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Réglements de comptes sur l’internet: Souleymane Jules Diop visé…

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Xalima news – Depuis quelques jours, des mails attribués à Souleymane Jules Diop circulent sur la toile tendant à laisser croire que ce dernier en serait l’auteur. Le conseiller du Président Macky Sall précise que  »quelqu’un a trafiqué un ancien mail, en pensant se faire aider par les nouvelles technologies ». Pour lui :  »Il s’agit d’une farce grossière, d’une per- sonne qui se cache derrière un pseudo, pour essayer de me nuire. Ce ne sont pas mes méthodes, ce n’est pas ma façon de faire et aucun journaliste ne pourra jamais dire, attester, que je l’ai appelé une seule fois pour parler de quelqu’un ». Le conseiller en communication du Président Macky Sall d’ajouter :  »’Tous ceux qui ont reçu un mail de moi depuis au moins le début du mois d’octobre, je parle des journalistes en premier, savent que je ne signe mes mails que par mes trois initiales, soit SJD tout court ».

La manœuvre viserait aussi à le mettre en mal avec les communautés mouride et tidiane.  »Ce sont les mêmes qui m’attribuent des propos contre Serigne Touba, que je n’ai jamais tenus, jamais », dénonce-t-il. Qui écrit :  »La prochaine fois, ils me mettront l’attentat du World Trade Center sur le dos ».

Source: EnQuête

18 Commentaires

  1. Soyons sérieux ;le sénégalais est loin d’être amnésique et ses chronique sur seneweb; ligne ennemies c t signé SJD;kes kil n’as pas dit a MAKCY candidat;jusqu’à présent les sénégalais ne pige pas kes kil fout a la cellule de com.du P.R.avec excès de zèle en semant le bordel.Si les sénégalais en savent d’avantage sur disso c grâce a lui;en faisant mal communiqué le président sur la démission de Moubarak lo.A la présidence les gens savent k c une…….

  2. Au nom d’Allah

    samedi 14 mars 2009

    Nos marabouts sont ainsi faits qu’en matière de parole, l’avarice l’emporte sur tout le reste. Ils maintiennent ainsi le mystère sur tout, suscitent la curiosité de leurs disciples. Ils laissent fermenter la parole une bonne année, avant de la laisser traverser leurs lèvres bénies pour la glisser dans les oreilles chastes de leurs fidèles.

    Le temps d’attente n’est pas du temps perdu. Il sert justement à susciter le besoin chez celui qui écoute. Entre deux mots, ils gardent un silence si long qu’ils créent en leur auditoire un besoin digne des sujets de Pavlov. Pour plus creuser le mystère, ils prennent le soin de s’adresser d’abord à Allah dans une littérature arabe aussi sophistiquée qu’inaccessible. Plus ils agrémentent leurs phrases de gutturales à les faire vomir, plus on les croit en conversation directe avec le bon Dieu.

    Les fidèles, qui n’y comprennent rien, adoubent leurs héros avec des salves d’applaudissements, comme s’ils revenaient d’une marche victorieuse sur la planète Mars. Si nos marabouts se mettaient à parler à tout va et à s’envoyer des textos, il y a longtemps qu’ils perdraient leur crédit. Ils doivent cultiver la distance et l’éloignement, tourner la langue sept fois avant de se libérer de leurs sages aphorismes.

    Malheureusement, le voyage ne se fait pas toujours sans péril. Malgré ces longues précautions oratoires, il arrive que certains d’entre eux laissent échapper de leurs palais immondes des paroles infamantes. D’autres se rappellent leurs foucades de jeunesse et envoient des « droites » bien méritées aux journalistes impertinents. Il peut arriver qu’ils s’en excusent au bout d’une année, mais la plupart oublie. Le seigneur ne s’embarrasse point de détails.

    C’est donc dire qu’après de longues randonnées célestes soutenues par une rude diète verbale, il arrive à cette race d’hommes distingués le vilain malheur de se perdre entre leurs méditations transcendantales et leurs propres hallucinations. Un marabout a ainsi expliqué que pour envoyer des SMS, il faut se rendre à un télé-centre, sous le regard compassé de ses fidèles auditeurs. Il s’essayait en « paraboles », son domaine d’expression favori quand il ne veut pas être compris.

