L’ancienne secrétaire d’Etat aux droits de l’homme puis aux sports, actuellement ambassadrice de France à l’Unesco, Rama Yade, a présenté sa démission au ministre des affaires étrangères Alain Juppé, d’après des informations recueillies par Europe 1. Celle-ci devrait être effective en juin.
La jeune femme avait été sèchement recadrée par le porte-parole du gouvernement en avril dernier, qui estimait à l’époque ses déclarations critiques incompatibles avec le devoir de réserve lié à son statut à l’Unesco. « Il y a des obligations de réserve qui sont imposées à tous les représentants de la France qui ont le titre d’ambassadeur. Cela s’impose à tout le monde, y compris à celles et ceux qui ont une trajectoire politique », avait déclaré François Baroin.
L’ancienne secrétaire d’Etat avait claqué la porte de l’UMP début avril pour rejoindre l’ancien ministre de l’écologie Jean-Louis Borloo, qui a lui aussi pris ses distances avec le parti majoritaire. Ce dernier a salué mercredi soir « le courage et l’honneur »de Rama Yade. « On va faire une super équipe ! Son engagement auprès de moi m’oblige encore plus », a ajouté le président du Parti radical, qui annoncera en septembre ou octobre sa décision de se présenter ou non à la présidentielle de 2012. lemonde.fr
ki nimou bagnè bopam
Le dossier Sénégal est entré de plein pied dans l’agenda diplomatique internationale. En marge des travaux de la FAO des représentants des grandes puissances (USA, France, Italie, Brésil, Arabie Saudite, Afrique du Sud) se sont rencontrés à Rome pour se concerter sur la meilleure stratégie pour éviter une implosion politique qui aurait des effets dévastateurs sur les équilibres géopolitiques de la sous-région. Il semble que pour l’heure les grandes puissances tout en prenant acte de la fin du cycle de Wade et en considérant les risques d’une involution démocratque, ont convenu d’assumer une position soft c’est à dire « pas d’ingérence tant que le président Wade maintient une attitude responsable en ménageant son peuple et en garantissant une normale dialectique politique sans violences. Le peuples sénégalais ont ils convenu, est dans une posture de maturité démocratique et sont déterminés à promouvoir un changement de régime comme ce fut le cas en 2000. Sur la question du 3ème mandat, ils espèrent que Wade renonce à cette eventualité et à toute volonté de dévolution monarchique du pouvoir. Il faut disent-ils aider Abdoulaye Wade à sortir de la grande porte avec honneur mais aussi il faut éviter que ses collaborateurs puissent contracter des actes engageant les finances publiques. La note politique la plus curieuse c’est que tous les présents ont convergé sur le fait qu’une candidature du DG de la FAO serait une chance pour le Sénégal. Et le pays qui a démontré le plus d’enthousiasme pour la candidature de celui qu’ils appellent ElHadj Mame Jacques Diouf c’est bien l’Arabie Saoudite. Et ce n’est pas un un mystère que dans les circuits diplomatiques, dans instances internationales et meme au niveau des Sénégalais de la Diaspora les manifestations de sympathie et d’encouragement pour une implication de Jacques Diouf dans la prochiane présidentielle 2012. Sur ce point, en attendant qu’il déclare officiellement sa candidature il y a meme des réseaux qui naissent, des structures qui se créent en faveur de cette candidature.
Le dossier Sénégal est entré de plein pied dans l’agenda diplomatique internationale. En marge des travaux de la FAO des représentants des grandes puissances (USA, France, Italie, Brésil, Arabie Saudite, Afrique du Sud) se sont rencontrés à Rome pour se concerter sur la meilleure stratégie pour éviter une implosion politique qui aurait des effets dévastateurs sur les équilibres géopolitiques de la sous-région. Il semble que pour l’heure les grandes puissances tout en prenant acte de la fin du cycle de Wade et en considérant les risques d’une involution démocratque, ont convenu d’assumer une position soft c’est à dire « pas d’ingérence tant que le président Wade maintient une attitude responsable en ménageant son peuple et en garantissant une normale dialectique politique sans violences. Le peuples sénégalais ont ils convenu, est dans une posture de maturité démocratique et sont déterminés à promouvoir un changement de régime comme ce fut le cas en 2000. Sur la question du 3ème mandat, ils espèrent que Wade renonce à cette eventualité et à toute volonté de dévolution monarchique du pouvoir. Il faut disent-ils aider Abdoulaye Wade à sortir de la grande porte avec honneur mais aussi il faut éviter que ses collaborateurs puissent contracter des actes engageant les finances publiques. La note politique la plus curieuse c’est que tous les présents ont convergé sur le fait qu’une candidature du DG de la FAO serait une chance pour le Sénégal. Et le pays qui a démontré le plus d’enthousiasme pour la candidature de celui qu’ils appellent ElHadj Mame Jacques Diouf c’est bien l’Arabie Saoudite. Et ce n’est pas un un mystère que dans les circuits diplomatiques, dans instances internationales et meme au niveau des Sénégalais de la Diaspora les manifestations de sympathie et d’encouragement pour une implication de Jacques Diouf dans la prochiane présidentielle 2012. Sur ce point, en attendant qu’il déclare officiellement sa candidature il y a meme des réseaux qui naissent, des structures qui se créent en faveur de cette candidature.