En conclusion. Pour la presse délinquante, corrompue, mythomane, manipulatrice, chasseur de prime, le monstre ou le dictateur, ce n’est pas celui qui commet des crimes contre l’humanité, ce n’est pas celui qui fait agresser les journalistes, celui qui les fait mettre régulièrement en prison, celui impose la censure, celui qui coupe internet. Pour cette presse criminelle, le dictateur et le monstre c’est celui qui a eu le tort de leur rappeler leurs obligations fiscales, celui qui a décidé de mettre fin au pillage des deniers publics, celui qui a décidé de gérer plus équitablement les conventions et l’aide à la presse.
MARVEL NDOYE
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Salam
Je vois un tableau où il est écrit 2 / 2.
Où est la partie 1 ?
OBSERVATEUR