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Le processus démocratique obéit à une dynamique contradictoire ponctuée par des avancees, reculs
ou stagnations. Il n’est un acquis définitif que lorsqu’un niveau élevé de développement économique
et social est atteint.
Dans une démocratie normale mais vulnérable comme au Senegal, l’opinion public peut varier de
temps a autres car de nombreux facteurs surviennent qui peuvent bousculer les certitudes des citoyens.
Les soubresauts électoraux et les humeurs des mouvements sociaux font partie du décor politique.
La pauvreté a vaste echelle, une situation économique morose, le taux d’analphabétisme très élevé, les
scandales qui érodent la confiance des populations à l’autorité publique, constituent le terreau fécond
d’une instabilité. L’agitation d’une opposition prise dans l’étau de la justice dont les chances de reconquérir démocratiquement le pouvoir sont minces, n’entre pas dans ces catégories acceptables.
Dans un contexte de répudiation ideologique, le débat démocratique s’est appauvrit ; la confrontation des idées pour faire avancer la réflexion a cédé la place aux invectives et les calomnies.
Cette situation appelle de notre part cinq modestes commentaires au motif d’un souci de clarifica-
tion pour dénoncer et débusquer les saboteurs du jeu démocratique.
1/LEADERSHIP OU DEALERSHIP ?
Une démocratie se nourrit de la substance des idées ; de plate-forme programmatiques. Des hommes et
des femmes s’identifiant à ces idées finissent par les personnifier.
Cette personnification est tres accentuée au Senegal, ce qui fait des leaders de partis des chefs de troupes, assez forts pour engager leurs organisations dans des tractations non concertées, démo-
cratiquement non tranchées à l’intérieur des partis.
Notre société privilégie le consensus à la confrontation, certes, mais une rencontre politique n’est pas une rencontre dans un marche entre acheteurs et vendeurs. L’effondrement du bloc de l’est a consacre le recul des idéologies de gauche, cela s’est fortement ressenti sous nos cieux. Mais, partout ailleurs cette réalité internationale n’a pu bouleverser l’essence de la politique qui est un engagement dans le
sens le plus noble du terme. Les frontières nettement tracées entre la gauche et la droite au Sénégal ont perdu de leur clarté depuis que notre aine Pr Doudou Sine s’est réapproprié cette théorie du
Compromis Historique. Même si les intellectuels de gauche avaient en son temps tourne Pr Sine
en dérision ; ils se sont placés en majorité dans cette logique non pas du compromis, mais de la compromission. La globalisation rythmée par le capital a domestique cette permanence de la « lutte des classes » qui était leur raison d’exister et faisait espérer le « Le Grand Soir ».
L’idéal du progrès, de l’équité et la justice sociale de gauche continue pourtant de séduire les masses
partout à travers le monde. Idées révolutionnaires et démarches progressives sont assumées par des
leaders dans toutes les familles politiques qui prétendent nous apporter un mieux vivre.
Les Etas-Unis, pays capitaliste le plus avance nous en offre l’exemple ; ce n’est un secret pour personne,
le Président Obama est formé dans cette générosité juvénile de gauche comme « community organizer »qui a épousé la lutte contre toutes les injustices de son temps. De meme, l’actuel maire
de New-York De Blasio n’a jamais fait mystère de son itinéraire gauchiste. La sensibilité de gauche
a permis donc aux nombreux leaders du monde libre une connexion objective avec les couches défavorisées, les classes moyennes dans le contexte de la démocratie multipartisane.
Leur constance dans la défense des causes justes est un fonds politique qui les valorise.
D’ou vient alors le handicap pour les ex-cocos sénégalais à rallier les masses de leurs pays ?
Parce qu’ils n’ont pas fait preuve de leadership mais d’un dealership !
Qu’un homme change de parti politique, de convictions ideologiques, rien de plus normal et naturel car les circonstances et la réalité changent. Ce qui est inadmissible, c’est qu’il y est contradiction entre sa conduite et sa conscience. En d’autres termes, l’homme politique ne doit pas cracher sur du «Hamburger », dire qu’il est empoisonne et s’en rassasier !
