l’insalubrité ….je suis très désolé mais ces pas pour demain la solution…le sénégalais en général est sale,nos gouvernant s’en fiche des villes super sales,on dirait même qu’ils aiment…ne me dite pas que je ne suis pas sénégalais ,ou je veux être toubad…je suis sénégalais et fière de l’être mais j’ai seulement édifier la vérité ou la réalité ….suis désolé…

  4. Merci MAIS ! En ce qui me concerne, je peux tant bien que mal argumenter sur la pauvreté (et non de la misère) au Sénégal, mais j’ai du mal à le faire pour la saleté qui est partout, Villes comme villages ! J’ai eu la chance d’aller dans un pays d’Afrique, le Cap-Vert, et j’étais étonné que des populations moins riches que la moyenne des Sénégalais aient pu maintenir leur environnement aussi propre que partout dans les pays développés ! Au Cap-Vert, c’est la joie, la propreté qui frappent le plus les étrangers qui arrivent, et mieux, ils sont si fiers que personne ne court derrière les touristes pour vendre ou demander quoi que ce soit ! J’aime trop les villages Sénégalais, sinon j’irai vivre dans ce beau pays !

    • je suis bien d’accord avec vous sur le fait qu’en matière de propreté de notre cher pays senegal, on est à la traine mais comparé le senegal (196 000 km2) et le Cap vert (4000 km2) c’est un peu abusé. il est plus facile en matière de propreté de gerer une petite surface qu’une grande…je vous donne l’exemple des pays occidentaux oubien prenons la france pour faire simple l’ile de france est plus sale que les provinces donc c’est une question je pense de surface et de densité bien qu’à vrai dire nous devons faire beaucoup d’efforts nous sénégalais dans ce domaine

  5. je dis bravo à ce professeur, sauf que je pense que la personnalité de l’année est plutot le ministère de la santé.
    je m’explique le professeur n’a fait que son boulot c’est à dire soigner une personne malade, il n’ ya rien d’extraordinaire dans cela, on connait ébola et connait les « moyens  » pour essayer de guérir une personne malade et c’est ce que le professeur et son équipe ont fait.

    Concernant le ministère de la santé je loue leur travail dans la gestion de cette crise (communication, mise à disposition des moyens, identification et confinement des « personnes à risque » et surtout la menace qu’elle a adressé aux charlatans…de plus je pense qu’en leur donnant cela c’est aussi le donner au professeur seydi et à son équipe.

    Quoiqu’il en soit je remercie et j’encourage toutes les personnes qui ont géré ce cas

  6. •A VOUS DE JUGER !

    Actualités
    • Faits divers
    Paris : le vrai malade du sida fabriquait de faux malades
    L’homme, qui bénéficiait d’un titre de séjour pour pouvoir être soigné en France, utilisait sa maladie pour obtenir des papiers à d’autres.
    12 Déc. 2014, 14h32 |

    70
    Info le Parisien
    L’escroc, atteint du sida, se faisait dépister sous différentes identités. Une fois le diagnostic établi, contre une somme d’argent, ses clients récupéraient les analyses pour bénéficier d’un titre de séjour provisoire. (PhotoPQR/«l’Alsace»/Jean-Marc Loos.)
    Son mode opératoire — jusqu’alors inédit — a donné bien du fil à retordre aux policiers parisiens lancés à ses trousses. Un Ivoirien âgé d’une cinquantaine d’années, soupçonné d’avoir obtenu plusieurs centaines de titres de séjour pour des étrangers sans papiers, a été incarcéré il y a quelques semaines.

    Malade du sida depuis des années et bénéficiant d’une carte de séjour provisoire au titre de son état de santé pour lui permettre d’être soigné, l’aigrefin s’est fait passer à plusieurs reprises pour un autre étranger. Ce qui lui permettait, grâce à son statut particulier, d’obtenir des papiers pour ces irréguliers afin qu’ils puissent rester sur le sol français. Il a ainsi multiplié les obtentions de titres de séjour valables un an, mais qui étaient automatiquement reconduites compte tenu de la supposée maladie dont souffraient les bénéficiaires. Ceux-ci ne devraient pas être inquiétés par la police puisque leur dossier est protégé par le secret médical.

    Un médecin complice de l’escroquerie

    « Il négociait chaque titre entre 2 000 et 3 000 €, précise une source judiciaire. Il facturait ensuite le renouvellement autour de 500 €. Il semble avoir agi de la sorte depuis 2008. Il a fait bénéficier de ses services plusieurs centaines d’étrangers arrivés en France sans titre de séjour. C’est la première fois que nous détectons ce type d’arnaque afin de favoriser des étrangers en France. »

    Selon nos informations, les policiers parisiens chargés de cette délicate enquête sont parvenus, jeudi, à identifier l’un des principaux complices de cet escroc pas comme les autres : un médecin, âgé de 60 ans, implanté à Paris. Ce dernier a été interpellé avant d’être placé en garde à vue. Il est soupçonné d’avoir délivré de nombreuses ordonnances de complaisance afin que l’escroc puisse faire des dépistages du VIH sous différents noms. Des analyses qu’il faisait effectuer en milieu hospitalier ou dans des laboratoires privés. « L’homme à l’origine de cette arnaque se présentait dans les laboratoires ou à l’hôpital avec une ordonnance au nom des gens qui étaient venus le solliciter, poursuit la même source. Une fois le diagnostic du sida établi, il suffisait aux clients de l’escroc de se présenter en préfecture avec ces analyses pour récupérer le titre de séjour provisoire décerné à ceux qui ont besoin de soins. »

    Une faille dans le système de surveillance

    Au fil de leurs investigations, les enquêteurs ont mis au jour une des failles du système médical français, parfaitement exploitée par l’aigrefin. « Au moment où il se présentait dans ces labos ou à l’hôpital, personne ne vérifiait son identité, souligne un proche de l’affaire. Pourtant les hôpitaux sont dotés d’une cellule d’identito-vigilance. Il s’agit d’un système de surveillance et de gestion des risques liés à l’identification des patients. Lorsque l’on questionne les hôpitaux sur le fait de savoir pourquoi ils ne vérifient pas plus l’identité de leurs patients, ils répondent qu’ils ne sont pas là pour faire le travail de la police. Et en ce qui concerne les laboratoires d’analyses médicales, ces entreprises sont dans une démarche principalement mercantile… »

    L’arnaqueur, domicilié dans un appartement au confort spartiate d’un immeuble situé à Bobigny (Seine-Saint-Denis), aurait expédié une bonne partie des « revenus » obtenus grâce à sa maladie vers son pays d’origine. Plusieurs dizaines de milliers d’euros tirés de cette escroquerie auraient ainsi été envoyés vers la Côte d’Ivoire. Le même homme a également recruté une femme, comme lui porteuse du VIH, afin de permettre à des étrangères en situation irrégulière de se voir délivrer des papiers selon la même combine. « Son système était parfaitement rodé et il débordait de demandes, ajoute la même source. A l’issue de son audition, il a reconnu a minima les faits. »

  7. Bonjour à tous,
    je suis très content de cette distinction méritée.
    En connaissant le professionnalisme de ces Médecins et en leur tête le Pr SEYDI, il n’est pas étonnant que ce service relève le défit dans des cas pareils. Merci à XALIMA pour avoir détecter ce fruit rare.
    Merci au Pr SEYDI;

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