Salam Diallo est un phénomène unique dans le monde de la musique au Sénégal. L’auteur de GOANA fait feu et flamme. L’ancien membre du Lemzo Diamono est l’artiste le plus sollicité de la place et il continue de faire courir les foules. Dans l’entretien qui suit, il aborde des sujets brûlants comme ses relations avec les femmes, les artistes, les journalistes etc. Entretien avec un artiste au sommet de son art et qui n’a pas toujours connu un parcours facile.
Que devient Salam Diallo ?
Permettez-moi de rendre hommage à mes parents et à mon défunt marabout Serigne Saliou Mbaké car c’est très important pour moi.
Je suis toujours dans le domaine de la musique. Comme j’ai l’habitude de le faire, j’essaye de donner à chaque fois du plaisir à mes fans et d’honorer mes contrats au Sénégal et à l’étranger.
On annonce la sortie de votre album depuis deux ans, pourquoi ce blocage ?
En réalité, il n’y a aucun problème. Il se trouve que le producteur de l’album, Babacar Lô, avait d’autres chantiers en souffrance et il faut aussi le dire avec la crise qui sévit actuellement au niveau de l’industrie musicale, il avait décidé d’expérimenter une nouvelle stratégie. C’est ce qui a amené ce léger retard. Cependant nous rendons grâce à Dieu car nous avons extrait deux titres de l’album et ces morceaux ont fait un véritable tabac. Ce qui augure de beaux lendemains pour la sortie effective de l’album.
Quel est le secret de Salam