L’infidélité des femmes mariées est devenue un fait presque banal. En effet, il ne se passe pas un jour sans qu’un cas d’infidélité ne soit relayé par la presse, s’il n’est pas tout simplement étouffé et réglé dans le cercle intime de la famille. Dans les villages, combien de maris sont devenus des meurtriers et croupissent en prison pour avoir surpris un homme sur leur femme et l’avoir tué. Au tribunal, lors des assises, des cas similaires sont traités et deviennent de plus en plus nombreux. On ne va pas s’appesantir sur les femmes des émigrés qui trompent leur mari, car ce sujet-là, beaucoup en ont parlé. Ce qui nous intéresse, ce sont ces femmes qui vivent avec leurmari sous le même toit mais qui, pour diverses raisons, le trompent sans que ce dernier ne le sache. Les femmes ne sont peut-être pas plus intelligentes que les hommes, mais elles sont plus rusées, plus manipulatrices et plus fausses. Et quand elles veulent faire une chose, rien, ni personne ne peut les empêcher de le faire.
Sénégal: Ces femmes qui trompent leur mari
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Bien ferrer le mari et le tromper
Messieurs, une épouse vertueuse et fidèle, c’est juste une chance, un don du ciel. Car vous pouvez épouser une femme, avoir des enfants avec elle, lui accorder une confiance totale, alors que dès que vous tournez le dos, elle se jette dans les bras d’un autre. Les raisons évoquées par les femmes pour justifier leurs infidélités sont nombreuses : si certaines trompent leur mari pour de l’argent, d’autres le font pour le simple plaisir, certaines encore le font pour des besoins professionnels. Contrairement aux hommes, les femmesmariées cachent subtilement leurs jeux, il faut être un fin détective pour espérer les surprendre un jour. En effet, la femme, où qu’elle se trouve, a la possibilité de tromper son mari, que ce soit à la maison ou en dehors.
Pour les femmes dont seul le mari travaille, en général, c’est dans la journée que madame reçoit son amant. Ça peut être un voisin, un cousin lointain, un ex-copain ou même le meilleur ami ou le frère du mari (ah oui ça arrive !). Madame connaît les horaires de travail de son mari et sait à peu près à quelle heure il rentre à la maison. Et par précaution, elle a pris le soin d’appeler son époux pour savoir s’il rentrera tard. Ainsi, elle peut sortir et aller passer un bon moment avec son amant. Plus virtuose que l’homme, la femme ne s’affiche jamais avec son amant. C’est elle qui s’arrange pour aller le voir s’il habite seul, mais d’habitude, les rendez-vous sont fixés à l’hôtel. Et même là-bas, les couples ne rentrent ni ne sortent ensemble. L’homme entre en premier, paye la chambre dont il communique le numéro à la femme, laquelle, quelques minutes après, entre discrètement et va directement le retrouver. Ils y resteront juste une ou deux heures, car contrairement à l’homme, une femme mariée ne peut pas rester longtemps dehors même si son mari est absent. D’ailleurs son pauvre mari est tellement amoureux d’elle qu’il ne peut s’empêcher de l’appeler toutes les heures, en plus sur le numéro fixe. Et les rares fois qu’elle n’était pas à la maison, la bonne, qui est aussi sa complice, a expliqué au mari que madame se lave ou prie, à moins qu’elle n’invente autre chose. Après avoir informé sa patronne. Celle-ci se dépêche de rappeler son mari. D’ailleurs, son mari a une confiance aveugle envers elle. Depuis qu’ils se sont mariés, chaque jour, il devient plus amoureux