Par ces temps qui courent, le Sénégal traverse une crise sans précédent. Cette crise est née, certes, d’une accusation de viol mais révèle un mal-être et une frustration longtemps ruminés.
Tout porte à croire que le sénégalais “hors-système” attendais l’affaire sonko-Adji Sarr qui symbolise l’élément déclencheur d’une révolte dont les motivations profondes dépassent l’arrestation de Ousmane Sonko et prennent racines des frustrations de la population. Comme pour dire par là, que les grands changements ont toujours été amorcés par un choc, une crise ou une guerre….
Tout se passe comme s’il faut toujours un élément déclencheur pour espérer assoir des transformations sociales profondes.
Et, s’il en est ainsi, et nous croyons qu’il en est ainsi, alors l’affaire sonko-Adji Sarr ne doit pas être interprétée comme un moteur de l’histoire. N’est-elle pas celle par laquelle l’histoire de la nation sénégalaise connaitra son évolution ? Y a-t-il une différence entre l’affaire Mohamed bouazizi et celle de Sonko-Adji Sarr ? On pourrait toujours nous rétorquer, et d’ailleurs de bon droit, les dégâts et atrocités relevés çà et là.
Mais, ne perdons pas de vue l’adage qui dit : on ne fait pas d’omelette sans casser les œufs ! la vérité, c’est que l’histoire, en elle-même, est tragique. N’est-ce pas ce que tente de nous montrer Hegel à travers cette phrase : “l’histoire universelle n’est pas le lieu de la félicité. Les périodes de bonheur y sont comme des pages blanches.” Au travers de ces lignes, il apparait clairement que ce sont des situations chaotiques qui déclenchent des régénérations profondes et structurantes des nations.
Cela dit, il reste préciser qu’il est plus facile de voir des problèmes ou des goulots d’étranglement dans une organisation. Mais, le plus difficile reste comment surmonter ces difficultés. Il est vrai que le diagnostic constitue un maillon essentiel dans la chaine de la recherche des solutions. Plus important , c’est le passage entre l’établissement des problèmes et l’avènement de la solution demeure une étape cruciale que connaissent tous les réformateurs ou conseiller en organisation.
En vérité, entre le problème et la solution, il y a des habitudes et des comportements à vaincre. Ces derniers sont d’autant plus difficiles à contourner qu’ils sont justement des chaines forgées par notre esprit. Ces chaines imaginaires finissent toujours avec le temps par embarquer la masse et l’installer profondément dans une sclérose insupportable mais endémique.
A cette étape de l’histoire d’un peuple, de nouvelles idées ne manqueront pas de jaillir tout autant que des messies. Mais l’essentiel, c’est comment faire accepter ces nouvelles idées par un nombre beaucoup plus important d’individus. C’est là qu’il faut briser la glace ! Est-ce une œuvre facile ? Je donne ma langue au chat. Une chose est claire : toutes les sociétés vieillissantes finissent toujours par fabriquer une série de défense contre les idées nouvelles. C’est la raison pour laquelle, l’avènement d’un choc est nécessaire pour pouvoir provoquer le déclin d’une société sclérosée.
comme la si bien dit un intermaut a toute chose malheur es bon mais si on ne souhaite que du bien a notre cher pays le senegal qui depuis les indépense est piller par les polite-pensant que les sénégalais son poltron; il ne feront rien et voici le moment que le peuple dit TROP cest TROP.
LE pouvoir c est nous et non vous les politique-C EST UNE ALERTE a TOUT LES POLICIENS quiGOUVERNE OU QUI GOUVERNERONT-ON SUIT LES CHOSE MAINTENANT ON NE VOUS LAISSERA PLUS FAIRES VOS PILLAGE ET COMPLOT POLITIQUE SINON GARS 0 VOUS.
*** attention N ACCEPTER JAMAIS LA MEDITION D’IDRISSA SECK il EST MAUDIT- MALHONNETTE -TRAITRE-COMPLOTISTE- SA PAROLE NE VAUT REIN RIEN RIEN-
PAS DE 3eme MANDAT- LES SENEGALAIS NE L ACCEPTERONS PAS-RESPECT AU SENEGALAIS
VIVE LA PAIX VIVE LE SENEGAL