Rallye Et Marche Demain A New York, Washington Et Ottawa

Si l’on considère les attitudes de nos journalistes et certains militants de ces organisations dites société civile, on est frappé par la propension à considérer ce que pensent Sarkosy, Obama, Merkel, comme si notre pays était sous contrôle de forces obscures, alors qu’il n’en est rien du tout. Le Sénégal n’est pas à la merci de ce que peuvent penser ces personnes que cite notre presse. A se demander si ce ne sont pas certains de nos compatriotes qui se considèrent comme des « esclaves » des sujets de ces pays. Quelles prises ces personnes citées pourraient avoir sur notre pays? Ont-elles prises sur d’autres peuples? Ces personnes pourraient-elles avoir prises sur des peuples dignes comme ceux d’Algérie, de Tunisie ou du Maroc? Ces peuples qui taisent leurs divergences politiques dès que leur Souveraineté Nationale est bafouée ou est en voie de l’être par quelque homme politique de grand ou petit pays. Le cas de l’Ambassade de France qui avait eu l’outrecuidance de rabrouer une journaliste qui lui posait une question qui semblait désobligeante à ses yeux est présent dans nos mémoires. Tout le peuple Tunisien, journalistes avec, pour le vilipender, jusqu’à demander qu’il quittât le pays, et c’est ce qui fût fait. On ne rigole pas avec l’ingérence, chez ces peuples-là. Ces peuples-là, messieurs, savent ce qu’est la dignité d’un peuple et le manifestent à chaque fois que de besoin. Ces peuples-là, messieurs, n’ont jamais été réduits en esclavage. Ces peuples-là n’accepteraient jamais qu’on humilie leur Chef, quels que soient leurs bords politiques. Mais, malheureusement, après le fameux et ignoble discours de DAKAR, nos journalistes, hommes politiques de l’opposition et tous ces lâches du M23 et de quelques va nu-pieds accordent une très grande importance à tout ce que peuvent dire ou penser SARKOZY et les autres. Le pire, ces journalistes et opposants politiques riraient aux éclats si un étranger injuriait notre Président, simplement parce qu’ils le détestent, par jalousie ou par méchanceté. Etant donné que tout le monde, étrangers qui vivent parmi-nous et ceux qui y étaient venus il y a cinq ans et qui y reviennent , ainsi que nos concitoyens de l’intérieur ou de l’extérieur reconnaissent le grand progrès réalisé par Wade, notre opposition ne veut plus de la seule voie qui vaille, celle des règles démocratiques mais que le champion ne combatte pas, parce qu’il serait trop faible, pas assez de force. Paradoxal, non comme raisonnement ! Notre plus grand problème à nous peuple Sénégalais, c’est que les tares, les comportements et les attitudes qui permirent à d’autres peuples de venir jusqu’à nos places de villages, en très petit nombre pour nous réduire en esclavages et après en colonies, sont toujours présents. Le président Wade voudrait bien nous en défaire, au moins dans les esprits s’y accrochent. C’est triste! Quel que soit celui ou celle qui serait à la place de Wade, en sa qualité de Président de la République, notre République, je me serais battu, insurgé, si un homme politique d’une autre République s’amusait à vouloir l’humilier ou à vouloir s’ingérer dans nos affaires intérieures et de surcroît si ces affaires relèvent de ce qu’il y a de plus fondamental dans une république : LA CONSTITUTION

Sadaga, tu ne réfléchis pas. L’honneur de WADE ne vaut pas le Sénégal. Il y a des morts juste à cause d’une personne qui bafoue la loi pour faire plaisir à sa femme et son fils. Toi tu es là à nous parler d’ingérence dans nos affaires intérieures. Si ton combat est pour l’honneur de WADE, c’est ton problème. Ce type n’incarne plus l’institution qu’il était censé représenter et il partira.