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REBEUSS – Béthio Thioune de plus en plus isolé

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REBEUSS – Béthio Thioune va recevoir ses visites les mercredis et en petit nombre : L’administration pénitentiaire réduit les privilèges du Cheikh
Les centaines de thiantacounes qui profitaient des jeudis pour voir leur guide à la Mac de Thiès vont certainement se mordre les doigts, suite au transfèrement de Béthio Thioune à Dakar. L’administration pénitentiaire a en effet décidé de réduire considérablement le nombre de visiteurs du Cheikh à Rebeuss, en plus de lui accorder les mercredis au lieu des mardis.

7 Commentaires

  1. Le Sénégal à l’épreuve de la justice : Béthio Thioune, du statut d’un faussaire à celui d’un martyr.

    Béthio Thioune, le faussaire ou le symbole d’un gourou satanique. IL est impliqué dans plusieurs affaires de détournements d’argent. Pour échapper à la justice, il se réfugie dans le mouridisme.
    Un ancien administrateur civil atypique, controversé, né vers les années1938 ; très futé, comme d’ailleurs, tous les bandits de son espèce, l’escroc notoire, Béthio Thioune, passé maître de l’escroquerie, pour se créer une posture, l’homme s’infiltre à Touba, fondé par le vénéré cheikh Ahmadou bamba Mbacké, se convertit au mouridisme et prêta allégeance à son fils, Serigne Saliou Mbacké, son guide spirituel, dans l’optique d’assurer une fulgurante promotion sociale et imprimer sa propre marque d’impunité. Pour rappel, sachant que le nom « béthio », qui veut dire petit pagne, ne peut être prononcé dans le milieu, , il s’autoproclame lui-même serviteur et ajoute à son nom « cheikh » qu’il usurpe pour se remplir les poches et avoir une notoriété.
    Pendant les élections de 2012, arrosé de mallettes, il soutient WADE, son candidat. Sur une population de 13-14 millions, il déclarait 7 millions de disciples. Un délire. Béthio : « Si Wade ne gagne pas l’élection, qu’on ne me fasse plus acte d’allégeance ! »
    « Le bon criminel», qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu politique, n’est pas un citoyen ordinaire, lit-on dans la presse en boucle.
    Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le détenu sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.

    Quoiqu’on puisse dire, Béthio Thioune et ses complices sont placés en mandat de dépôt depuis avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable. C’est un justiciable comme un autre.

    PS : dans ma contribution « Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? », disponible sur internet que je reproduis en fac-similé pour la circonstance, vous pouvez comprendre aisément pourquoi ? Le délinquant est transféré à rebeuss pour des raisons de sécurité. La 6e épouse de Béthio s’est déguisée en infirmière pour voir son mari.
    « Y a-t-il donc des bons et des mauvais criminels ? »
    « Le détenu le plus célèbre de la Mac de Thiés ! Un scandale coupable, satanique ! Légitime défense contre Satan !
    Suite à la visite de sa 6e épouse déguisée en infirmière pour voir son mari, le transfèrement du délinquant le plus tristement célébrissime à rebeuss, obéit donc à des critères de sécurité obligatoirement nécessaires.
    Sommes-nous dans une république des talibés ? Décidément, y a pas photo, le vrai pouvoir n’est pas celui que l’on croit, mais celui des talibés.
    Il y a donc deux types de criminels dans un pays à deux têtes :
    Il y a la République virtuelle et la République réelle.
    Commençons par le « bon criminel » !
    Le « bon criminel », d’abord, c’est celui qui s’autoproclame « cheikh », est un détenu privilégié de premier plan que lui confère son rang. Puisqu’il n’est pas dans le même registre que les autres, il est cajolé et béni telle une star comblée pour « son honneur ». Sans contrôle, on lui déroule le tapis rouge à la hauteur de son invincibilité. Il est parfaitement en osmose avec ses convictions sataniques, et à l’aise comme s’il était chez lui, et reçoit librement Une par Une ses femmes à la pelle comme par miracle. Peu importe qu’il ne sache ni lire, ni réciter le moindre verset coranique, ni faire le jeûne, encore moins de faire la prière, puisqu’il en est exonéré sur mesure.
    Il est bien élevé, est assuré d’une garantie divine pour entrer directement au paradis, en tant que bienfaiteur. Sur terre, dans sa cellule dorée, il est constamment félicité et dispose de clims, disponibles à tout moment, qui tournent en plein régime et bénéficie notamment de toutes les générosités par sa magie : « ndéwéneul » [dons divers à gogo] et de « déwénati » [qu’il vive le plus longtemps possible ! ]
    Enfin le monstre !
    Le second, ou plutôt le monstre, est celui, qui n’a droit qu’à l’isolement total de jour comme de nuit. C’est peut être la preuve la plus palpable d’un état de droit d’une république réelle des talibés ! ».

    Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Pour les avocats de Bethio Thioune : « une volonté de lui attribuer le statut de détenu politique » pour gommer d’un revers de main sa forfaiture.
    Le Sénégal à l’épreuve de la justice : Béthio Thioune, du statut d’un faussaire à celui d’un martyr.
    L’affaire Bethio Thioune : « il est urgent de trouver une issue politique ! ». Cela voudrait qu’on tienne orbi, urbi à lui attribuer le statut de détenu politique pour le faire sortir d’affaire – un culot tout de même grotesque. Il ne fait l’ombre d’aucun doute que ses avocats tentent de couvrir le brigand, quitte même à emprunter toutes les stupidités. Y a-t-il donc « des bons et des mauvais criminels » ?
    Affaire Béthio Thioune : un acteur de premier plan, maître enchanteur, détrousseur de toute l’histoire du terrorisme religieux du Sénégal, excellant dans l’art du grand banditisme à grande échelle, représenté par son seigneur Béthio Thioune, l’escroc notoirement ennemi public n°1, considéré comme étant le principal commanditaire direct du double meurtre au village qu’il baptise pompeusement sous le nom de « Médinatoul SaLam» avec la complicité d’une bande de malfrats écervelés. De quelque motif que ce soit, la libération incroyable du meurtrier, escroc, le plus effroyable, donnerait la preuve irréfutable qu’il y a lieu de séparer « le mauvais contre le bon criminel ». Vouloir sortir le criminel par tous les moyens, en habillant le coupable sous le faux manteau que « Cheikh Béthio Thioune n’est pas un citoyen ordinaire » ; c’est à la fois une insulte pérenne contre la justice dans son fondement, mais le comble, c’est que même les victimes et leurs familles sont niées, sous l’autel d’un mépris le plus total. Autrement dit, « le bon criminel », c’est celui qui est peint sous des oripeaux victimaires des rosaires et qui a droit de vie ou de mort sur ses propres sujets, n’est pas un citoyen ordinaire, à contrario, « le mauvais criminel » est un citoyen ordinaire, justiciable.
    L’affaire Béthio Thioune relève d’une entreprise éloquemment terroriste et non celle d’un simple problème politique pour déculpabiliser le principal commanditaire direct du double meurtre au village de keur Samba Laobé, à la seule fin de lui accorder des circonstances atténuantes, immorales par la ruse. Un raccourci inacceptable pour exonérer un voyou pris la main dans le sac.
    Assimiler le délinquant notoire, mis hors d’état de nuire et vouloir faire de lui un détenu politique, c’est assurer non seulement la promotion de l’impunité, mais c’est aussi souiller la mémoire des victimes et de leurs familles. Si d’aventure, demain, compte tenu des conclusions établies par les lourdes charges corroborées par des preuves matérielles à l’encontre de Béthio Thioune, Abdoulaye Diouf, Serigne Khadim Seck, Mamadou Hanne, Alassane Ndiaye, Samba Ngom, Mame Balla Diouf, Demba Kébé, Mamadou Guèye, Aziz Mbacké Ndour, Pape Ndiaye, Moussa Dièye, Aliou Diallo, Al Demba Diallo, Momar Talla Diop, Samba Fall, Mouhamed Sène, Adama Sow, Cheikh Faye, Aly Diouf et Serigne Saliou Barro ; lesquels ont été confiés au juge d’instruction du premier cabinet de Thiès, Abdoulaye Assane Thioune, qui les a inculpés depuis le 26 avril 2012 pour association de malfaiteurs, recel de cadavres et infraction aux lois sur les inhumations, meurtre et complicité de meurtre avec acte de barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme sans autorisation administrative préalable, dans l’hypothèse où la justice se compromettra, commettrait donc l’impensable imprudence de l’irréparable, à violer délibérément de facto les droits des victimes pour libérer le chef suprême de la secte satanique, ce serait assurément le sacrilège le plus grave et le plus incongru de toute l’histoire judiciaire de ce pays, après celui de l’assassinat de Me Sèye, aux calendes. Ce serait un parjure. Un postulat totalement exclu.

    Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye

    Les vérités d’un internaute Africain solitaire
    A suivre……..

  2. Cybercriminalité d’un terrorisme des rosaires !

    A toute fin utile, lire ma chronique « l’apologie vulgaire d’un médiocre perroquet de service aux ordres d’un criminel notoire », disponible sur internet.
    L’état a le devoir moral de mettre un coup d’arrêt total à cette entreprise éminemment terroriste, sataniquement effrontée, qui menace la cohésion sociale et l’identité nationale. Pour cela, il doit agir sans faiblesse aucune pour venir à bout et en finir définitivement avec les énergumènes, meneurs qui doivent être nécessairement maîtrisés, poursuivis où qu’ils se trouvent et enfermés, lesquels seront jugés pour incitations à la haine, à la violence et à la rébellion, pour troubles à répétitions de l’ordre public. Le péril d’une cybercriminalité d’un terrorisme sous l’apparat des rosaires ! Ce pays est le ciel ouvert de l’indiscipline caractérisée d’un communautarisme religieux, ostensiblement oppresseur.
    Le wadisme décrié de ces douze dernières années ont-elles donc crée les conditions de l’impunité ? En tant que président de la république, sa préférence spirituelle et son allégeance à une certaine communauté religieuse ont- elles ouvert la boîte de pandore, jusqu’à porter son propre marabout sur la liste des députés ? Dans une république normale, la sagesse aurait voulu que même si le président est libre de son choix, mais qu’il puisse le faire de façon discrète, sans qu’il soit obligé d’en faire une quelconque publicité, au risque de heurter l’unité nationale. wade était-il vraiment sincère lorsqu’il s’accroupissait devant son guide, sous l’œil des caméras qui immortalisaient l’événement à chaque déplacement célébré en grande pompe à Touba, la ville sainte des mourides ? Wade était-il le président d’une communauté ou du Sénégal ?

    Les victimes ne comptent plus. L’existence du gourou prime sur la mémoire des victimes. Faire croire coûte que coûte à un complot du plus haut sommet de l’état. Une stratégie improductive. Béthio, le coupable est obligatoirement la sempiternelle victime. La pieuvre : le gourou de la secte n’en est pour rien, au contraire, il est persécuté sous de faux postulats. Et l’état est le coupable idéal, l’organisateur principal des coups tordus montés de toute pièce. Ce n’est pas Bethio, complaisamment exalté, « la sainteté », qui a commis le double meurtre, mais c’est bien l’état. L’état est le vrai commanditaire, fait porter le chapeau à Bethio, le sauveur des ténèbres. Ce ne sont pas des attardés psychiques, formatés par cette chapelle ordurière qui doivent dicter leur musique satanique. Mais Jusqu’où iront-ils pour sauver leur maitre, leur soldat ? Sur le prétexte fallacieux de servir pour l’humilité, leur vie se résume exclusivement à la mendicité, à la danse et aux chants. Ils sont formatés tels des animaux. Tantôt, ils sont « baye fal », soi- disant pour se référer à leur unique dieu, tantôt, ils se déclarent « thiantacounes »- « baye fal des leurres »-un verbiage creux que personne ne peut comprendre.

    Oui, communautarisme du banditisme, caste de rats paresseux, bande de danseurs, bavards, voleurs, fumeurs de chanvre indiens, maudits, vous inspirez le dégoût, le poison que vous incarnez, vous perdra-les thiantacounes-un embrouillamini ! Drogues, sexes, détrousseurs, voilà ce à quoi excelle le groupuscule ! Du Sénégal où ils prolifèrent dans les rues de Dakar, en passant par l’Europe jusqu’aux Etats-Unis, ils se reconnaissent par leur accoutrement de patchwork de tissu, drealocks sur leurs têtes teigneuses et crasseuses.