et plus fier de sa femme. Car extrêmement perspicace, elle sait que la confiance est la base d’une relation. C’est pourquoi, elle s’est battue avec intelligence pour gagner cette confiance. Devant son mari, madame est une femme pieuse, digne et surtout très amoureuse et totalement fidèle à son mari. Et elle a œuvré pour cela bien avant le mariage, quand ils sortaient ensemble. À l’époque madame avait plusieurs copains, qu’elle a néanmoins pu avec brio cacher à son futur mari. Et en parfaite calculatrice, convaincue qu’elle a trouvé «un bon mari» qui serait un «bon père» pour ses enfants, elle a accepté de l’épouser sans être vraiment amoureuse de lui. Mais le véritable amour de sa vie est toujours là. Et comme l’habitude est une seconde nature, madame n’a pu, hélas, résister à la tentation de vivre des sensations fortes avec son amant. Elle ne travaille pas, seule à la maison avec sa bonne qui est devenue sa plus intime confidente (sa loyauté est récompensée), elle trompe monsieur comme elle veut. D’ailleurs, les amants se sont tellement habitué au plaisir de la chair, qu’ils se voient tous les jours. Et puis, le mari homme d’affaires, ne reste pas un mois sans voyager. Mais paradoxalement, la femme redoute ses voyages, car s’il est à l’étranger, il passe tout son temps à l’appeler. En parfaite comédienne, au téléphone, elle se plaint que son mari la laisse toute seule, qu’il lui manque, qu’elle ne peut pas dormir alors qu’au fond, elle le maudit de vouloir faire échouer ses plans. Et si enfin avec le décalage horaire, son mari se résigne et lui souhaite de passer une bonne nuit, elle est toute contente et pousse un ouf de soulagement et appelle son amant chéri. Maintenant, comme le lui a souhaité son mari, ils vont sans aucun doute, passer «une bonne et merveilleuse» nuit. Par précaution, elle n’utilise ni le numéro fixe, ni son portable, mais plutôt le numéro de la bonne, qu’elle-même lui a acheté pour que son amant puisse l’appeler. Les rares fois que le mari est à la maison et que l’amant téléphone, la bonne décroche, file à la cuisine et, à voix basse, lui fait savoir que le maître des lieux est présent. Et par un rapide échange de regard, madame comprend que c’est son amant qui était au bout du fil. Parfois, il arrive même qu’elle communique avec son amant en présence de son mari sans que ce dernier ne la soupçonne. La bonne fera croire que c’est son oncle ou un tel membre de sa famille qui veut dire bonjour à sa patronne. Et là franchement qui en douterait ?
Mon commerçant, mon chéri
Aller au marché est aussi un prétexte pour de nombreuses femmes mariées de faire un saut chez leur amant. En général, c’est un commerçant qui échange sa marchandise pour une partie de plaisir. La plupart du temps, ce sont des femmes cupides qui veulent remplir leur panier de provisions, sans toucher un centime de la dépense quotidienne que leur pauvre mari a réussi tant bien que mal à compléter. Ces dames connaissent tous les commerçants du marché, à commencer par le petit boutiquier du coin. D’ailleurs leur complicité est visible. Les tapes et plaisanteries qu’elles échangent avec eux, en dit long sur la nature de leurs relations… En effet, la relation qu’elles entretiennent avec ces hommes est tellement solide que tout ce dont elles ont besoin, elles peuvent le prendre à crédit. Elles payeront, évidemment en nature, soit tout de suite, à l’arrière boutique, ou plus tard à l’heure du déjeuner dans un endroit qu’ils se sont fixés.