    C’est pourquoi chaque ascension vers le ciel est précédée d’un bourrage du ventre qui met les poulets assaisonnés et les oranges du Maroc en compétition. S’ils veulent pousser l’ascension plus haut, nos marabouts accompagnent le tout d’un peu de jus de raisin fermenté, leur eau bénite. Que voulez-vous ? Aussi élevés qu’ils soient en religion, nos hommes n’oublient jamais leurs ventre et bas-ventre. C’est pourquoi ils prennent des épouses en quantités suffisantes et justifient cette position couchée par un « wa », une conjonction de coordination semée quelque part, dans les mystérieuses pages du Coran.

    Nos marabouts aiment aussi se prosterner devant la forure du milieu. Et puisqu’en toute chose, nous pensons qu’ils ont la science infuse, ils ont déployé un immense arsenal oratoire pour dire tout sans rien dire, et ne rien dire pour tout dire. Ils se laissent « prêter » des propos. C’est une façon de se réserver le droit d’être plus précis, quand la météo politique le permet enfin.

    Dans ces cas-là, et seulement dans ces cas-là, leurs « lectures » prennent des formes plus nuancées. Ils parlent d’unité et de paix. Relisez toutes les déclarations de marabouts depuis la mise en place du Conseil supérieur des chefs religieux du Sénégal, en 1958, jusqu’à sa disparition par le fait de ces mêmes marabouts.

    Ils appellent tous les ans à l’unité des « musulmans », alors qu’ils ne s’entendent jamais. Parfois, ils appellent à l’unité l’un à côté de l’autre, sous des tentes différentes, avec des barricades, en priant le même Dieu et en chantant le même prophète. Nous sommes ainsi devenus le pays qui compte le plus de « khalifes généraux » au monde, chacun se croyant le destinataire privilégié de la parole d’Allah. La fête religieuse qui devait célébrer la naissance du prophète de l’islam est devenue le foirail politique le plus attendu où se négocient les têtes des marabouts.

    Chacun, pour peu que ses grands-parents aient une fois tenu une tablette coranique, se déclare khalife général et réclame les faveurs de la République. Tous les ans, ils réitèrent frénétiquement le même appel à la paix. Mais on ne les voit jamais appeler à ce qui constitue la matrice de leur religion, la Justice. Ils érigent des châteaux au cœur de baraquements infectes ; ils roulent en Limousines quand les fidèles qui les enrichissent arrivent de partout à dos d’âne ; ils gardent des milliards de francs dans des comptes personnels quand leur religion leur impose de partager.
    Mais je ne peux faire semblant d’être indifférent à la victoire de Macky Sall. Il m’est intime, par les rapports fraternels que nous entretenons depuis bientôt vingt ans, qui se sont exprimés jusqu’à la veille de ce second tour qu’il a remporté haut la main. La nature particulière de nos relations ajoute à ma joie, je dois avouer. Mais ce sont les qualités personnelles du nouveau président de la République qui me font espérer. C’est un homme qui incarne un leadership tout à fait nouveau, loin de la posture messianique des leaders formés à l’école coloniale

  3. Chacun, pour peu que ses grands-parents aient une fois tenu une tablette coranique, se déclare khalife général et réclame les faveurs de la République. Tous les ans, ils réitèrent frénétiquement le même appel à la paix. Mais on ne les voit jamais appeler à ce qui constitue la matrice de leur religion, la Justice. Ils érigent des châteaux au cœur de baraquements infectes ; ils roulent en Limousines quand les fidèles qui les enrichissent arrivent de partout à dos d’âne ; ils gardent des milliards de francs dans des comptes personnels quand leur religion leur impose de partager.

    Ils s’en prennent aux conséquences, alors qu’ils sont eux-mêmes la cause des problèmes de ce pays. Comment peut-on appeler à la paix quand on laisse faire tant d’injustices ? Abdoulaye Wade a injustement mis en prison d’humbles citoyens. Il a jeté les jeunes de ce pays dans les océans en s’octroyant toutes les ressources nationales. Il s’est accaparé des terres du pays au seul profit de sa famille. Ils ont eux-mêmes, ces marabouts, accepté un parti-pris flagrant du chef de l’Etat en faveur de sa confrérie.

