Toutefois, elle est convaincu que «l’engagement du gouvernement du Sénégal à entreprendre un nouveau programme ISP avec le FMI nous fait bien penser que la gestion macro économique de 2011 sera solide et la stabilité sera préservée».
Parmi les risques on peut noter ceux qui sont internes à l’image du problème d’approvisionnement en électricité. Pour Valeria Fichera, la contrainte du secteur de l’énergie joue un rôle important dans la croissance au Sénégal. Elle a confié que «si le type de manque d’énergie que l’on a expérimenté entre 2009 et 2010 se maintiennent, les risques pour la croissance seront importants. On espère que les réformes qui seront mises en place en 2010 et en 2011 pourront permettre une fourniture d’énergie qui satisfait la demande existante et qui pourrait permettre une croissance au niveau de 4 ou 5%».
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il faut qu’ils arrêtent à Washington de dénoncer des faits qui sont bien répandus dans les pays « développés ». L’opportunisme politique dans les politiques économiques (baisse des impôts, incitations à l’investissement…) fondent les décisions à la veille d’élection en Europe ou aux USA.
Le FMI est dans son rôle. Il faut comprendre les termes diplomatiques d’une institution parmi les mieux informées des réalités de chaque pays : parce que le régime sénégalais actuel est condamné, la probabilité est élevée que plus que jamais ses porteurs fassent main basse sur les actifs financiers et les budgets de l’Etat du Sénégal, avant de fuir.
oui tssss, tu as raison le FMI est certes bien informé mais l’alerte ne concerne pas la fuite des capitaux qu’il ne peut enrayer même pendant le mandat de certains régimes voyous. Comme le titre l’indique, il s’agit ici « d’inquiétudes » par rapport à la mise en place de politiques économiques expansionniste qui augmenterait les dépenses de l’Etat pour « forcer » un bilan…