D’autres femmes utilisent le commerce comme alibi pour tromper leur mari. En effet avec la crise économique, aucun homme ne refuserait que sa femme essaye de gagner un peu sa vie, de plus, elle pourra régler certains détails sans rien lui demander. Par contre, il y a des hommes qui, même si la femme travaille, n’acceptent aucun centime d’elle. Mais par des astuces dont elles seules connaissent le secret, elles parviennent à convaincre le plus sceptique des maris qui, finalement, leur donnera une somme pour acheter des marchandises à revendre. Au début tout se passe bien, mais l’appétit venant en mangeant, plus elles gagnent, plus elles en veulent. Commencent alors les voyages dans les pays voisins ou même en Europe en vue de chercher des marchandises. Et c’est au cours de ces voyages que l’infidélité commence. La femme débarque dans un pays inconnu, et si elle n’est pas vraiment prude, elle peut rapidement succomber à la tentation de l’infidélité. D’habitude, ces «commerçantes» cherchent un amant pour être prises entièrement en charge durant toute la durée de leurs séjours, ainsi elles vont loger chez leur amant s’il vit seul, sinon les deux tourtereaux vont se retrouver tous les jours à l’hôtel. Et au moment de rentrer, avec l’argent que leur a laissé l’amant pour avoir assouvi tous ses fantasmes sexuels, elles vont acheter des marchandises, sans toucher à la somme d’argent que leur avait pourtant donné leur pauvre mari. Cet argent, elles l’ont versé dans leur compte bancaire ouvert depuis longtemps à l’insu de leurs maris. Beaucoup de femmes commerçantes ont des amants parmi les commerçants qui leur vendent les marchandises qu’elles ramènent au Sénégal.
D’autres femmes mariées font croire à leur amant qu’elles sont célibataires. Si elles portent une alliance, elles l’enlèvent, le cachent et poussent l’audace jusqu’à épouser leur amant. En effet, combien de femmes mariées ont un ou même plusieurs maris à l’autre bout du monde. Il est vrai qu’il existe encore des commerçantes fidèles mais rester plusieurs mois à l’étranger sous prétexte qu’on achète des marchandises, alors qu’on peut le faire en moins d’une semaine, il y a de quoi se poser des questions.
D’autres commerçantes mariées ont des amants douaniers qui se trouvent dans les frontières ou dans les aéroports. Ainsi leurs marchandises ne seront jamais contrôlées ou bien même, si c’est le cas, elles ne payeront pas les taxes de dédouanement, disons pas en espèce, mais elles payeront autrement, en couchant avec eux.
Le confort pour le ménage
et le plaisir dehors
Il existe une autre catégorie de femmes mariées qui sont de véritables bêtes sexuelles ; elles ont du mal à rester chastes et chaque fois qu’elles se retrouvent avec un homme, elles «oublient» leur situation matrimoniale et s’offrent sans gêne. Chaque rencontre hasardeuse est une occasion pour découvrir ce que «cache» le séduisant inconnu. Elles ne le font pas pour de l’argent, tout ce qu’elles recherchent, c’est du plaisir. Elles sont même prêtes à payer l’homme, à l’entretenir financièrement. Dans la plupart des cas, il s’agit de femmes d’âge mûr dont le mari, au crépuscule de sa vie, n’a plus la force de les satisfaire sexuellement. Mais comme le mari est riche, elles préfèrent rester avec lui pour leur sécurité et celui de leurs enfants. Et puis, après tant d’années de mariage, de comédie, après avoir tout supporté, elles ne peuvent pas se permettre de tout perdre (elles pensent déjà à l’héritage). Et qui sait peut-être que la faucheuse a inscrit le mari sur sa prochaine liste. Donc, elles gardent le confort du ménage et achète le plaisir dehors. Et à vrai dire, c’est tellement facile. Avec tous ces jeunes au physique d’Hercule dont le sport constitue la seule activité constante de leur vie ; fauchés et rejetés par les jeunes filles de leur âge qui ne leur trouvent aucun avenir prometteur, si une belle dame, même mariée, accepte de leur donner du plaisir et du matériel, c’est une aubaine tombée du ciel…
Pour épater leur futur amant, les femmes utilisent des astuces qui marchent la plupart du temps. Si l’homme sait qu’elles sont mariées, et par conséquent ne veut pas avoir de relations avec elles, elles joueront à la femme malheureuse qui n’est pas amoureuse de sonmari et qui n’a pas de satisfaction dans son foyer. Elles vous déclareront leur flamme, diront que c’est vous qu’elles aiment et sont même prêtes à divorcer pour vous faire plaisir. Elles flatteront votre orgueil de mâle et diront que vous êtes l’homme de leur vie. Dans une tenue et un maquillage qui met en valeur leurs plus beaux attributs, elles n’hésiteront pas à verser des larmes de crocodile pour vous attendrir. Elles se jetteront dans vos bras, et vous pauvres messieurs, pour les calmer, (quel homme résisterait aux pleurs d’une belle dame ?), vous les prenez dans vos bras, et au contact de son corps, un nouveau sentiment peut naître et bousculer tous vos principes. Et il faut vraiment être un saint pour ne pas tomber dans leurs pièges. Car une fois dans leurs filets, vous aurez du mal à en sortir. Et comme l’interdit est excitant, la femme et son amant se retrouvent dans un cercle vicieux. La plupart du temps, ces femmes qui commettent l’adultère sont à la recherche de perpétuelles sensations fortes qui ne finissent jamais. Jusqu’au jour où elles sont découvertes et divorcent. Et même si elles se remarient de nouveau, les mauvaises habitudes les rattraperont toujours.
