ace aux éléments du commissariat de Pikine, les fossoyeur des cimetières de Pikine arrêté a déclaré : ”je préfère qu’on me tue mais je ne dirai jamais le nom des profanateurs de ces tombes”. Qui protège-t-il? Cette question mérite son pesant d’or.
Selon Libération Saer Gningue a reconnu devant les enquêteurs qu’il connait toute l’histoire mais qu’il ne dira rien.
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Profanation de tombes au cimetière de Pikine : Les détails du scandale
Deux autres corps ont été profanés hier au cimetière de Pikine. Le commissaire Adramé Sarr a procédé hier à la reconstitution des faits. Le suspect Saer Gningue un fossoyeur sera probablement déféré devant le procureur selon l’As.
Saer Gningue, jusque là en garde à vue au commissariat de police de Pikine, a été conduit ce mardi au cimetière municipal de Pikine, pour une reconstitution des faits.
“Je suis épuisé commissaire, aidez-moi. J’ai reconnu avoir remis en l’état trois tombes, de grâce pardonnez-moi”, disait-il sans cesse au limiers durant la reconstitution des faits selon l’Observateur.
“Vous n’avez pas le droit de tenir en otage tout un pays. Dites-nous la vérité, montrez-nous la 4e tombe où le corps de la vieille dame a été exhumé », lui rétorque le commissaire de la police de Pikine.
“Je sais que je suis démasqué, je vous demande pardon commissaire, ma famille est dans le désarroi … Ce n’est pas moi, c’est Niasse”, ajoute le fossoyeur. Ce qui fait dire à nos confrères que l’ouverture d’une information judiciaire semble nécessaire.
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mais quelle NIASSE? ce qui te reste c’est d’être au moins honnête vis à vis du peuple en livrant les profanateurs. c’est tout ce qui te reste sale con
Thiey Xalima ak seneweb,base’ wou sen information woroul quoi… » Je ne dirais jamais le nom des profomateurs mais c’est Niass…Niass n’est pas un nom? Du jamais vu….inventer rekkk