  4. Au nom d’Allah

    samedi 14 mars 2009

    Nos marabouts sont ainsi faits qu’en matière de parole, l’avarice l’emporte sur tout le reste. Ils maintiennent ainsi le mystère sur tout, suscitent la curiosité de leurs disciples. Ils laissent fermenter la parole une bonne année, avant de la laisser traverser leurs lèvres bénies pour la glisser dans les oreilles chastes de leurs fidèles.

    Le temps d’attente n’est pas du temps perdu. Il sert justement à susciter le besoin chez celui qui écoute. Entre deux mots, ils gardent un silence si long qu’ils créent en leur auditoire un besoin digne des sujets de Pavlov. Pour plus creuser le mystère, ils prennent le soin de s’adresser d’abord à Allah dans une littérature arabe aussi sophistiquée qu’inaccessible. Plus ils agrémentent leurs phrases de gutturales à les faire vomir, plus on les croit en conversation directe avec le bon Dieu.

    Les fidèles, qui n’y comprennent rien, adoubent leurs héros avec des salves d’applaudissements, comme s’ils revenaient d’une marche victorieuse sur la planète Mars. Si nos marabouts se mettaient à parler à tout va et à s’envoyer des textos, il y a longtemps qu’ils perdraient leur crédit. Ils doivent cultiver la distance et l’éloignement, tourner la langue sept fois avant de se libérer de leurs sages aphorismes.

    Malheureusement, le voyage ne se fait pas toujours sans péril. Malgré ces longues précautions oratoires, il arrive que certains d’entre eux laissent échapper de leurs palais immondes des paroles infamantes. D’autres se rappellent leurs foucades de jeunesse et envoient des « droites » bien méritées aux journalistes impertinents. Il peut arriver qu’ils s’en excusent au bout d’une année, mais la plupart oublie. Le seigneur ne s’embarrasse point de détails.

    C’est donc dire qu’après de longues randonnées célestes soutenues par une rude diète verbale, il arrive à cette race d’hommes distingués le vilain malheur de se perdre entre leurs méditations transcendantales et leurs propres hallucinations. Un marabout a ainsi expliqué que pour envoyer des SMS, il faut se rendre à un télé-centre, sous le regard compassé de ses fidèles auditeurs. Il s’essayait en « paraboles », son domaine d’expression favori quand il ne veut pas être compris.

    C’est pourquoi chaque ascension vers le ciel est précédée d’un bourrage du ventre qui met les poulets assaisonnés et les oranges du Maroc en compétition. S’ils veulent pousser l’ascension plus haut, nos marabouts accompagnent le tout d’un peu de jus de raisin fermenté, leur eau bénite. Que voulez-vous ? Aussi élevés qu’ils soient en religion, nos hommes n’oublient jamais leurs ventre et bas-ventre. C’est pourquoi ils prennent des épouses en quantités suffisantes et justifient cette position couchée par un « wa », une conjonction de coordination semée quelque part, dans les mystérieuses pages du Coran.

    Nos marabouts aiment aussi se prosterner devant la forure du milieu. Et puisqu’en toute chose, nous pensons qu’ils ont la science infuse, ils ont déployé un immense arsenal oratoire pour dire tout sans rien dire, et ne rien dire pour tout dire. Ils se laissent « prêter » des propos. C’est une façon de se réserver le droit d’être plus précis, quand la météo politique le permet enfin.

    Dans ces cas-là, et seulement dans ces cas-là, leurs « lectures » prennent des formes plus nuancées. Ils parlent d’unité et de paix. Relisez toutes les déclarations de marabouts depuis la mise en place du Conseil supérieur des chefs religieux du Sénégal, en 1958, jusqu’à sa disparition par le fait de ces mêmes marabouts.

    Ils appellent tous les ans à l’unité des « musulmans », alors qu’ils ne s’entendent jamais. Parfois, ils appellent à l’unité l’un à côté de l’autre, sous des tentes différentes, avec des barricades, en priant le même Dieu et en chantant le même prophète. Nous sommes ainsi devenus le pays qui compte le plus de « khalifes généraux » au monde, chacun se croyant le destinataire privilégié de la parole d’Allah. La fête religieuse qui devait célébrer la naissance du prophète de l’islam est devenue le foirail politique le plus attendu où se négocient les têtes des marabouts.

