La conférencedepressepréparatoirede la3e édition de Preventica Internationale Dakar qui est prévu les 8, 9 et 10 novembre 2022, a eu lieu hier à la direction générale de la caisse de sécurité sociale.
Le forum Presenvica International regroupe plusieurs experts en sécurité des risques au sein des entreprises. Il sensibilise les travailleurs à respecter lesmesures sécuritairesdans leur lieude travail. Durant trois jours les problèmes et les risques liés au travail vont être évoqués et des solutions proposées pour limiter les accidents de travail. « Il y’a une réplication par rapport au profil scientifique parce que la problématique santé sécurité au travail interpelle l’entreprise, les travailleurs et les partenaires. Alors ce triptyque est toujours maintenu dans son sens scientifique, mais agrémenté surtout à travers lesdifférentes thématiques identifiées
par les différents comités scientifiques. Les thématiques s’articulent autour de 50, mais les grandes thématiques qui sontliées aux questions de l’heure sont prioritaires », a fait savoir Assane Soumaré, directeur général de la caisse de sécurité sociale. Selon lui il
y’a un défi à relever par rapport à la culture de la prévention. « Et aujourd’hui on sait qu’en matière d’infrastructures il y’a des urgences àdévelopper la culturede laprévention.Idemdans le cadre
du bâtiment et travaux publics, dans le domaine des transports aussi,parcequ’aujourd’huile Sénégal veutdévelopper le transport multimodale et il est important que la culturede lapréventionqui doit accompagner ce secteur (…) ».
La question du pétrole et du gaz « A côté de cela naturellement il y’a la problématique du pétrole
et du gaz qui s’impose au calendrier scientifique, par son importance économique et ses externalités positives. Et c’est justement ce prétexte de Preventica qui justifie que nous ayons eu à identifier
l’organisation du symposium international l’AISS orienté vers la maîtrise globale des risques dans les secteurs tels que les infrastructures, les bâtiments etle génie civil et des mines », explique-t-il. La culturede la sécurité autravailnedoitpas êtreperçue comme un fardeau. »Les résultats que nous attendons c’est une bonne appropriation des participants à un niveau d’abord scientifique, parcequ’il s’agit d’abord d’échanger d’expériences, essayerde vulgariser des connaissances, d’expérimenter et d’apprivoiser les
bonnes pratiques que nous tenons également d’autres pays, d’autres entitésmais aussiquenous tenonsdes organisations internationales auxquelles nous appartenons à travers ce que nous appelons les recueils de bonnes pratiques (…) », invite M. Assane
Soumar
Sécurité et prévention au travail: les entreprises doivent respecter les règles pour protéger les travailleurs des risques
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