Sous ce registre, le Président Abdoulaye Wade restera un contre exemple pour le Senegal, meme s’il
a personnellement réussi sa carrière politique.L’Histoire retiendra qu’il est plus dealer que leader, chef
d’une opposition passant de la contribution a la radicalisation ; le « wax waxeet »comme devise.
Les comportements actuels des brillances comme le Pr Bathily ou Mamadou NDoye ne sont pas éloignés
de ce dealership très remunerateur.Passer par les escaliers du pouvoir national a l’étage international
au-dessus, c’est toujours une entente, une aisance, une connivence, une danse politique qui soulèvent plus de poussière qu’elles n’apportent de lumières.
Lorsqu’on est dans un pouvoir, on le defend.La stratégie : un pied dedans, un pied dehors ne relève pas
d’une stratégie de conviction idéologique mais de la dimension Conscience tout court.
2/ LES ROLES ET LES POLES SONT UNE ECOLE, ESSENCE DE LA DEMOCRATIE !
La démocratie ne s’accorde pas avec une anarchie politique. Tout le monde le constate et le regrette, le
nombre exagéré d’organisations politiques ne participe pas d’une bonne expression démocratique édu-
cative ; plutôt d’une semence subversive. L’anarchie dans la société débute avec ce qui la rend captive des libertinages, fanfarronades, ambitions d’une minorité en exercice d’influence.
La confusion des rôles efface absolument les pôles politiques. Les populations ne s’y retrouvent plus, la
seule valeur célébrée chez nous est l’acquisition de position sociale, économique et politique.
Peut-on admettre qu’un récépissé soit délivré aux personnes, juste parce qu’elles désirent compter
au jeu démocratique au niveau national, sans jamais avoir pesé au niveau local, inconnu même des voisins du quartier ? Sortir de l’anonymat a cause d’un récépissé de parti, rester quinze, vingt ans sans jamais participer aux scrutins locaux ou nationaux est pure anomalie dans une démocratie qui se respecte.
Il est souhaitable qu’au sortir des élections locales de juin, un consensus se dégage pour la réduction
de la liste des détenteurs de récépissés de partis insignificatifs et qui parasitent l’espace public, aux frais du contribuable. Cela facilitera la lecture du système politique tres sature.
Tout le monde reconnait et accepte qu’un parti ayant vocation une conquête démocratique du pouvoir,
après dix ou vingt ans d’existence ne comptant pas un député ou cinq conseillers municipaux, ou même deux délégués de quartier, ce parti doit être dissout, autant qu’un parti fort qui remet en cause notre forme d’Etat.
Une régulation de la vie des partis est une condition de la modernisation du jeu démocratique.
De la possibilité de leur financement, du statut des leaders de parti, leurs avantages et obligations, tout
cela doit faire l’objet d’une unanimité parce que relevant du bon sens et le patriotisme.
Cette dimension de la rationalisation des partis nous preoccupe.C’est d’elle que dépend la sante de notre système démocratique.
La multiplication des partis a concouru à une banalisation des acteurs politiques, les réduire donnerait un peu plus de relief aux discours et réduirait la bipolarisation du jeu politique entre les géants.
La leçon tirée de l’après Wade est qu’il vaut mieux avoir plusieurs boutons sur le corps qu’une plaie infectee.Dix partis politiques forts valent mieux que deux centaines sans visibilité certaine.
3/REPENSER NOTRE EXISTENCE,NOS ESPACES !
Notre émergence se fera avec beaucoup de difficultés si nous ne rétablissons pas la confiance avec des instruments de reconnaissance, de déchéance et arbitrage. La démocratie a besoin d’être encadrée accompagnée d’instruments non pas répressifs mais educatifs.Rompre avec l’agitation permanente.