    Chacun, pour peu que ses grands-parents aient une fois tenu une tablette coranique, se déclare khalife général et réclame les faveurs de la République. Tous les ans, ils réitèrent frénétiquement le même appel à la paix. Mais on ne les voit jamais appeler à ce qui constitue la matrice de leur religion, la Justice. Ils érigent des châteaux au cœur de baraquements infectes ; ils roulent en Limousines quand les fidèles qui les enrichissent arrivent de partout à dos d’âne ; ils gardent des milliards de francs dans des comptes personnels quand leur religion leur impose de partager.

    Ils s’en prennent aux conséquences, alors qu’ils sont eux-mêmes la cause des problèmes de ce pays. Comment peut-on appeler à la paix quand on laisse faire tant d’injustices ? Abdoulaye Wade a injustement mis en prison d’humbles citoyens. Il a jeté les jeunes de ce pays dans les océans en s’octroyant toutes les ressources nationales. Il s’est accaparé des terres du pays au seul profit de sa famille. Ils ont eux-mêmes, ces marabouts, accepté un parti-pris flagrant du chef de l’Etat en faveur de sa confrérie.

    Une fois par année, ils sortent de leurs grottes luxueuses pour indiquer à la plèbe le chemin à suivre. Ils connaissent le chemin qui mène à Dieu. Mais celui qui mène à Gounass et à Guédiawaye, c’est le chemin du diable. Ils s’en méfient. Ils ne sortent de chez eux que pour aller à la banque ou à l’aéroport.

    Vous n’accédez à eux et ne grandissez dans leur estime selon que votre fortune est grande ou petite. La bénédiction d’Allah est devenue aussi une affaire de gros sous. Généralement, ils n’accordent leur protection terrestre et céleste qu’à ceux qui daignent bien leur remplir les mallettes, quelle que soit la provenance de l’argent. Plus leur silence est audible, plus leurs actions montent à la bourse des voleurs. Un marabout véreux a ainsi suspendu le vote de ses disciples aux prochaines élections locales jusqu’à la visite de Pape Diop. Et d’un seul coup, tout ce qui était banni était redevenu un objet de culte. Son Conseil « d’admiration », composé d’obscurs zélés, en a décidé ainsi. Mbaye Jacques Diop était menacé de poursuites dans la gestion du

    Haut conseil de la République. Dès qu’il s’est rendu à Touba, les poursuites se sont éteintes. Encore que dans ce domaine, tout ce qu’ils disent n’est pas parole d’évangile. Les appréciations de nos marabouts varient en fonction du temps qu’il fait chez eux. Ils peuvent dire une chose sur un homme politique aujourd’hui et son contraire le lendemain. Certains se sont lamentablement gourés par le passé, en appelant à voter pour des candidats perdants. En la matière, leur serment n’est pas plus valeureux que celui d’un cabaretier. Mais c’est avec ces gens que nous sommes encore les plus tolérants.

    Ils ont inventé le privilège de l’érudition. Nous considérons que le bon Dieu a pu les tromper et qu’en aucun cas, ils ne peuvent être tenus comptables des turpitudes du tout puissant. Parmi ceux que nous appelons des marabouts (il y en a dans tous les hameaux du pays), il y a des malfrats de tout poil. La plupart d’entre eux sont des receleurs qui exercent avec un privilège indu. C’est qu’ils ne rendent compte de rien. Les politiciens peuvent un jour rendre des comptes devant les hommes. Mais les marabouts ne rendent compte qu’à Dieu. Et encore… Ils le croient tellement naïf qu’il serait capable de gober leurs arabesques ineptes et les laisser passer au paradis.

    Souleymane Jules Diop

  5. S’ils y a des Sénégalais dont la présence auprès de monsieur le Président Macky Sall semblerait rendre malade de jalousie ce sont bien SJD et ALC !
    Certaines personnes se feraient un malin plaisir à leur scier les jambes pour des raisons non encore élucidées, mais la méchanceté et la jalousie n’y seraient pas étrangères.
    Bon sang, réfléchissons avec une honnêteté intellectuelle sans faille, mais laissons ceux qui travaillent pour l’intérêt général, le faire dans la sérénité !
    Bon courage à tous ceux œuvrent nuit et jour pour faire avancer le pays, si ce n’est pour nous, faisons-le au moins pour nos enfants et toutes les générations futures!

