J’ai toujours souffert en silence dans le secret de mon cœur meurtri, sans jamais oser crier ma rage et mon désespoir, de voir tous les jours, des femmes qui ont l’âge de mon épouse, de ma nièce ou de ma fille, déambuler presque nues, dans les rues et lieux publics de mon pays, sans qu’aucune force visible ou invisible ne puisse arrêter cette indécente exhibition de leur corps, ce trésor inestimable et sacré dont la nature les a gratifiées !
Qui donc mettra fin à cette violence faite aux hommes ? Par Moumar Guèye
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