Dans sa parution de ce mardi 14 septembre 2021, le quotidien l’INFO, s’intéresse à la société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins ( Sodav) qui a démarrée ses paiements, hier lundi 13 septembre.
D’après le journal l’INFO, le paiement des droits d’auteur de cette année a révélé la percée des musiques religieuses au détriment de celles profanes.
Sur les 54 104 116 F cfa à distribuer, les musiques religieuses se sont taillées la part du lion, avec 33 205 651 F cfa, contre 20 998 455 F cfa pour les musiques profanes.
D’après Alioune Ndiaye( auteur et critique d’art) la musique religieuse, tous styles confondus du chant khassaide, à la chorale, et autres wolofal, prédomine incontestablement dans notre environnement discographique nationale.
Pour le sociologue, Djiby Diakhaté, » l’effort musicale profane s’est beaucoup appauvrie ces dernières années, aussi bien au plan du message que de la musicalité. La spiritualité rassure, la musique religieuse rend plus allégé; c’est quelque chose qui libére, qui apporte du baume au cœur, qui aide à connaître sa religion et qui réconcilie avec le divin ».
Bonjour, ce je n’arrive pas à comprendre est tout simplement, pourquoi les paiements de taxe sur le spectacle à la sodav si on est pas membre et ceci même si c’est un concert plein-air, donc l’argent va où exactement ??