faux billets; drogue; endettements des menaces pour le Sénégal.
Replay Diine ak Diamono 21-11-2019: faux billets; drogue; endettements des menaces pour le Sénégal
DEPECHES
DANS LA MEME CATEGORIEEXCLUSIVITE
Farba Ngom va-t-il se rendre à l’hémicycle ce mardi pour se défendre ?
Une étape non négligeable est franchie dans le cadre...
Drame à Diass : 02 maçons meurent dans l’effondrement d’un bâtiment à Benténier
XALIMANEWS: (APS) – Deux maçons ont perdu la vie...
Tambacounda: Deux agents du ministère de l’Energie en mission trouvent la mort dans un accident
XALIMANEWS:(APS) Le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des...
Scandale financier : Tabaski Ngom devant le parquet financier la semaine prochaine
XALIMANEWS-Tabaski Ngom, inspectrice du Trésor, continue de faire face...
Cette émission que je suis en direct depuis des années est l’une des plus intéressantes du paysage audiovisuel Sénégalais et celle-ci en est révélateur. Le professeur Wéllé l’a si bien illustré en disant : » Golo bou yébéé Gaïndé, sa dokhane wa la ».
POUR INFO /
Dette : pourquoi les taux d’emprunt des Etats restent anormalement bas
La perspective d’une hausse des taux de la BCE s’éloigne sur fond de détérioration économique. L’appétit des investisseurs pour la dette d’Etat est fort.
Les montants placés sur la dette publique depuis le début de l’année sont vertigineux.
Avec la fin du soutien de la Banque centrale européenne, 2019 s’annonçait comme l’année d’un changement de régime pour la dette. Mais plus de dix ans après la crise de la zone euro, le retour à des conditions d’emprunt « normales » ne semble toujours pas se dessiner. La France voit même son coût de financement baisser depuis l’automne. L’Etat emprunte à 10 ans au taux de 0,53 %, un plus bas depuis novembre 2016.
Taux inférieurs à 0 %
L’Hexagone n’est pas le seul à bénéficier d’une situation aussi favorable sur les marchés obligataires. Comme lui, l’Allemagne, ou encore l’Espagne et le Portugal – deux pays qui ont eu besoin d’une aide – se financent à 2 ans à des taux inférieurs à 0 %. Autrement dit, l’appétit des investisseurs pour le « papier » d’Etat est tel que ceux-ci acceptent de ne pas être remboursés complètement. Les montants placés sur la dette publique depuis le début de l’année donnent d’ailleurs le vertige. Un exemple : début février, l’Italie a reçu plus de 40 milliards d’euros de souscriptions pour son emprunt à 30 ans ! Le pays gouverné par une coalition populiste ne semble plus effrayer les investisseurs internationaux.
Pourquoi l’Etat ignore qui détient sa dette
Emprunter sur les marchés financiers : mode d’emploi
Le début d’année est traditionnellement une période faste pour les emprunteurs. 2019 l’est encore plus. La tempête qui s’est abattue sur les marchés financiers en 2018 a poussé les gérants de portefeuilles à réduire leur exposition à la dette et augmenter les liquidités disponibles. Cet argent vient désormais se déverser en quantité massive, ce qui abaisse les coûts de financement.
Nouvelles mesures de la BCE
Par ailleurs, si la Banque centrale européenne (BCE) a cessé d’acheter de nouveaux emprunts d’Etat depuis janvier, elle continue de réinvestir dans ceux qu’elle détient et qui arrivent à échéance. Une manière d’amortir l’effet de son retrait et d’empêcher une brutale remontée des taux d’emprunt. Surtout, l’institution monétaire multiplie les messages de prudence. Deux membres éminents du directoire de la BCE, Peter Praet et Benoît Coeuré , ont pris la parole en ce sens ces dernières semaines.
Il devient de plus en plus probable que le mandat de huit ans de Mario Draghi s’achèvera en fin d’année sans que l’Italien n’ait jamais pu relever le loyer de l’argent. De nouvelles mesures de soutien monétaire sont même envisagées, du fait de la détérioration des conditions économiques.