  6. Et j’attendais des journalistes qu’ils rappellent au moins ce principe. L’article pour lequel El Malick Seck est menacé d’emprisonnement a été publié sur tous les sites Internet. La terre n’a pas tremblé, et le Sénégal n’a pas changé de face. Ce n’est pas la publication de ces articles qui constitue un problème. C’est la nervosité épidermique de ce régime qui frise la paranoïa. Le président Chirac a déjà été montré nu dans des journaux français. Georges Bush est tous les jours traité de menteur dans les journaux américains. Les prisons seraient surpeuplées si dans ces pays, les chefs d’Etat s’arrangeaient tout le temps avec « l’offense au chef de l’Etat ».

    L’existence de cet article 80 est une survivance de la réification de la fonction présidentielle. Abdoulaye Wade s’était engagé à l’abroger sur le perron de l’Elysée. Si je disais qu’il a menti, alors j’offenserais le chef de l’Etat. Au nom de quoi ? Comme s’il était permis d’offenser tout le monde sauf le président de la République. Nous n’avons pas élu Dieu, nous avons élu un homme. Nous pouvons l’offenser comme il nous offense tous les jours, Dieu sait. Le pays entier est dans les eaux, pendant qu’il s’amuse comme un enfant en Suisse avec l’argent du pays. Il n’y a pas plus grande offense. S’il est musulman comme il le prétend, il doit pardonner. S’il se prend pour Dieu, alors qu’il prenne un peu de hauteur. SJD

  7. les méthodes utilisées pour asseoir la suprématie du fils du président de la République sont indignes. Ils ont monté d’humbles gens les uns contre les autres. Macky Sall a servi dans ces plans en tant que ministre de l’Intérieur d’abord, ensuite en tant que Premier ministre. Mais la logique du « laissez-les s’entretuer » ne mènera à rien de bon.

  8. La présidence de la République s’est lancée dans la plus grande entreprise de dénigrement pour le punir. Dans une contribution d’une rare violence parue le 27 juin 2006 dans le journal Il est midi, Macky Sall rappelait à l’ancien président du Conseil que « le Sénégal de 2006 n’est pas celui de 1962 ». C’était une ignoble façon de s’en prendre à un homme qui ne lui avait fait aucun mal. Celui qui dénonce aujourd’hui les atteintes à la République soulignait que « tout, dans la démarche du président Abdoulaye Wade, nous ancre profondément dans la République. Les derniers actes qu’il vient de poser pour l’organisation des élections présidentielle et législatives du 25 février 2007 en sont une éloquente illustration : des élections libres, démocratiques et transparentes se tiendront à bonne date et, encore une fois, le président Wade sera le président le mieux élu d’Afrique ». Vous voyez donc de quel bois le « marquis » de Sall se chauffait. Au plus fort de ce combat, pendant que les Sénégalais étaient dans le noir, « Il est midi » avait même bénéficié d’un groupe électrogène acheté à 20 millions avec l’argent du contribuable. Même dans le noir, les journalistes martelaient encore les faits, rien que les faits. Jusqu’en enfer.e comprends ceux qui soutiennent, avec leur ardeur militante, que ce n’est pas le moment de rappeler « certaines choses ». Leur raison est qu’affaiblir Macky Sall reviendrait à renforcer Abdoulaye Wade. Je préfère affaiblir Macky Sall plutôt que d’affaiblir la vérité. Il a été, ces dernières années, de toutes les manœuvres de déstabilisation de la République. Cette place qu’occupe Cheikh Tidiane Sy, il l’a occupée en forçant les portes d’un bureau de vote à Fatick. Ces accusations mensongères qu’il dénonce, il en a lui-même été l’auteur à une autre époque. Il a financé des journaux pour dénigrer et calomnier d’humbles citoyens. Il était le chef de la faction la plus fanatique du Pds et la plus dévouée à Abdoulaye Wade.