    Il est évident que l’homme, qui est derrière les barreaux, reste l’éternel coupable au double meurtre à keur Samba Laobé. Il est celui qui tire les ficelles depuis rebeuss. C’est un manipulateur effronté des agissements insoutenables. Il est tant que la justice prenne proportionnellement les mesures idoines à la gravité des faits.
    Dans le cas contraire, c’est la porte ouverte aux dérives fâcheuses avec ses conséquences imprévisibles, compte tenu du laxisme d’état, visiblement palpable, dommageable, qui conduira inéluctablement à un bordel crescendo que personne ne pourra maîtriser. Force reste à la loi !
    Le spectacle insolite qui se déroule sous nos yeux est la résultante de la proximité entre le pouvoir politique et le religieux, qui prend de plus en plus un poids une place dépassant les limites autorisées, depuis les indépendances.
    Comment s’en étonner, d’ailleurs, depuis des années, lorsque les élites, pour des raisons de prestige et de la pêche aux voix à n’importe quel prix, font bassement les courbettes et s’agenouillent vulgairement devant le spirituel calé sur son fauteuil, distribuant « sa baraka », en fonction de ses propres intérêts crypto personnels, communautaristes ?
    Comment s’en étonner, lorsqu’un précepteur notoirement satanique, collectionne, sans répit des femmes, allant parfois jusqu’à arracher des femmes d’autrui qu’il mette au compte d’un « ndiguël» d’un gangstérisme outrageant ?
    Là, c’est la preuve matérielle d’un escroc de grand chemin, car le même gourou, incapable de déclamer la moindre sourate du coran, encore moins de faire la moindre prière, ni jeûner, comme tout bon musulman, si ce n’est la récitation 7 fois du nom de son marabout, mais détrousse impunément ses propres serviteurs et célèbre à merveille des mariages à tort et à travers, sans même avoir la sagesse d’avertir par respect les parents méprisés, pris pour des objets sans valeur ? Le comble d’une société à la renverse, obscurantiste, élit au poste de député à l’Assemblée Nationale, le fils du détrousseur le plus criminogène bien patenté. Un criminel balaie d’un revers de main la mémoire de toutes ses victimes et défie ouvertement la justice de son pays, qu’il considère comme étant le principal commanditaire des crimes, alors que lui-même a participé directement et délibérément aux dissimulations des corps criblés d’armes tranchantes et de balles réelles.

    Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye

    Les vérités d’un internaute Africain solitaire
    A suivre……..

  3. SI TU ES AUSSI COURAGEUX QUE TU LE PENSES, DECLINE PUREMENT ET SIMPLEMENT TON IDENTITE (PHOTO). UN SEUL CONSEIL, HOMME-FEMME (MODOU-DEGUENE), « LA HAINE MENE TOUT DROIT A LA GEHENNE ».
    TU TE CROIS CERTAINEMENT ETRE LE « COUSIN DE DIEU » POUR FAIRE UN TEL JUGEMENT. IL FAUT JUSTE QUE TU SACHES QUE, « L’IGNORANCE, ARMEE D’ARROGANCE, EST PIRE SCIENCE SANS CONSCIENCE, NOTAMMENT, RUINE DE L’AME ».
    QUE DIEU AIT PITIE DE TON AME, NOUS NE MANQUERONS PAS DE PRIER POUR TON REPOS ETERNEL…
    PAPA LATYR FAYE.

  4. Ce MODOU je ne sais quoi est un MENTEUR COMPULSIF je le jure , comment peut il affirme que Bethio Thioune a detourne et s est refugie ds le Mouridisme ,Bethio Thioune est parmis les premiers taalibes de Cheikh Saliou,les Mourides qui connaissent CHEIKH SALIOU durant les annees 60 savent qui est SERIGNE MOUSTAPHA GAYE (beuk nek), AHAMADOU KOUNTA (ahma naar ) un mauritanien , mon pere dont je tairais le nom BETHIO THIOUNE ETC,cwtte personne parle de choses dont il ne connait rien absolument rien , il n a qu a parle de la tidjianya qu il maitrise.
    Si Tu veux changer l histoire du senegal ecrit des livres au lieu de prendre ta plume pour insulter et diffamer.

    Tous les cretins se ressemblent car ils se disent intellectuels.

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