La promotion des ruptures devrait inclure une citoyenneté active, créer des Centres Itinérants d’Edu-
cation Politique et Civique.Outre le rôle de formation a la citoyenneté qu’ils auront, ils seront des relais
d’explication et d’information sur les actes de l’autorité publique. La meilleure forteresse de la démocratie demeure une opinion publique mature, bien formée, mieux informée.
La transparence est mère de la bonne gouvernance. Elle devient une exigence au quotidien au fur et
à mesure que la démocratie s’approfondit. Reconnaissons-le, nous avons un très sérieux problème avec la distribution du revenu national. Le déséquilibre entre villes et campagnes est plus que flagrant, nous ne devons plus nous voiler la face.Lemonde rural accuse un grand retard par rapport aux zones urbaines.
Il ne peut pas y avoir deux Sénégal.
Il n’y a rien de plus douloureux pour un citoyen de vivre avec le sentiment d’être traite de manière différente de l’autre, du fait de sa condition ou de la proximité de l’autre avec le décideur.
Créer une Commission Egalite au Développement bien outillée, efficace, véritable gendarme des
procédures d’implantation des unités de production publiques et privées parce que c’est la Constitution qui consacre l’égalité des citoyens, des localités et communautés.
Lorsque l’affectation d’un fonctionnaire dans une zone donnée est considérée comme une punition, il
y a lieu de s’interroger sur notre équilibre et cohésion nationale.
Le temps est venu pour le Sénégal de délocaliser la Capitale administrative. La réalité actuelle de Dakar
est intenable. Les mutations climatiques en cours conjuguées à la pression démographique obligent une
délocalisation au plus vite. L’érosion côtière rend une telle perspective urgente. Une opportunité qui légitime un nouveau souffle de développement du pays. Notre belle ville de Dakar continuera de jouer son rôle éminent de plate-forme économique sans mettre en péril sa propre viabilité.
Une ville avec l’essentiel des grandes infrastructures, qui a épuisé son potentiel d’habitat, son expansion achevée, devient nécessairement source conflictuelle des politiques, une zone d’insécurité.
Penser sécurité et développement aujourd’hui pour le Senegal, c’est accepter que la presqu’ile du Cap- Vert est réduite et qu’il est devenu très dangereux de poursuivre son peuplement.
Mettre en œuvre le Plan Sénégal Emergeant, c’est d’abord penser les conditions d’une renaissance qui passe par une préparation des populations aux difficiles réajustements.
4/LES MIMETISMES QUI TUENT,LA PARITE N’EST PAS MURE POUR NOTRE SOCIETE !
Le Sénégal traine une faiblesse, celle d’une mémoire collective furtive. Comme l’a si bien dit Dominique Wolton, dans son ouvrage intitule « L’autre Mondialisation » :l’identité culturelle individuelle était un fait de société ; l’identité culturelle collective est directement un fait politique.
La parité introduite dans notre Constitution fait partie de ces bombes a retardement introduites par le
vieux Président dans un souci purement électoraliste et qui va plonger notre société dans un antagonisme durable.Le rejet de la liste de Touba par l’autorité compétente peut se comprendre du
point de vue juridique, mais en vérité cette fantaisie politique n’est ni democratique, ni juste.
Aucune société ne se développe sans ses valeurs constantes. Nous le savons tous, cette loi sur la parité
est loin de concerner l’écrasante majorité des femmes travailleuses dans les champs, les menages, les
marches et les quais de pèche.
La bataille pour l’émancipation de la femme qui vaille que l’on se batte est plutôt l’obligation d’ame-
ner nos filles a l’école, se battre pour les libérer des travaux domestiques.
Majoritaire dans la societe, il ne serait pas étonnant de voir dans le futur des assemblées à majorité
femmes. Tout est question de maturité politique et surtout, sociale. Touba a raison !
Que ceci ne fasse pas de moi un reactionnaire, la politique c’est d’abord une gestion des réalités.
La parite, telle qu’elle est voulue au stade actuel, est juste une lubie pour satisfaire les lobbies d’une
élite feminine,eloignee des réalités de la majorité de la société.
