Ce qui se passe dans notre société est extrêmement grave. Des filles se sont converties en de véritables prostituées pour se faire belle le jour de la Tabaski. A Dakar, toutes les auberges sont remplies vers 17heurs.
Aller vers les Almadies ou bien vers le Port de Dakar, vous verrez les filles défiler avec des hommes dans les auberges. La nuit, elles prennent d’assaut les boîtes de nuit. Ce sont des femmes pauvres qui n’ont pas de quoi se payer une robe à 7.000 FCfa, qui veulent porter le jour de la Tabaski des greffages qui coutent 200.000 à 250.000 FCfa. Dans le marché, les «Cheveux naturels» et les «Cheveux brésiliens » coûtent au bas prix 150.000 FCfa. Les parents ont fui leur responsabilité.
Nous avons interrogé des prostituées professionnelles qui nous ont dit qu’en période de fête, ce sont les prostituées clandestines qui envahissent le marché. «Elles nous prennent tout. Ce sont en général des femmes qui vivent dans des maisons qui n’ont pas de carnet de santé et qui nous volent nos clients. Elles se prostituent uniquement pour avoir de quoi acheter des habits» nous a confié une prostituée qui soutient que «ces femmes sont dangereuses car elles se prostituent sans carnets sanitaires. Elles sont donc porteuses de maladies». «Elles se font sauter pour moins de 5.000 FCf. Et elles couchent avec 4 à 6 personnes par jour » révèle-t-elle.
Par ailleurs, aux marchés HLM, des femmes sont arrêtées pour vol. Elles passent devant les étalages pour voler n’importe quel type de produit dans le marché pour les revendre. Chaque jour, des dames respectables sont arrêtées pour vol puis conduite à la Police.
Bitimrew.net
*2010worldnews*
Bayilen Niémé yaleu. Les prostituées n’attendent pas la tabaski. Elles sont chaque jour que Dieu fait dehors. N’accusez pas les autres. De plus il n’y a pas de prostituées sans clients. laissez les filles tranquille.
vous manquez d’objectivité. c’est pas parce que vous voulez cller à l’actualité que vous inventer ces genres d’articles
kou nek lou la nexxx ngay def bayilen guiss nit rek diko adresser parole bou gnaw