Après son face-à-face avec le Procureur, l’ancien conseiller de Wade, Thierno Ousmane Sy bénéficie d’un retour de parquet.
En attendant sa prochaine confrontation avec le Procureur, il va passer sa première nuit au commissariat central où il vient d’être emmené par les pandores.
Thierno Ousmane Sy bénéficie d’un retour de parquet
Date:
Silence, la censure au déshonneur !
Justement, c’est pour cette raison que nous reprenons du service pour un rappel à l’ordre du prétendu chantre des leurres et des incohérences. Seulement, une certaine presse farandole marche au pas du politiquement incapable. Décidément, une certaine corvéable à merci roule pour les adeptes de l’esbroufe.
Décidément, pour une certaine presse de la farandole aux ordres, en l’occurrence, « léraalna »-pour ne pas le nommer, il faut nécessairement censurer à tour de bras les bonnes plumes libres ! Les contradictions ne sont plus de mise, à moins de tresser les éloges serviables de « wade junior », le vainqueur du 25 mars 2012. Nous continuons à le marteler en toute conscience, en toute circonstance et en toute indépendance. Nous ne pas sommes pas des talibés taillables à merci des marchands d’illusions qui prêchent la bonne parole le matin et se dédisent le soir même, comme si rien n’était.
Faut-il être le cireur assermenté des bottes de Macky sall pour bénéficier des largesses extensibles jusqu’à l’infini ?
Discrimination, ostracisme voilé ou plus exactement le rappel à l’ordre de la démocratie tyrannique, sur commande recommandée d’en haut ? Tout y est. Ce qui se déroule sous yeux, ressemble à fort à une dévolution clanique, pire que celle nous avons déjà vue et qui ne dit pas son nom. Et ce n’est pas notre vision de la démocratie. Nous ne pouvons guère nous inscrire dans ce registre du recul ! Et pour cause.
Nous avons été bien reçus jusqu’ici, mais il semble qu’au fur à mesure que nos plumes se corsent de plus en plus pour dénoncer l’évidence d’une escroquerie proéminente, élastique d’un régime népotique, maquillé de la prétendue bonne gouvernance, en réalité, une vue de l’esprit, nous sommes déclarés persona non grata dans la plupart des journaux de la sarabande.
Ce qui ressemble fort à des allures de censure obscure perverse de l’abondance. Seuls les flagorneurs indignes ont le vent en poupe et créent le buzz, conformément à une démocratie aux apparences tyranniques, dans les faits abondants. Pourrions-nous être serviles et malléables au point de nous ridiculiser, en publiant des articles de complaisance pour avoir la grâce de la sarabande. Nous sommes libres d’esprit pour écrire ce que nous croyons comme des vérités éternelles devant l’éternel. Un président de la république n’est pas un dieu, ni un prophète, il doit être nécessairement sous pression pour qu’il réponde à l’attente de ceux qui l’ont élu.
Ce régime n’est nullement celui de la rupture sobre, ni d’une quelconque transparence, vertueuse, mais au contraire, fait preuve d’une filouterie totalement surréaliste sur fond de culte de personnalité. Les promesses ne suivent nullement les actions sur le terrain. C’est une gouvernance de carapace vouée à l’échec. Le président n’est pas un monarque. Macky ne peut pas avoir raison sur la colère légitime de tout un pays debout, qui dénonce les dérives à répétitions des nominations décriées et farfelues que rien ne justifie, sauf pour des raisons obscures. Nous ne sommes pas des gueux à tout avaler.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
………décodez pour moi……..;j’ai rien rien compris à cet article!