« Ce n’est plus le parfait amour entre Wade et Gbagbo », écrit « Le Matin ».
Selon « Walfadjri », « pour protester contre l’audience de Wade à Ouattara, la Côte d’ivoire rappelle son ambassadeur à Dakar ».
« Walf Grand-Place » ajoute que « pour avoir reçu Ouattara à Dakar, Wade s’attire les foudres de Gbagbo ».
« Le Quotidien » rapporte que « Gbagbo accuse Wade de conspiration ». « Le Quotidien » informe que « l’ambassadeur ivoirien (a été) rappelé pour consultation, son homologue sénégalais convoqué au ministère des Affaires étrangères à Abidjan ».
« L’As », qui parle de « frictions au sommet », indique que « le Sénégal écarte toute réciprocité et maintient son ambassadeur à Abidjan ». « Cette tension diplomatique intervient au moment où Ousmane Tanor Dieng et Amath Dansokho sont en Côte d’Ivoire pour soutenir leur « ami » Gbagbo », révèle « L’As ».
« L’Observateur » se demande si « le président de la République, Me Abdoulaye Wade, a-t-il oublié le syndrome Dadis Camara qu’il appelait affectueusement « mon fils ». Un comportement qui lui avait valu des attaques de la part de l’opposition guinéenne. Il vient d’ouvrir un autre front contre le Président ivoirien, Laurent Gbagbo, avec qui il a toujours eu des relations heurtées. Pour preuve, l’audience accordée à son adversaire du second tour de la Présidentielle, prévue le 28 novembre. Pour manifester sa colère, la Côte d’Ivoire a rappelé son Ambassadeur à Dakar, hier ».
« L’Observateur », qui croit savoir que « des centaines de millions offerts à Ado sont à l’origine du différend », rapporte que « l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire à Dakar a été rappelé, hier, dans l’après-midi par son pays. Une décision prise par les autorités ivoiriennes suite à la visite effectuée par Alassane Dramane Ouattara à Dakar et qui a été reçu par le Président sénégalais, Me Abdoulaye Wade. Une visite de quelques heures, jeudi dernier. Des sources proches de la Présidence avancent : « Ado était venu rendre une visite de courtoisie à Me Wade pour bénéficier de ses conseils. » D’autres interlocuteurs de préciser : « Ado en a profité pour remercier son staff après sa victoire éclatante à Dakar. » Mais, bien avant le rappel de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire à Dakar par son pays, des sources diplomatiques critiquaient déjà la démarche de Me Wade. « Ce déplacement est un couteau à double tranchant », constatent des sources diplomatiques. Ces dernières de préciser : « Dans la diplomatie, tout se fait dans la discrétion. Wade et Alassane Ouattara ont la même accointance idéologique. Ils sont tous les deux des libéraux, mais Me Wade est président de la République. » D’ailleurs, ajoutent les mêmes interlocuteurs, « récemment, il y a eu le cas de Dadis Camara » que Wade appelait affectueusement « mon fils ». Mais, quand ce dernier a eu les mains tachées de sang, on connaît la suite ».
« Le Soleil » donne la parole au ministre sénégalais de la Communication, Porte-parole du gouvernement, Moustapha Guirassy, qui a réagi en parlant d’une « accusation très grave » tout en précisant que le Sénégal en prend acte.
« Le Porte-parole du gouvernement sénégalais a déclaré, hier soir, que « la Côte d’Ivoire est un Etat souverain et indépendant qui a le droit de rappeler son ambassadeur quand elle veut. » Moustapha Guirassy a réagi, au téléphone, ainsi au rappel de l’ambassadeur ivoirien à Dakar, suite à des informations faisant état d’une audience que le président de la République sénégalais, Abdoulaye Wade, aurait accordée à Alassane Ouattara, opposant au régime au pouvoir en Côte d’Ivoire, devant faire face au président Laurent Gbagbo au second tour de l’élection présidentielle ivoirienne. Le Porte-parole du gouvernement a précisé que le Sénégal a « pris acte de cette décision souveraine d’un pays frère », tout en qualifiant les accusations d’ingérence dans les affaires intérieures de la Côte d’Ivoire de « non fondées », écrit « Le Soleil ».
« Moustapha Guirassy a fait remarquer que le Sénégal, à son tour, aurait pu s’offusquer de la présence sur le sol ivoirien, à coté du candidat Laurent Gbagbo, d’opposants farouches au régime du président Wade, comme Ousmane Tanor Dieng et Moustapha Niasse. Mais au contraire « en bon démocrate, le président sénégalais a considéré qu’ils (ces opposants) étaient en Côte d’Ivoire pour encourager le candidat Laurent Gbagbo et contribuer à l’apaisement du climat politique », a ajouté le Porte-parole du gouvernement du Sénégal dans les colonnes du journal « Le Soleil ».
Autre information qui intéresse la presse, c’est la décision d’El Hadji Diouf de revenir en équipe nationale.
« El Hadji Diouf frappe à la porte de l’équipe nationale », écrit « Kotch ».
Selon « Walf Grand-Place », « Diouf se remet à la disposition du football sénégalais ».
En fait, indique « Le Matin » et « Rewmi Quotidien », « Diouf bat sa coulpe et veut revenir dans la tanière ».
« El Hadji Diouf a ravalé sa fierté. Il présente ses « excuses au public sportif pour (ses) propos désobligeants tenus par inadvertance », renchérit « Le Populaire ».
Le hic, relève « Le Quotidien », est que « la fédération n’est pas au courant ». Ce qui fait dire au journal « Le Quotidien » que « El Hadji Diouf sélectionne la presse et zappe la Fédération de football ».
« Le Messager » annonce le combat de lutte Papa Sow/Tonnerre ce dimanche pour dire que c’est « le premier défi d’une prometteuse saison ».
« Sud Quotidien » pense que c’est « un duel de bagarreurs pour démarrer la saison ».
NETTALI.NET
En recevant Ouatara avec un empressement incompréhensible wade ne pouvait rendre meilleur service a Bagbo !! Si Quatara perd ces élections il n’a qu’a s’en prendre a lui méme pour son amateurisme politique
Que peut lui apporter Wade qui est le trouble féte de toute la sous région, qui a perdu toute crédibilité au Sénégal et a l’étranger?
les maigres derniers de l’état qu’il va lui servir ne valent pas le palais de Cocody
ils ont été tous les deux des foeutus de la science polique!! Si pour Wade cela ne surprend pas , ca peut couter trés cher a Ouatara pour avoir offert a GBABO un théme de campagne doré