L’Alliance des forces de progrès (Afp) et le Parti de l’indépendance et du travail (Pit) ont décidé de « mettre sur pied des groupes de travail sur toutes les questions importantes, urgentes, à court, moyen et long termes autour d’un schéma cohérent d’actions ». Les deux formations ont arrêté hier, lundi 18 octobre, cette position à la suite d’une rencontre des deux délégations dirigées par Moustapha Niasse, pour le compte de l’Afp, et Magatte Thiam à la tête des responsables du Pit.
En effet, les questions sur lesquelles les deux partis vont se pencher « tournent autour de l’agriculture, des inondations, de l’énergie, de l’éducation, de la jeunesse, de l’emploi, de la question de genre, des ressources minière, de la santé et plus généralement des questions économiques, sociales et culturelles, sans oublier liées à la cherté de la vie, à la rareté et à la hausse des prix des denrées de première nécessité, les pénuries de toutes sortes et, bien évidemment, le processus électoral ».
Les deux délégations ont passé en revue, au cours de la rencontre, les questions « liées à l’actualité nationale et discuté du contexte économique et social marqué par les difficultés que vivent les populations du Sénégal, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain, l’angoisse grandissante, l’incertitude et l’inquiétude suscitées chez elles quant aux perspectives sombres que le mode de gouvernance érigé par le chef de l’Etat Abdoulaye Wade et son système continuent de tracer pour le Sénégal depuis près d’une décennie ».
Pour l’Afp et le Pit, la situation qui prévaut au Sénégal, dominée par la mal gouvernance, la corruption, gabegie et le bradage des ressources nationales au profit d’une oligarchie installée par Abdoulaye Wade, « appelle de la part de l’Afp et du Pit une concertation permanente et à tous les niveaux de leur organisation pour travailler à la consolidation de leurs liens, à la réflexion commune autour des solutions de sauvegarde nationale ».
Par ailleurs, les deux formations politiques se félicitent des initiatives de Bennoo Siggil Senegaal à la base et encouragent leurs organisations à renforcer celles-ci par des actions communes. De même que « des convergences notées et s’engagent à mettre en œuvre les orientations dégagées ».
sudonline.sn
de la pure politique politicienne un vocabulaire lourd avec des mots qui a peu pres n’ont aucun sens profond ou precis .loin de moi l’idee d’etre une militante de la generation du concret mais suis pour le changement au sein des partis politique il faut de nouvelles tetes et des jeunes en plus car la jeunesse c’est l’espoir et c’est de cela dont on a besoin .concretement au moment ou nous en sommes a quoi servent leurs rencontres protocoles feuilles de route ?RIEN QUE DE LA PAPERASSE EN PLUS .moustapha niasse il est extremement riche il a des partenaires à travers le monde pourkoi est ce qu’il ne paraine pas des ecoles coraniques par exemple ? denio sone ci wakh dji
Moustapha Niasse donne deja beaucoup aux ecoles coraniques mais il refuse d’en parler et d’en faire la publicite. Si tu n’y croit pas il faut aller demander a Coki, a keur Mariama Niasse, a N’diouroul de Serigne Saliou etc. Oui a des jeunes tetes dans les partis politiques mais faut-il que les gens apprennent a faire de la politique. On ne s’improvise pas politicien du jour au lendemain, il faut endurer beaucoup de choses, etre patient, avoir un bagage intellectuel, un cv bien rempli avant d’exercer des responsabilites politiques. La politique c’est l’art de gerer les affaires de la cite mais aussi c’est l’art de gerer les hommes: c’est un long apprenti ssage.