Mon bureau, mon patron chéri
Dans les lieux de travail, les entreprises, sociétés etc., certaines femmes mariées ont des amants qui sont en général, leurs supérieurs hiérarchiques. Elles sont secrétaires, assistantes de direction ou collègues de service de leur amant. Dans la plupart des cas, le mari cocu ne le saura jamais, car, il est difficile de soupçonner quoi que soit entre une femme et son patron, parce que liés par le travail, naturellement, ils sont tout le temps ensemble que ce soit au bureau ou même en dehors. Et à force de se fréquenter une attirance physique ou même un véritable sentiment peut naître. Il arrive que ce soit l’homme qui fait des propositions à la femmemariée, mais parfois, c’est la femme mariée elle-même qui séduit son patron ou collègue de service. Et ceci s’explique par diverses raisons. Une femme mariée peut être attirée par son patron à cause de son statut professionnel qui est en général supérieur à celui de son mari. La femme avec son patron, c’est comme un élève et son maître. Elle éprouve de l’admiration pour son patron et a tendance à l’idéaliser. Et si en plus de cela son patron (ou collègue de service) est physiquement bien bâti et qu’entre elle et son époux, il y a un manque de communication et de satisfaction morale et sexuelle, la femme mariée commence à fantasmer sur son patron (ou collegue). Désormais, elle se concentre de plus en plus sur lui et par conséquent à se détourner progressivement de son mari. Son seul objectif sera de séduire son patron par tous les moyens. Pour cela, elle commence à changer sa garde robe et dépense des fortunes pour paraître la plus belle et la plus coquette possible. Experte dans l’art de la séduction, elle a appris à connaitre sa cible et sait comment l’aborder. Le matin, quand elle se rend au travail, on croirait qu’elle va à une cérémonie, tellement elle prend soin d’elle et n’oublie pas le moindre détail : de la tenue qui la met en valeur en passant par le maquillage sans oublier le cocktail de parfum mortel aux senteurs si exquises et sensuelles. Elles sont bien nombreuses ces femmes qui sont plus préoccupées de paraître belles devant leur patron que devant leur mari. Une fois au bureau, la dame commence les petites attentions envers son patron. Sachant que celui-ci est debout depuis l’aube et n’a certainement pas eu le temps de prendre le petit déjeuner, elle lui prépare un bon café et des croissants qu’elle a pris le soin d’apporter.