    « Il n’y au monde que deux manières de s’élever, ou par sa propre industrie, ou par l’imbécilité des autres » LA BRUYERE
    Si vous enlevez quelques bien-intentionnés invités pour servir de faire-valoir, il ne reste que des gens qui se sont enrichis avec le pouvoir et des gens qui se sont enrichis avec les Ong. La corruption n’a pas seulement gagné le pouvoir, elle a aussi gagné les « Ongistes », qui ont acheté des vergers à la place de l’aide aux paysans, des maisons à la place des sièges, payé leurs bonnes à la place de leurs secrétaires.

    Ceux qui d’entre eux qui n’avaient encore mangé,Macky les a invités à sa table. Les 32 agences créées sur le dos des ministères ont permis de recruter des Ongistes de tout poil, des « droits-de-l’hommistes » payés à ne rien faire.

  9. @ SADAGA
    mon cher frere please qui peut etre jaloux de l’entourage du president.La mediocrite etant de mise les intellos s »y sentent a l’etroit selon Moubarak lo,confirme par le depart de Jacques Diouf.Quant a SJD aucun talent aucune substance sinon le kha khare que craignait son nouveau boss.Latif lui est un cas particulier de pseudo intellectuel avant gardiste que ses concitoyens ont demistyfie depuis.Je suis quand meme choque par son manque de vergogne de prendre un salaire indus sans aucun travail sinon d’etre estampille pompeusement gendarme du gouvernement au frais du contribuable sur le pretexte fallacieux de bonne gouvernance a quoi sert donc le PM les organes de controle tel que le centif.l’IGE,la cour des comptes etc…
    De ces nouveaux valets du prince on ne peut qu’avoir mepris.Ceux qui peuvent etre jaloux d’eux sont aussi certfiablement mediocres et ne peuvent que se trouver dans les meme couloirs du palais qu’ils innodent de leur odeur noseabonde.SADAGA gni dou gnou Touss ils ne mereitent pas ta reflection hautement citoyenne

  10. Quand on frise la paranoïa, l’incompétence s’étale au grand jour et tout un chacun devient un potentiel adversaire. Nos caméléons intellectuels sont déjà sur leur garde…

  11. SJD peut compter sur Modibo de Allo Dakar pour savoir que des gens Lui en veulent a mort.
    Ce panel d experts en tout et en rien se declare être la source des solutions des problemes du gouvernement de Macky Sall .Tous les secteurs sont cibles et commentes,et naturellemt ces Messieurs savent ce qui devraient être fait.
    En realite Gadio a inspire SJD avant 2000,ses critiques envers le PS lont porte au pouvoir,SJD a Lui tire sur tout ce qu’il voulait,ojectivement parfois et subectivement quand il le voulait.
    Toujours est il qu’il a decroche un visa VIP de retour au Palais.
    Ce modibo utilise ses expert et son emission pour canaliser l opinion et se faire remarquer a la SJD,et il ne comprend pas pourquoi son mentor est passe et Lui est toujours aux states a se demerder pour exister.Dame Babou meme a ete copte.
    En realite nous avons un peuple individualiste,oriente vers ses propres interets.
    Pointe le doigt sur les politiciens retarde l urgence de changer les mentalites de ce peuple.
    On a en definitive que les dirigeants qu’on merite.

  12. @ALBA
    Mandoulene waaye.Ton appreciation du panel de Modibo,ne pose pas de probleme tant qu’on est en democratie chacun peut avoir sa position.Par contre tu sembles bien meconnaitre l’initiateur de BOOP KOGN sur seneweb et plus tard de BANG DIAKHLE sur Allodakar radio tam-tam online.Un poste au senegal dans les graces d’un prince c’est le cadet de ses soucis.C’est une des sentinelles de notre democratie icone dans la diaspora qu’on l’aime ou pas force est de constater sa liberte d’esprit et surtout point intimidable.
    C’est trop facile de peindre tout avant gardiste comme un chasseur de prime meme si avec l’avenement de l’Arc en ciel bien des masques sont tombes