Qu’adviendrait-il d’une liste si dans une communauté la confiance des membres échoit a 100% hom-
mes ou 100% femmes ? Une démocratie ne peut pas se résumer à un équilibrisme male/femelle.
Les femmes progressistes savent bien que l’égalité entre homme et femme se trouve ailleurs.
Le cas de la liste de Touba révèle tout simplement qu’une société n’est pas une construction juridique,
c’est au législateur de suivre la réalité de la société et non inversement.
Pour la préservation de nos valeurs et notre cohésion sociale, vivement que cette loi soit revue et corrigée pour rester en phase avec le principe de la liberté des localités de choisir la qualité de leurs
représentants qui ne sera pas basée sur le calcul mécanique et maléfique au regard de notre foi.
Loin de nous l’idée d’ignorer les droits de nos sœurs, nos mères et nos filles, refusons tout simplement
que la crème « évoluée »en trouve un faire valoir avec le soutien d’une vision libidinale de notre avenir.
C’est à nos dames intelligentes et nos hommes politiques courageux qu’il revient de trouver la parade
pour enlever cette épine du pied de la Nation qui a besoin de s’enraciner dans ses valeurs séculaires
pour s’ouvrir surement a la modernité qui ne sera un fait de mondanité.
5/LES EMIGRES NE SONT PAS DES CITOYENS A MOITIE !
Enfin, l’absence du vote émigré aux scrutins locaux est un dysfonctionnement de notre démocratie.
La disposition qui exclue certains de nos compatriotes, consistant à leur opposer la question de la résidence est puerile, injuste.Les émigrés qui veulent participer a la vie de leurs terroirs sont assurément
garantis de leur crédibilité auprès de leurs parents, voisins et amis.
Jeter sur eux le regard qu’ils sont d’ailleurs est une insulte, une lâcheté ; du moment que l’on accepte avec joie et fierté leur apport a tout ce qui bouge dans la ville ou le village.
Le vote des émigrés déjà acquis pour la présidentielle et les législatives ne devrait pas souffrir d’une négation pour les locales.
L’aménagement d’un quota pour les émigrés au sein des listes serait la meilleure démarche pour une
diversité utile dans les conseils municipaux, des échanges d’expériences fructueux.
6/LE PT SALL PEUT-IL ETRE COMPARE AU PT WADE POUR L’IMPLICATION FAMILIALE ?
Nous avons note une fureur partisane eu égard a l’implication de certains membres de la famille présidentielle dans les hautes sphères de l’Etat. Sans minimiser les ravages que peuvent faire ces criti-
ques, il convient de ramener ces interrogations légitimes à leur juste mesure d’une part ; d’autre part,
dévoiler la propagande de mauvaise foi qui consiste à nous faire croire que la tentation avortée de dévo-
lution monarchique du pouvoir planifiée par Wade est pareille chez Sall.
D’abord abordons la réalité de la Première Dame. Reconnaissons que Mariéme n’est pas Viviane.
J’ai souvenance d’une visite chez le défunt Khalife de la famille omarienne qui nous adressait cette objection amusante : « A quand une Fatou,Aissata ou Marieme au palais ? ».
Le 25 mars 2012, les sénégalais n’ont pas seulement vote pour une alternance générationnelle, mais aussi pour un affranchissement mental. Je ne suis pas de cette famille presidentielle, j’ai une sensibilité
à fleur de peau pour ce qui peut ressembler au népotisme. La vérité est que la plupart des parents
et amis du Président Macky Sall ont pris part au mouvement politique qui l’a porte au pouvoir.
Je ne dis pas tous,mais la plupart d’entre eux.C’est une famille large,puisque Macky Sall ne vivait pas
comme mon cousin Sawrou BA, cloitré, son épouse, son chien méchant et son gardien pas courtois.
Parents et amis l’ont accompagne dans ce vaste mouvement de la conquête du pouvoir.
