Ça s’emballe dans ce qu’il convient d’appeler le scandale dans la gendarmerie. Après le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, auteur du livre « Pour l’honneur de la gendarmerie Sénégalaise », par lequel tout est arrivé, c’est au tour du principal accusé de faire ses valises. Le président de la République a décidé de le rappeler à Dakar. Selon Le Quotidien, Macky Sall a pris cette décision mardi, pour pouvoir sans doute l’entendre dans cette affaire qui pollue le débat politique. Le Général Abdoulaye Fall a été nommé Ambassadeur du Sénégal à Lisbonne (Portugal) depuis son départ à la retraite en 2013.
LERAL
Scandale dans la gendarmerie : Le Général Fall rappelé à Dakar
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Bon, on revient à nouveau sur les traces de Jules Souleymane Diop avec ses balivernes en wolof, de Latif Coulibaly avec ses pamphlets sans rire, les grands mensonges de Dansokho avec ses 2000 milliards planqués dans les banques Européennes. Et apparemment, on a toujours rien compris des partitions qui sont distribuées, distillées à petites doses homéopathiques qui distraient les naïfs, les simplets parce que les intellectuels ne jouent pas leur rôle pour que la république et l’Etat soient infestés de saltimbanques. Quand on observe les écrits de nos affubalateurs écrivains Sénégalais, on remarque aisément que nos dialectes ont été traduits littéralement en Français pour convaincre les auditeurs. En effet, nos dialectes ont la particularité de l’affirmation, d’accusations ou de flatteries sans éléments de preuves, et le Sénégalais gobe tout sans vérifications. Lorsqe le colonel Abdoulaye Aziz Ndao évoque ses faits d’armes car c’est de bien de celà qu’il s’agit; lui seul est au centre de la résolution des problèmes qui font trembler la république, il est le héros alors que tous les autres officiers ne sont que des benêts qui ont été élevés à des grades qu’ils ne méritent pas. Et dire que la France, notre puissance de tutelle non officielle avait un contingent de militaires qui n’avaient rien vu de cette tentative de coup d’état? Allons, qui peut me dire qu’un coup d’état se soit préparé, que le Président WADE l’ait pris en compte, et qu’il n’ait pas informé ou vérifié l’information auprès des militaires ou autorités Françaises? Franchement, lorsque nous faisons nos cuisines, levons un peu la tête pour voir que nous ne sommes pas seuls au monde. D’ailleurs, c’est ce sentiment vaniteux, selon lequel, nous sommes des gens particuliers, vivant sur une planète différente de celle des autres humains et que nous sommes différents des autres humains qui nous perdra. Le mensonge pathologique qui dérive des déclarations affirmatives que personne ne vérifie ou ne soumet à une analyse sérieuse et qui deviennent des vérités absolues sont la source de tous nos malheurs. Nous sommes intellectuellement paresseux et prétentieux, les rusés en profitent pour mettre la république sens dessus, dessous. Tous ceux qui savent écrire ou conter s’inscrutent dans la faille ouverte de notre ignorance ou naïveté pour nous abrutir en toute connaissance de cause. Hier c’était des médias pour prendre le pouvoir et aujourd’hui, ce sont des « littératures » honteuses que l’on nous serve et on s’en contente sans la vérifier. Les Sénégalais dans leur majorité réduisent la politique aux « gassantés » au lieu de parler d’outils de développement pour résoudre nos problèmes économiques car nous savons tous que ces distractions enfantines ont pour source la pauvreté, le désarroi et l’ignorance. Vive le Sénégal, vive la démocratie et vive la disparition des saltimbanques qui polluent les débats politiques.
J’ai eu du plaisir à lire votre texte.
