Une plante fait merveille !
Les maladies cardiovasculaires et le diabète sont bien des maladies de civilisation, la liste est loin d’être exhaustive. C’est sans compter les cancers (cancers du sein, de la prostate, du côlon) l’obésité, l’ostéoporose, la maladie d’Alzheimer, la dépression nerveuse, l’asthme, la fatigue, etc.
Tout ceci laisse penser que le nœud du problème dépasse largement le cadre de la résistance à l’insuline. Cette situation de mauvaise santé est causée par le blocage du métabolisme de toutes nos cellules. Nous pensons que c’est la défaillance de la pompe Na/k au niveau de chacune des cellules de l’organisme qui, du fait d’une surcharge en sodium et d’une carence en potassium, ne peuvent plus assurer l’assimilation du glucose et des autres nutriments. Les cellules sont gonflées, elles vivent au ralenti et ne remplissent plus correctement leurs fonctions.
Le diabète de type 2, une maladie sérieuse par ses complications !
Le diabète non insulinodépendant (NID), que l’on appelle diabète de type 2 est une maladie sérieuse par ses complications. Elle s’installe très lentement et pour cette raison survient tardivement, en règle générale après 50 ans. Le diabète résulte d’un dérèglement du métabolisme des sucres et se définit par une glycémie à jeun supérieure à 1,26 g/l.
Quelles complications le diabète peut-il causer ?
En fait le diabète entraîne souvent un rétrécissement des petits vaisseaux sanguins (capillaires) dans l’ensemble du corps : plus le taux de sucre dans le sang est élevé, plus les capillaires se rétrécissent, les vaisseaux véhiculent moins de sang ce qui compromet la circulation.
Les troubles circulatoires déclenchent à leur tour d’autres complications liées à un diabète mal géré : maladie rénale, cicatrisation très lente et trouble des pied et de la vue.
Le diabète modifie également le métabolisme des matières grasses, augmentant le risque d’accumulation de plaque de cholestérol sur les parois des vaisseaux sanguins. C’est dire que les patients diabétiques sont particulièrement menacés par les maladies cardiaques.
Qu’est ce qu’en fait l’hypertension artérielle ?
En effet, l’hypertension artérielle est généralement définie comme étant supérieure à 140/90. Le premier chiffre (systolique) est la force du sang contre les parois artérielles lorsque le cœur est en train de pomper. Le second (diastolique) est la force résiduelle qui demeure entre deux battements du cœur. Tout relevé de la tension artérielle inférieur au chiffre supérieur (citons par exemple comme chiffres limites 138/88) est plus rassurant, mais il est préférable de s’efforcer de l’abaisser pour le ramener plus près des chiffres considérés comme normaux, c’est-à-dire 120/8O. En effet, toute élévation de la tension artérielle augmente le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral.
Comment gérer ce trouble ?
Ce n’est pas difficile. Vous savez, la maladie ne génère aucun symptôme particulier en soi, mais il prépare le terrain pour une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Au cours des derniers décennies, de nombreux médecins et thérapeutes professionnels ont fais de grands efforts pour détecter l’hypertension artérielle et la traiter plus agressivement. Non sans succès, puisque le nombre de personnes atteintes de crise cardiaque a diminué. En revanche, l’ennui, c’est que les médecins ont trop tendance à traiter ce trouble à l’aide de médicaments de synthèse. Près de la moitié des patients dont on a diagnostiqué une hypertension artérielle ont en fait une pression sanguine marginalement à modérément élevée. Il existe quantité de preuves concrètes selon lesquelles, pour ce type de cas, différentes mesures : un régime alimentaire accompagné d’un changement de mode de vie, afin d’intégrer
régulièrement un peu d’exercice, d’apprendre à mieux gérer le stress et de vérifier soi-même sa propre pression sanguine à l’aide d’un tensiomètre, seraient tout aussi efficace que les médicaments, sans en avoir les effets secondaires. Et le simple fait de modifier son alimentation et son mode de vie apporte déjà au patient l’impression de mieux maîtriser son existence, ce qui est déjà un avantage certain. Mais ne vous attendez pas à ce que l’industrie pharmaceutique encourage les méthodes naturelles. Elle se priverait d’une partie des milliards que lui rapportent chaque année les médicaments contre l’hypertension.
Que signifie une cécité nocturne ?
Disons que ce problème qu’on nomme souvent cécité nocturne est du à une dégénérescence précoce de la rétine qui conduit si on y prend pas garde, à une diminution ou à une perte de la vision de nuit.
En effet, vous passez du soleil à la pénombre d’une salle de cinéma et vous distinguez à peine la personne qui vous accompagne. Tout le monde souffre momentanément de cécité nocturne dans une situation comme celle-là. La rétine doit s’adapter à la différence d’intensité de la lumière.
Mais, pour certaines personnes, la cécité nocturne n’est pas momentanée. Certaines personnes s’adaptent plus rapidement aux changements d’intensité de la lumière et à la noirceur. Les presbytes sont souvent plus lents à s’adapter à a noirceur, tandis que d’autres ne voient tout simplement pas dans le noir. Par exemple, il existe de rares cas de cécité nocturne congénitale stationnaire. Les personnes qui en souffrent naissent avec cette affection. Comme son nom l’indique, elle est présente à la naissance et n’entraîne aucun danger pour les yeux.
Chute de cheveux, est ce toujours normale ?
En effet, si vous perdez jusqu’à 60 cheveux par jours, la chute est normale. Les cheveux se renouvellent en permanence. Cependant, si la chute dépasse cette valeur, on peut dire que la chute commence à être excessive. Ses causes sont diverses : génétiques, les dermatoses ou « siti », la forte fièvre, la grossesse, la prise de certains médicaments, etc.
Parlons de ce remède et de son utilisation
Pour remédier à ces maux précités, nous vous ferons découvrir une plante dont les vertus médicinales continuent d’étonner : le « ndiamate ».
On l’utilisait dans le traitement de plusieurs maladies dont le diabète, l’hypertension, la chute de cheveux, la cécité nocturne, les vers intestinaux, les infections sexuelles, les douleurs abdominales, les rhumatismes, etc.
Pour le diabète : Boire une décoction d’une poignée d’un rameau feuillé de la plante d’un un litre d’eau, en raison d’un demi-verre après chacun des 3 repas.
Pour l’hypertension artérielle : Bouillir une poignée de feuilles dans un litre d’eau pendant 5 minutes, filtrer et en boire un demi-verre trois fois par jour.
Pour la cécité nocturne : Utilisez la macération du fruit.
Pour la chute de cheveux : Boire une décoction des racines de cette plante.
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