Depuis le début des années 2000, l’UCAD vit chaque année au rythme de violences surprenantes. Rarement, ces violences ont eu pour motifs des questions pédagogiques. A chaque fois, il s’est agi soit d’un retard de paiement des bourses soit d’élection des délégués des amicales. L’UCAD est aujourd’hui secouée par la bourrasque d’une violence inouïe au point que la devise «lux mea lex» est est en passe de céder sa place à la «violentia mea lex».
Amicales, terreau fertile de la violence