    • Je nai pas depasse les limites du mandu par contre pour avoir ecoute ce Monsieur et son panel,je puis dire qu’il a un probleme avec SJD.il invite les gens a croire avec Lui que ce dernier nest a sa place,c’est son droit mais son droit s arrete la ou commence celui du president qui choisit ses collaborateurs.On peut commenter une emission sans avoir des affinites avec son animateur,tout comme ce panel qui sest arroge le droit de parler de personnes publiques au Senegal.en ma qualite d expatrie,j apprecie tout ce qui peut nous rapprocher de notre patrie mais il faut pas croire que les émigrés d hier sont les memes k ceux d aujourdhui,toute sorte de competence ecoute ces emissions meme si Elle garde manifestement chacun dans son domaine de rectifier certains experts declares.
      Pour terminer,je rappelle k SJD comme bon nombre de communiquants utilisent leur temps d antenne pour se constituer en element de pression,et je lai signifie a un membre de ce panel ,Massamba,qui se trouvé être un ami.
      Salam

    • Vous le connaissez et l idealisez manifestement,c’est votre droit.cest pas mon cas et on est tous declares comme vous le decrivez:libre et pas intiminable.
      Je nai pas depasse les limites du mandu par contre pour avoir ecoute ce Monsieur et son panel,je puis dire qu’il a un probleme avec SJD.il invite les gens a croire avec Lui que ce dernier nest a sa place,c’est son droit mais son droit s arrete la ou commence celui du president qui choisit ses collaborateurs.On peut commenter une emission sans avoir des affinites avec son animateur,tout comme ce panel qui sest arroge le droit de parler de personnes publiques au Senegal.en ma qualite d expatrie,j apprecie tout ce qui peut nous rapprocher de notre patrie mais il faut pas croire que les émigrés d hier sont les memes k ceux d aujourdhui,toute sorte de competence ecoute ces emissions meme si Elle garde manifestement chacun dans son domaine de rectifier certains experts declares.
      Pour terminer,je rappelle k SJD comme bon nombre de communiquants utilisent leur temps d antenne pour se constituer en element de pression,et je lai signifie a un membre de ce panel ,Massamba,qui se trouvé être un ami.
      Salam

  13. @ALBA
    Certes je connais bien Modibo mais je suis tres loin de l’idealiser,d’autant plus qu’a plusieurs reprises je suis intervenu sur son panel pour lui signifier qu’il a guide les pas de SJD sur seneweb radio et a travers les lignes ennemis.Si nous avons un ami commun Massamba vous avez certainement eu l’occasion de m’ecouter sur ce panel ceci dit la critique d’un regime en place est un droit pour tout citoyen Je ne comprends donc pas ce qui vous gene dans la demarche de Modibo.Apres lui ,SJD ou Latif et meme AMATH de seneweb pour ne citer que ceux la il yen aura d’autres.C’est quand meme tres maladroit de donner des exemples comme Dame Babou chacun a ses ambitions je puis vous assurer que si Modibo cherchait a se faire copter il n’aura pas besoin se ce show pour le faire et l’insinuer est un manque notoire de mandoute reconnaissait le.Une chose est certaine vous aimez bien ecouter son show pourquoi ne pas changer de frequence?

    • Mon Cher la question nest pas d ecouter un show ou pas,ces show une fois on air n appartient plus a personne.Je ne soutiens aucun regime mais comme vous le pretendez tous,je suis de ces sentinelles qui donnent leur Avis sur tout ce qui se dit sur le Senegal.Si maintenant vous vous etiez limites a discuter au tour de votre ataya en prive,cet echange naurait jamais eu lieu.Niak mandou wessuwul être a des milliers de km et de discuter sur des dossiers traites en prive ou juste prendre des infos diffusees par la presse comme reelles.On est dans la meme barque de gnak mandu,et je me dis qu on aime tous notre pays.ce meme SJD a ses debuts ou il vendait son ex mentor idy Seck refusait qu’on Lui dise autre chose que ce qu’il voulait entendre,ce que j avais pas manque de Lui signifier.Pour en terminer une bonne fois avec cette discussion,je vous souhaite bon vent et vous assure que tant que vous aurez le droit de parlez en public ,d autres en fer ont de meme pour apprecier positvement ou non vos debats .

    • Et je viens de lire votre response a Sadaga Diop,et je viens de me rendre compte du temps que jai perdu a converser avec vous.djeugueulo bou bakh dila gnane k vous vous resseignez sur la definition de mandu et la comparer a votre attitude dans la description que vous faites de ces senegalais Alc,SJD Et autres.
      Wa Salam

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