A Louga, certaines femmes d’émigrés se disent qu’elles auraient mieux fait d’épouser un fonctionnaire. “Les employés de la fonction publique gagnent beaucoup moins. Mais ils ont des salaires plus réguliers ” explique une Lougatoise, qui a, elle-même, fait ce choix. Epouser un employer de la fonction publique.
Les femmes de modou modou (émigrés en wolof) parlent très peu : il existe une sorte d’omerta autour de leur condition. Mais nombre d’entre elles sont de plus en plus amères. Car parmi elles, le pourcentage de séropositives est important.
Des récents tests de dépistage du sida l’ont montré. « Elles voient rarement leur mari et quand il leur rend visite, il revient fréquemment avec le sida, c’est difficile à accepter pour elles » m’explique la présidente d’une association d’aide aux femmes.
Autre motif d’amertume pour ces Lougatoises : bien souvent le « modou modou » se marie aussi avec une Européenne pour obtenir ses papiers. « Quand il revient au pays, il s’enferme avec elle. Sa femme sénégalaise ne peut pas le voir en tête-à-tête. On la fait passer pour une simple sœur. Elle est tenue à l’écart » m’explique une militante des droits des femmes.
Elle ajoute : « Et si la femme se plaint, on lui dit qu’elle n’a rien à dire, car c’est grâce à l’Italienne si le « modou modou » a obtenu ses papiers. Pour la femme sénégalaise cela fait beaucoup de couleuvres à avaler »
Quoi qu’il en soit, le climat qui règne dans la ville est étrange. De belles maisons, hautes et massives – en marbre parfois – le plus souvent vides, où règne une ambiance un peu triste.
Louga s’est enrichie. Mais l’ambiance est sans doute plus morose qu’ailleurs au Sénégal. Les éclats de rires des enfants donnent l’impression d’être plus rares. «Normal, me fait remarquer une jeune femme, un océan les sépare de leurs pères et des rêves de leurs pères ».
vous etes jalous et vos femmes qui sont aux pays qui font du mbarane et que les gens … partout pour pouvoir arrondir les depense quotidienne c n’est pas la premiére fois que vous s’acharnez contre les immigrés ; vous etes des mesquin
c vrè moi je sui en itali les blenche nintresse pas tous les modou nous nioune daniouye niaffè pour dimbali sounouye parents mè a chaque fois les mèdias rencontre des histoire sur nous qui neux son pas vrè nioune thi fathie sokhela nityi si laniou deuke lou nèk laniouwe dahie pour diapalè sounouye ak sounou diabar arètè de dire des conerie vous etes zalou rèt,,,staye zito
VOUS ETES DES COMPLEXES RESPECTEZ LES IMMIGRES ILS SONT BRAVES,RESPECTS A NOS VAILLANTES RESTER AU SENEGAL,MERCI
imiguire yi volou nagnou sen guanaw ,ta koulene diame do nani ,kou diip sa guarap bou pegnthi yendou saw naaj…vous navait pas au qune merite ou du dingnite vous ettes vrement nule.