Les prétendus leaders qui ne peuvent pas mobiliser leurs parents et amis doivent se regarder au miroir
et n’en vouloir qu’à leur propre ego.
Il n’est pas juste de les comparer à Karim qui regardait la chose politique avec dédain et Sindiely qui s’occupait de bolides à grande vitesse, quête d’un héroïsme dans le désert.
Aux concernes,d’éviter au Président les critiques malveillantes, de s’autocensurer dans leurs ambitions du moment que ce proverbe wolof tient lieu d’une psychologie sociale bien ancrée chez nous : «saysay
waxul deug waye yaqna xel »!Nous voyons déjà NDamal Kadior toujours « kaccoor »dans sa salive salée
en faire un sujet principal de campagne. Voltaire le disait si bien : « Ceux qui peuvent faire croire aux foules des absurdités, peuvent aussi bien les entrainer à commettre des atrocités ».
Nos pyromanes sociaux poussent le cynisme et l’irresponsabilité en distillant la haine ethnique et
l’antagonisme confrérique depuis l’avènement de la deuxième alternance, ignorant totalement les fondamentaux sociologiques de notre pays.
7/POURSUIVRE LES RUPTURES POUR LES GENERATIONS FUTURES !
Toute cette agitation, toutes ces provocations, honteuses suggestions à la rébellion, les manœuvres
pour la démoralisation des populations et les armées ; n’ont qu’une finalité : empêcher la poursuite
des reformes engagées et soustraire les délinquants de la République aux rigueurs de la justice.
Le difficile chemin du développement intégral d’un peuple ne va pas sans cette période de soudure,
obligeant aux choix impopulaires parce qu’il faut se serrer la ceinture jusqu’à rétablir les équilibres.
C’est au passage de ce tournant sinueux que les traitres font preuve d’ingéniosité ; embuscades et
agressions de nos valeurs les plus nobles (tolerance,unite,paix) ;mascarades a l’endroit de nos trésors
les plus chers (democratie, legalite, liberte) !
Les collaborateurs du Chef de l’Etat qui est seul responsable devant le Peuple, ne peuvent pas se sous-
traire aux exigences de ce qui fonde notre espoir de voir notre pays réussir le passage vers l’émergence.
Une bonne capacité d’écoute des doutes, réprobations et condamnations formules par les populations
est le meilleur bouclier contre les assauts des demagogues.Sous ce registre, beaucoup de nos camarades
en position d’autorité semblent ne pas comprendre pourquoi ils sont la. L’esprit d’ouverture, de partage et simplicité des heures de la traversée du désert ne doit jamais quitter un républicain progressiste. Du commis de l’Etat ou l’élu est requis la disponibilité, l’intégrité.
La vanité et la légèreté qui poussent des collaborateurs de hautes personnalités de l’Etat a l’étalage de leurs confidences en public et les ex responsables de la Sécurité du pays a se livrer aux bravades cons-
tituent des trahisons éhontées de leurs missions. Cette espèce de Conseillers qui bavardent plus souvent
que leurs patrons doit subir une extinction. Notre raisonnement pouvait être étendu au reste de nos
preoccupations, mais la route est longue sur le chantier démocratique et pacifique, il nous faut être modeste et ambitieux à la fois.
MAKKANE
New-York
Ce texte truffé de fautes, long et vide est la marque de fabrique des intellos de l’APR. Notre pays est mal barré en élisant un Président par défaut incapable et entouré de cancres. Qu’avons-nous fait au bon Dieu pour mériter cette médiocrité ambiante ?
Ses débilites n’ont rien a avoir avec APR,ce type atteint de crétinisme a été comme comme ça avant la création de l’APR.
Ce texte est politique et savant. Sakhewar il faut bien lire sans tenir rigueur des coquilles. C’est la seule reponse a Idrisaa Seck. Bravo.
UN avocat des migrants enfin. Il faut qu’ils votent meme s’il faut reporter. Non a la discrimination des senegalais de l’exterieur. Sakhewar mom defa jaloux.
