Critère de sélection pour les podiums internationaux de la beauté, la taille fine n’est pas en vogue au Sénégal. Les jeunes Sénégalaises se veulent rondes. Ni mince, ni trop obèse et on cartonne auprès des hommes. Ce qui les pousse à user de tous les stratagèmes pour y arriver. Souvent, au détriment de leur santé.
Pour les femmes, il n’est pas indiqué d’être minces, actuellement, au Sénégal. Car les hommes préfèrent les femmes dodues. Les formes généreuses font toujours fantasmer. Aussi, les femmes font des pieds et des mains pour ne pas être ni mince ni trop obèse. Interrogées à ce sujet, beaucoup d’entre elles affirment effectivement tenir de la bouche des hommes qu’ils préfèrent les femmes aux hanches arrondies et aux formes prononcées. «Il est vrai qu’une femme à la taille de guêpe n’attire pas l’attention des Sénégalais. Nous le remarquons dans la rue. Une femme mince passe pratiquement inaperçue, tandis que celle aux hanches généreuses provoque des commentaires admiratifs chez les hommes», explique Ismaïla Sall, vendeur de cartes de crédit téléphoniques. Pour Abdou Sarr, vendeur dans un magasin d’habillement. Beaucoup de femmes visitent sa boutique. Pour mieux les servir, il a installé des miroirs géants où les clientes peuvent, à loisir, s’admirer sous toutes les formes. «Elles sont désespérées quand l’habit qu’elles essaient ne fait pas ressortir leurs formes, les seins et les hanches», confie-t-il.
L’influence des chanteuses
Le phénomène est assez récent et se trouve exacerbé par l’accoutrement des vedettes de la chanson sénégalaise. Qualifiées d’obscènes dans certains milieux culturels, les danses actuelles – à l’origine des danses folkloriques – mettent particulièrement en exergue les mouvements des hanches. Le fait que ces danses occupent la majeure partie des programmes de divertissement sur toutes les chaînes de télévision, incite les jeunes à imiter les danseuses, notamment dans leur accoutrement. La mode est aux habits pour le moins près-du-corps. A la grande déception des mères de famille.
Un véritable drame
Cela devient de plus en plus un véritable drame chez les jeunes femmes que d’avoir une taille fine. L’obsession de grossir à tout prix a amené bon nombre d’entre elles à recourir à des produits hormonaux pharmaceutiques dont «l’Antinorex», le sirop «Trésorix». Pas mal de femmes affirment ne jamais avoir utilisé ce produit prodigieux, mais toutes sont unanimes pour dire que la pratique est courante chez les femmes. «Il existe également des vitamines spéciales, explique Larissa. C’est un processus compliqué. Mais moi, je n’ai pas de raisons de m’inquiéter à ce sujet, car je suis déjà suffisamment grosse.»
Cependant, toute règle a une exception, il y a aussi de ces hommes qui les préfèrent minces et sveltes. Le seul ennui, disent-il, c’est qu’ils doivent se les disputer avec les expatriés. En effet, il n’est pas rare de voir des Sénégalaises aux allures de top-modèle fréquenter plutôt les boîtes de nuits du centre-ville.
Les seins, sources de fantasme
Autres sources de fantasme chez les hommes : les seins. Au firmament des fantasmes, les seins ont toujours occupé une place de choix. Parfois érigés en symboles mêmes de la féminité, ils jouent un rôle primordial dans l’imaginaire érotique de bien des hommes. Et certains ont vraiment les mots (crûs) pour le dire. Pour les hommes, les seins sont un pilier de l’imaginaire érotique, un acteur essentiel de l’excitation, du fantasme et du plaisir. «Je suis très sensible aux seins et le fait de m’en occuper longuement contribuait à me procurer du plaisir et à m’exciter. Il m’est aussi arrivé de « révéler » à une femme le plaisir qu’elle pouvait éprouver avec ses propres seins, et ça c’est vraiment génial.» Sékou Sall rentre davantage dans les détails : «Avec les seins, j’aime tout : les caresser, les pétrir gentiment. J’aime aussi être caressé avec…» «L’amour est un art, et le sein de la femme est un terrain d’expression qui n’a pas fini d’être exploré. A vous de déployer toute votre inspiration pour partager, ensemble, des fantasmes insoupçonnés», raconte-t-il.
Aly est attiré par les pieds des femmes, qui le font fantasmer. «Je suis fétichiste des pieds. Je me demande d’où vient cette attirance pour les pieds. Je suis attiré par les pieds, et cela m’excite beaucoup», dit-il. «Les pieds, c’est le phallus, la puissance de la femme.»
Autres parties du corps qui met l’homme en transe, demeure les vergetures. Appelé «rew» en wolof, elles sont la rupture des fibres collagènes et élastiques après étirement trop rapide et brutal de la peau. Si beaucoup de personnes l’abhorrent, d’autres l’apprécient beaucoup. Samsidine trouve du plaisir en évoquant les vergetures. Selon lui, les vergetures le font fantasmer. «Je les adore. Car elle ajoute du charme à la femme», estime Massamba, vendeur de tissus.
Pratiquement, tout homme a une partie du corps de la femme qu’il met en avant. Ça peut être les seins, les fesses, les mains, les cuisses. D’autres s’extasient à la vue des aisselles de la femme. «Dans les transports en commun, le plus souvent les femmes qui se mettent debout ont leurs aisselles nues. Tu ne peux pas imaginer le plaisir que je ressens en les regardant. C’est excitant», raconte-t-il.
lobs.sn
pfffffffffffffffffffff kou moytouwoul tatt you reuyy yi dingua sankkou. La vie ne se resume pas qu’aux fesses. Certains hommes depenses tout leur salaire sur les fesses des femmes hahahahahahahahaahahahah 4×4 bague diamant titre fonçier looooooooooooooool
Un officier français menace un journaliste togolais pour une simple photo prise ,l’officier français trés énervé demande sur un ton insultant aux policiers togolais de faire plier le journaliste à sa demande d’effacer la photo ou alors de foutre en l’air le journaliste,arrestation,menace des policiers tremblants devant un blanc en colére ,injures,interdiction de tourner,main plaquée devant le viseur de la caméra,un scandale sans nom.DES POLICIERS TOGOLAIS TREMBLANTS DEVANT UN MILITAIRE FRANCAIS et MENACENT DE BASTONNER LE JOURNALISTE TOGOLAIS POUR UNE PHOTO PRISE.ON AURA TOUT VU EN AFRIQUE,MAIS LA,C’EST TROP ET COMBLE DE MALHEUR OU DE HONTE,C’EST L’OFFICIER FRANCAIS QU’ON DONNE RAISON.AU TOGO LA LIBERTE DE LA PRESSE NE S’APPLIQUE PAS QUAND IL FAUT DEFENDRE UN BLANC. ( IL FAUT RESPECTER LE BLANC,QUOI, QUI EN PLUS EST UN COLONEL CONSEILLE DU CHEF DE L’ETAT TOGOLAIS.)C’EST UNE HONTE PAS SEULEMENT POUR LE TOGO MAIS POUR TOUTE L’AFRIQUE. LA FRANCE DIT ON SE DEMARQUE DE CE PETIT INCIDENT ENTRE OFFICIER FRANCAIS ET JOURNALISTE TOGOLAIS ET RECOMMANDE A L’OFFICIER DE DIALOGUER AVEC SON ANTAGONISTE. COTE OFFICIEL TOGOLAIS PAS DE COMMENTAIRES,AFFAIRE SANS SUITE. CLASSEE.