Quand on introduit des saltimbanques dans un Etat, on ne peut aboutir qu’aux dérapages. Au temps de Jules Souleymane Diop, de Latif Coulibaly et de Dansokho avec leurs dérapages dans la calomnie et le grand mensonge, ces individus ont fait des émules, puisqu’il s’agit d’affirmer, de jurer pour être cru et sanctifié comme personnage important au Sénégal. Quelques balivernes en wolof et le tour est joué. La faute revient aux intellectuels qui n’ont pas su ou pu occuper leur place dans l’espace politique Sénégalais. A l’image de ces personnages, chacun va à présent de ses affirmations sans preuves comme il devient de coutume de se faire une notoriété, un nom, un couronnement qui ne tiennent plus compte de la vraie politique qui nous interpelle en matière de programmes de santé, d’éducation, d’investissements ou d’éducation, tout tourne autour du « gassanté ». Il est dommage que le Sénégal qui connait une démocratie avancée puisse se résoudre à considérer des balivernes pour de la politique. Le Président a voulu faire du Sénégal, un pays modèle de démocratie, de la prise de pouvoir économique des nationaux un créneau de réussite de développement mais il a été mal compris, tout en ignorant que le pays n’était pas encore prêt à assumer le rôle qu’il voudrait lui donner. Aucun pays, aucune fortune ne s’est constituée ou développé avec l’argent étranger. Il faut à chaque nation une élite riche qui puisse rivaliser avec les investisseurs étrangers dans son propre pays. En Occident, chaque gouvernement cherche à enrichir des hommes et des femmes qui le soutiennent ou qui lui sont fidèles. Et à chaque gouvernement suivant d’en faire autant; mais les Sénégalais ou encore ceux qui prennent le pouvoir ont mal compris ces enjeux élémentaires qui concourent au développement de tout pays. Avec la chasse aux biens supposés mal acquis, si l’on introduit cette notion dans notre vie économique et politique, que deviendront nos investisseurs face aux capitalistes internationaux quand la concurrence s’installera pour convoiter un marché? Sans armes financières, nous ne saurons que ramasser les miettes d’une économie, la nôtre par le désarmement de nos citoyens riches. Qui se pose la question de savoir si l’argent des concurrents de nos hommes riches est propre? Personne évidemment, car nous sommes trop occupés à nous autodétruire, quitte à devenir tus pauvres. Comment faut-il faire comprendre aux concitoyens que nous avons besoin d’une bourgeoisie locale et nationale forte pour faire face à la concurrence internationale et à l’économie de marché globalisée? Difficile de le faire admettre sauf à demander aux investisseurs à s’allier de force au capital étranger pour qu’ils ne puissent pas être tancés d’enrichissements illicites. Chers Sénégalais, admettons qu’aucune grande fortune ne peut se prévaloir d’une propreté sans faille. En Occident, nous retrouverons toujours les traces d’un enrichissement fait parfois par notre sueur nègre (esclavage, colonisation et autres) mais personne ne s’en offusque point par cette idée selon laquelle, seuls les Occidents peuvent se prévaloir de détenir de l’argent propre et que les nègres sont toujours des tricheurs. Quel complexe et naïveté de notre part. Il est plus que temps de nous instruire et nous cultiver en délaissant nos balivernes que nous prenons pour des discours sérieux qui nous maintiendront dans un sous-développement perpétuel. Vive le Sénégal, vive la démocratie et vive l’Etat de droit sans l’égoïsme qui détruit le monde noir.
Le Président de la République, le Ministre des Forces Armées et tous ceux qui se sont exprimés à chaud sans avoir lu le livre s’était trompés ! Le Président Macky Sall a lu le livre en question en trois jours(selon nos sources), et sa décision de mettre les deux hommes sur le même pied d’égalité est maintenant basée sur du solide !
Hé oui Moussa Mané.
Il y a bien des paresseux,des saltimbanques et des opportunistes comme les « soldats » de Ass-Kaw qui comptent tirer profit de la compassion du maître.
D’ailleurs Karim a décidé de limiter ses visiteurs,qui n’hésitent pas à exposer leurs doléances jusqu’à REBEUSS,étant convaincus que le grand délinquant cache encore une manne financière considérable.
A MANE MOUSSA,
Le pédantisme ne vous réussit pas.
Votre contribution est truffée de fautes monumentales indignes de quelqu’un qui se dit membre d’une cellule de communication.
FAIRE SIMPLE,C’EST MIEUX.
et bizarrement ce MOUSSA FALL corrompu et complice de Youssou gueye grand escroc dont parle Aziz ndaw dans son brulot est l actuel gouverneur du Palais.SACRE PAYS