MAKHANE ARRETE DE DEFENDRE CES CONS ET VIENT AVEC NOUS FAIRE LE MOUVEMENT DES ABC.SAUVER APR QUI DORT AVEC SES EGOISTES ET JALOUX QUI T’INSULTENT QUAND TU LES DEFENDS.
Un excellent texte qui peut être le sommaire d’un « blue print. C’est sûr Makane n’a pas édité le texte faute de temps. Je suis fier de votre appartenance à L’APR. Il a fait un travail intellectuel qui mérite une félicitation. Un fin politicien qui peut extirper le mal sans créer une douleur démesurée. Do nit. Parité,il faut favoriser l’éducation des femmes(bourse à toutes femmes du secondaire à l’Université)comme Senghor avait fait pour les fils des paysans. La notion de « égalité au développement » Makane, vous avez résumé toute une idéologie dans ces deux mots.
Sakhewar relie le texte dans son intégralité et vous jugez le texte non Makane. Aujourd’hui Makane est devenu sérère, mais pour 24 hrs seulement.
Vous etes la preuvre de l’intelligentia de la Diasporaet la fierte de Senegalais.
Merci Camarade.
Merci aux camarades Sock et Djibril NDiaye.Je m’excuse aupres de nos lecteurs pour les coquilles qui rendent la lecture un difficile.Avec la graine militante le combat se poursuivra.Quant a Sakhewar,je regrette ce n’est pas de ma faute si tu es intellectuellement paresseux pour lire les longs textes!!!
L.un des meilleurs articles dans ce Web depuis tres longtemps.Cest un magistral cours a la fois de sciences po,de civisme et de moral.Il est ecrit avec un engagement responsable et une lucidite tres intellectuelle.C,est ce qu,on peut appeler sans se tromper un texte pedagogique et util.Comme de la bonne musique qui ne fatigue jamais un melomane,j,ai relu ce texte plusieurs fois cette nuit.Vraiment du fond de mon Coeur,je te dis merci Mr Makkane
Bien reflechi mais et si Xalima pouva it ameliorer la presentation. .Kane attaque et parle de beaucoup p de choses. S
David Brooks du New Yok Times a produit la semaine derniere un excellent article titre » The real Africa » Il a entre autres rejoint Tarikh Ramadan sur l’alienation de l’elite africaine. Les sots savants comme le disait Moliere qui se croient au firmament parceque bons en CONSTRUCTION DE PHRASES mais la realite , ls lois de la pesanteur s’appliqueront irremediablemen. Les gens qui savent lire ente les lignes auront compris l’appel toujours reitere a Macky comme pour lui dire que la diaspora merite recompense…
Ce Azucar est malade.Question center qu’il veut nous dire?Question a millennium balles.quandary Making ramasse les mouches transhumantes et les affairistes design medias modou design NewYork les militants Apr pourquoi new demanded tils pas. Ce pourquoi ils ont combattu,cotise et gagne?c’est du charabia design last jalousie digne design Tekhe Dame et autres aperistes de La derniere heure. Qu’ils bougent les vrais militants pour new pas ceder aux mouches opportunistic. Merci Kane, Macky team doit je suis temoin.
Ce Azucar est un tocard ki ne nous apprend rien de David brooks et Tarikh Ramadan.Vous l’avez compris vous?
Que la diaspora ou des militants de la diaspora revendiquent quoi de plus normal?Ou bien lui le doyen a masque qui se terre et attend que tout soit cuit pour venir bouffer comme ce soulard des medias modous ou ce pedant de Tekhe ou autre tirailleurs qui ne se battent ja mais que dans les cours des combines jewaate ak nebeutou.La 116eme est riche en truands.Je ne suis pas APR mais je les prefere a ces maudits trafiquants et voleurs.Vous avez vos radios ,invitezz celui que vous attaquez au lieu de vous cacher derriere votre lachete
La diaspora sera le jeu toujours.J suis d’accord avec la suppression de la PARITE.La suppression du CESE et le retour du SENAT.