Du matin au soir, elle est aux petits soins de son patron, elle met de l’encens dans son bureau, si celui-ci se plaint de fatigue, elle n’hésite pas à lui proposer un massage. Bref, elle devient attentionnée à tel point que le patron en vient à envier son époux. Il se dit qu’une femme aussi douce et dévouée, enveloppée de beauté et de grâce, son mari doit être le plus heureux des mortels. Ce qu’il ne sait pas, c’est que c’est lui qui intéresse la femme, pas son mari. Sûre d’elle et de ses charmes, elle est convaincue que le bonhomme va bientôt mordre à l’hameçon. C’est juste un homme ! Et, elle est décidée à le séduire. De plus, la façon dont son patron la regarde, sans oublier les compliments qu’il lui fait chaque jour, lui donne plus de courage. Et si une de ces jeunes demoiselles belles, mais «idiotes» et sans classe, vient demander à voir son patron, d’un ton méprisant, la «très particulière» assistante lui fait comprendre que le patron n’est pas disponible. Ce n’est pas une minette qui va gâcher son plan. D’ailleurs, elle a toujours un prétexte pour entrer dans le bureau de son patron ou collègue. Et à l’intérieur, dans une tenue hyper provocante, un décolleté laissé exprès ouvert, pour lui donner un avant-goût de ce qui l’attend, si jamais…, elle se penche pour attendre une signature. Bien sûr, un jour, son patron «oubliant» sans doute qu’elle est mariée, succombera à son charme. Commence alors une relation adultérine. Dès fois, ça aboutit au mariage, car combien de femmes mariées ont divorcé pour épouser leur patron. Il y a des femmes qui pensent qu’avec leur physique, elles peuvent tout obtenir. Si quelquefois c’est une réelle admiration que la femme éprouve envers son patron,parfois aussi, c’est juste pour avoir un poste ou une promotion dans leur lieu de travail, ce qu’on appelle une «promotion canapé».
Les femmes qui commettent l’adultère deviennent presque comme une «épouse légitime», mais elles donnent plus à l’amant qu’à l’époux. Elles sont prêtes à satisfaire le moindre de leurs désirs partout et quand il veut. Leur patron peut disposer de leur corps comme il l’entend que ce soit au bureau, à l’hôtel ou chez lui. À la longue, ces dames mariées délaissent complètement leur mari et ne se gênent plus de rentrer très tard. Avec les avantages que lui offrent le patron, elles sont convaincues que leurs intérêts sont avec ce dernier, et n’en n’ont cure de la réaction de leur mari. Il arrive que la relation soit tellement intense que l’amant devient jaloux du maride sa maîtresse. Il arrive même que la femme enceinte de son mari se fait avorter par son amant car, se justifie-t-il, la grossesse sera un frein pour leur passion ; ils ne pourront plus se voir, pendant un moment avec le congé de maternité. Certaines femmes qui allaitent n’hésitent pas à abandonner leur bébé et partir en voyage avec leur patron à l’intérieur du pays ou à l’étranger. Le pauvre mari pensera que c’est pour des raisons professionnelles, mais en réalité, la femme, pendant tout le temps qu’elle sera avec son patron, n’aura pour tâche que d’assouvir le désir de son insatiable amant, pendant que son pauvre mari, qui ne se doute de rien ou qui préfère fermer les yeux, joue à la nourrice auprès de ses enfants.
Certaines femmes pour être à l’aise dans leur infidélité, et que leur bébé ne soit pas un obstacle pour leur travail prennent des bonnes pour garder leur nourrisson.
Certaines femmes mariées qui travaillent dans une structure mais n’hésitent pas à se faire draguer par un collègue uniquement pour de l’argent. En général, elles ont peu de revenus et ne peuvent se contenter de ce que leur donne un mari. Elles se font draguer de gauche à droite, et certaines finissent même par virer vers la prostitution.
Le monde évolue et tout comme l’homme, la femme a besoin de s’affirmer et de s’épanouir. Elle a besoin d’évacuer son stress et de se faire plaisir Et se mesurant sans cesse à l’homme qu’elle regarde comme son «rival», elle a besoin de faire comme lui. Lui enviant ce suprême privilège qui lui permet d’être polygame, la femme mariée se refugie dans l’infidélité qu’elle considère comme une revanche. Heureusement qu’elles ne sont pas nombreuses, et que parallèlement des femmes mariées en toute dignité acceptent d’être des épouses modèles, dignes, des mères de famille dont la seule fierté demeure la bonne réussite sociale de leurs enfants.
Source: Icone/Xalima.com